Ce canard en ligne hébergé par l’agence de comm’ locale de Big Pharma (la Revue Médicale Suisse) n’en finit pas de transgresser l’éthique journalistique avec des procédés de plus en plus problématiques. Si son hôte publie sans scrupules des articles carrément frauduleux (comme ceux encensant la « méta-analyse Fiolet » ou encourageant à la vaccination des femmes enceintes avec un ensemble de biais relevant du droit pénal), Heidi fait bien la paire puisque ce média se spécialise depuis deux ans par un journalisme de stigmatisation, de diffamation et de harcèlement contre les opposants à une politique sanitaire pourtant évaluée par les meilleurs experts comme un véritable « fiasco de santé publique ».
- Pour lire « Presse et alarmisme au pays d’Heidi: Le Temps des conflits d’intérêts ? » : cliquer ici.
- Pour lire « Martin Kulldorff, professeur d’épidémiologie à Harvard, parle du « fiasco de santé publique » du Covid » : cliquer ici.
- Pour lire « Vaccination génique des femmes enceintes : lettre ouverte d’un chercheur à la Revue médicale suisse » sur Covidhub.ch : cliquer ici.
Emporté par son rédacteur en chef, Heidi semble s’être affranchi de tout scrupule déontologique dans une opération massive et de longue haleine de « character assassination » (destruction de réputation en français) envers tous ceux qui risqueraient de mettre un grain de sable dans les rouages de la pompe à fric crapuleuse de Big Pharma protégée par la corruption systémique généralisée dans ce domaine – comme l’ont reconnu de longue date tous les analystes honnêtes incluant le rapporteur à la commission des droits de l’homme de l’ONU et la Commission européenne, pourtant magouilleuse en chef en la matière.
- Pour lire « La médecine et la santé publique à l’épreuve du Covid » : cliquer ici.
Vous avez dit « controversé » ?
Ce n’est pas le moindre paradoxe : Serge Michel, qui aboie et mord à l’aveugle en bon chien de garde du système, est loin d’avoir une réputation flatteuse dans les milieux journalistiques : dépeint par différents interlocuteurs comme narcissique, méprisant, dictatorial (prenant des décisions dans le dos de sa rédaction), le propagandiste adorant coller des étiquettes malhonnêtes et stupides (comme « antivax » et « conspirationniste ») abuse avec sa rédaction de celle de « controversé », collée désormais à quiconque se risque à dire quoi que ce soit d’intelligent. Comme si Macron, Poggia, Berset, Gates, Schwab et les journaleux comme lui n’étaient pas eux-mêmes -et à bien plus juste titre- controversés ! En ce qui concerne Serge Michel, la controverse allant même jusqu’à un doute exprimée par des informateurs travaillant dans différents médias quant à la véracité de certain reportage pourtant primé…
Nous ne pouvons nous prononcer sur le fond, n’ayant pas de références documentaires qui nous permettraient d’établir ce qu’il en est. Mais que Serge Michel soit contesté au sein de sa profession au point que l’honnêteté de son travail soit largement questionnée, est une donnée que je me dois ici de nommer dès lors qu’elle a été énoncée devant moi par plusieurs professionnels actifs au sein de différents médias mainstream – demandant bien sûr à ne pas être cités.
Propagande et bassesses
Or depuis le début de cette sale histoire de Covid, Heidi et Le Temps, propriété de la fondation Aventinus, mènent une campagne de désinformation et de propagande ne reculant apparemment plus devant aucune bassesse. Attaques personnelles et salissage de réputation, infiltration grotesque de milieux ouverts (associations) condamnée par nombre d’observateurs avertis tant elle est choquante au regard de la déontologie comme de la simple bonne foi, encensement de publications scientifiques frauduleuses, démolition de publications intègres et aux conclusions probantes mais gênantes, black-listing d’experts intègres et majeurs, censure de tout contenu allant à l’encontre de certains intérêts, omerta sur la corruption systémique en santé, ces médias ont – à l’instar certes de bien d’autres- adopté une posture partisane et de mauvaise foi allant jusqu’à une forme de fanatisme de la pensée : tout ce qui vient de Big Pharma (nous parlons des grandes compagnies ayant essuyé près de 1’000 condamnations au civil et au pénal en 20 ans aux USA pour un montant d’amendes cumulées de 56 milliards de dollars (!), pour des crimes et délits relevant principalement de la fraude et de la falsification de données, de la diffusion d’informations mensongères, de corruption, etc.) est parole d’évangile. Tout ce qui vient d’experts hyper-compétents et sans conflits d’intérêt (parmi lesquels nombre de vrais scientifiques figurant parmi les meilleurs dans leurs domaines) étant en revanche séditieux, fourbe, intéressé et forcément manipulatoire…
- Pour voir Conseil Scientifique Indépendant du 15 avril 2021 : « La corruption systémique dans le domaine de la santé » : cliquer ici.
Franchement, il faut remonter à l’époque nazie ou soviétique pour trouver un tel parti-pris, énoncé au mépris de toute science et même de toute intelligence. Je l’ai souligné dans un récent papier, le « journaliste scientifique » de Heidi, M. Yvan Pandelé, est incapable de lire correctement un article scientifique et de distinguer le vrai du faux ! Gênant quand on sait depuis la publication dans the Public Library of Science en 2005 d’un article intitulé « Why Most Published Research Findings Are False » par le Pr John Ioannidis que la plupart des conclusions publiées dans les revues médicales sont purement et simplement fausses.
La boussole de M. Pandelé est simple : si c’est publié par le marketing de Big Pharma, c’est forcément vrai (même si c’est falsifié ou frauduleux ou simplement faux !) alors que si cela contredit les intérêts économiques de la branche, « cela ne vaut pas tripette » comme il a osé l’écrire au sujet d’une publication fort bien faite d’une équipe du Johns Hopkinhs Institute, lequel a d’ailleurs récemment répondu à la campagne de diffamation qui s’en est évidemment suivie.
Car c’est devenu l’obsessionnelle finalité des médias systémiquement corrompus : stigmatiser les points de vue divergents, la science intègre et les experts osant la rappeler ! Au point que -l’impulsion est venue du tsar de l’infectiologie américaine, Anthony Fauci- des hypothèses raisonnables (comme celles concernant l’origine artificielle possible du Sars-CoV-2 ou l’utilité de traitements prophylactiques comme la vitamine D) ont systématiquement été étiquetées comme des « opinions conspirationnistes » ! Nombre d’entre elles ayant été réhabilitées depuis…
- Pour lire « USA: 2 stars de l’épidémiologie dévoilent comment Fauci et Collins sabotent la santé publique » sur Covidhub.ch : cliquer ici.
- Pour lire «Comment les experts vaccinaux sont arrosés par Big Pharma» de Hervé Bazin sur Covidhub.ch : cliquer ici
Et c’est bien là où le parallèle avec les heures sombres se rappelle de manière troublante à notre conscience : tout comme il n’y avait pas de « science juive » « contre-révolutionnaire » ou « communiste », il n’y pas de « science complotiste » ou « conspirationniste » : il y a des hypothèse, qui peuvent être fortes ou faibles, essayant d’apporter des réponses à des questions qui se posent. En adoptant le registre de la propagande et de la stigmatisation, Heidi News et Le Temps (tout comme la RTS ou les titres de Tamedia et même le gauchiste Courrier !) ont renoncé à leur intégrité comme au sens-même du travail journalistique.
- Pour voir « Ariane Bilheran & Vincent Pavan – Le débat interdit, langage, covid et totalitarisme » : cliquer ici.
- Pour lire « Vous avez dit « complotiste » ?! » sur Anthropo-logiques : cliquer ici.
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Avec un renversement maintes fois évoquées ici : ces titres trainent dans la boue des personnalités hors du commun qui sont parmi les meilleures de leurs domaines. Didier Raoult est le plus éminent micro-biologiste au monde alors que l’IHU Méditerrannée-Infection est le Centre de référence spécialisé dans l’univers francophone. Christian Perronne a dirigé pendant quinze ans la réponse publique française en matière d’épidémies. John Ioannidis est la référence mondiale en matière d’épidémiologie et de traitement des données médicales, Peter McCullough est l’un des cardiologues les plus cités dans la littérature, comme le sont dans leurs domaines respectifs l’urgentiste Paul Marick ou les épidémiologistes Kulldorf (Harvard), Batthacharya (Stanford), Gupta (Oxford) et en France Laurent Toubiana, le grand spécialiste à l’INSERM des infections respiratoires.
On mentionnera encore Robert Malone, un des pères des injections géniques à ARN messager, Alexandra Henrion Caude bien sûr, la spécialiste française de l’ARN non-codant ou Pierre Kory, médecin américain prestigieux au front depuis des mois.
Le point commun de tous ces gens – hormis leur classe mondiale ? Ils ont tous fait l’objet de campagnes de destruction de réputation par des fâcheux comme Serge Michel et ses sbires ainsi que leurs innombrables clones correspondant dans tous les pays. Lesquels ont aussi quant à eux deux points communs : celui d’être financés au choix (réponses multiples possibles) par l’état et ses oligarques attitrés, Bill Gates, Big Data ou Big Pharma. Et de mener des campagnes de dénigrement et de harcèlement au service des intérêts qui les financent.
- Pour voir « Pressions, censure : les coulisses des grands médias – Aude Lancelin » sur Elucid : cliquer ici.
- Pour voir « Conseil Scientifique Indépendant n°54 : Dr Pierre Kory – La guerre contre les médicaments génériques repositionnés dans le traitement de la Covid-19 » : cliquer ici.
Je me permets d’insister : il en est en science comme dans des disciplines sportives – par exemple le tennis. Le classement ATP donne une métrique de la force comparative des athlètes comme le h-index le fait en science. Nous savons tous qu’entre le joueur de club et le joueur professionnel il y a une monde. Qu’entre un joueur classé en 1000ème position du classement ATP et un autre classé à la 100ème position, il y a à nouveau un monde. Et qu’entre le 100ème et le top-10 ATP il y a encore et toujours un monde. Tout comme entre le Top-10 et le Top-3, avec des dizaines de titres de Grand Chelem d’écart.
Or qu’avons-nous vu, systématiquement je le répète ?! Les Nadal, Federer et Djokovic de leurs domaines se faire descendre par des petites frappes, qu’elles soient « journalistes », zététiciens (diffamateurs quasi-professionnels), experts de pacotille comme le grotesque Rudy Reichstadt ou « médecins de plateau » jouant en ligue régionale. Car quoi : Didier Pittet et Samia Hurst, invités à demeure des piteux plateaux et colonnes romands, sont à la science ce que le plaisancier en pédalo est à la compétition à voile hauturière ! Sébastien Diéguez (qui est accessoirement loin d’être nul dans son domaine, son problème étant un absence totale de discernement sur ce qui en relève ou non) devient en revanche risible quand il se targue d’en remontrer à Raoult en matière de méthodologie scientifique : on est dans le cas de figure du besogneux du Tennis Club de Fribourg expliquant à Federer qu’il n’a vraiment rien compris au tennis ! Ceci sous les gloussements de complaisance des médecins de plateau, des politiciens et des journaleux…
Nous avons donc d’une part une galaxie de sommités qui, eussent-elles été en charge de la gestion du Covid, auraient laissé nos sociétés indemnes et sans surmortalité observable… et d’autre part des « experts » bas de gamme, dépendant financièrement de Big Pharma, acharnés à dénigrer tout ce qui pourrait être utile et peu coûteux même avec les données probantes les plus solides à l’appui, tout en faisant le forcing pour tout ce qui est hors de prix et lucratif pour Big Pharma, même sans la moindre efficacité (ou même une toxicité avérée en ce qui concerne le remdesivir) pour les patients.
Les hôpitaux universitaires étant les bastions de ce système de corruption institutionnelle, on a vu depuis deux ans et demie (demandez voir aux Pres Samer ou Calmy des HUG !) ce parti-pris invraisemblable fait de doubles-standards, de trucages de données, de déni de science et de piétinement de l’éthique bio-médicale, pendant que les « journalistes » étouffaient tout débat, diffamaient les meilleurs experts en menant à leur encontre de véritables campagnes de harcèlement selon des procédés éprouvés.
- Pour lire « La calomnie : arme fatale du pouvoir harceleur », par Ariane Bilheran : cliquer ici.
Not enough ?!
Comme si cela ne suffisait pas, Heidi et Le Temps s’en prennent de manière tout aussi décomplexée à la liberté d’expression : tout événement public donnant la parole à des personnalités non-inféodées au système court désormais le risque d’être torpillé par des articles infamants ayant pour finalité obvie de faire pression pour empêcher qu’ils aient lieu ou -si cela ne peut être obtenu- de conditionner le public à se détourner de ces redoutables ennemis du progrès et propagateurs de « fake news » (le problème étant bien sûr qu’à l’heure actuelle, ce sont les agences comme l’AFP et ce qu’il reste des médias qui produisent une avalanche continue de fake news anxiogènes et littéralement terroristes -au sens étymologique du terme.)
- Pour lire « Fact-checking ou « les petites ficelles habituelles de la manipulation », l’épidémiologiste Laurent Toubiana décortique les manœuvres de l’Agence France Presse » sur Covidhub.ch : cliquer ici.
Votre humble serviteur l’a vécu à différentes reprises : expert reconnu par ses pairs (comme la Radio Télévision Suisse, alias TV Big Pharma, a dû finir par l’admettre), dont les analyses ont été appréciées par les meilleurs sociologues et spécialistes en santé publique depuis deux ans et demie, je me suis vu faire d’emblée un procès d’intention par Serge Michel et sa clique : le rédacteur controversé ayant jugé (je cite de mémoire) que je tirais profit de la crise sanitaire pour me mettre en avant. Quand on sait la somme d’attaques que j’ai essuyées comme tous les dissidents avec les multiples conséquences que cela peut avoir sur notre vie privée, professionnelle et sociale, ce commentaire est non seulement grotesque, mais simplement dégueulasse. C’est accessoirement un motif frappant avec les tristes sires : ils ne peuvent concevoir que quiconque puisse être animé par d’autres motifs que ceux qui sont leur propre moteur !
Ensuite, un événement théâtral auquel je devais bien modestement participer en intervenant lors d’une table ronde un soir parmi une vingtaine d’autres a subi des pressions insensées : du simple fait de ma présence, Le Temps a publié un papier baveux, la RTS en tant que sponsor de l’événement a menacé de se retirer alors que la Ville de Genève remettait en question la location de la salle aux producteurs du spectacle ! Tout cela parce qu’un anthropologue de la santé ayant voix au chapitre depuis 25 ans avec une qualité d’expertise reconnue dans son domaine avait soudain été enfermé dans le camp des « à faire taire à tout prix » ! Qu’il est beau et élégant, ce monde de la « tyrannie du bien » pour paraphraser l’analyse du journaliste et essayiste Guy Mettan !
- Pour voir « La tyrannie du bien : dictionnaire de la pensée correcte » sur Canal9 : cliquer ici.
- Pour lire « SAMADHI PROJECT : droits de réponse au Temps » : cliquer ici.
Ensuite, ce fut la tenue à Genève en début d’année d’une conférence réunissant Christian Perronne, Pablo Buono, Alexandra Henrion Caude, Astrid Stuckleberger et votre serviteur qui déclencha les foudres de Heidiletemps : « conférence conspirationniste réunissant des figures de proue de la complosphère », le journalisme totalitaire se mit à braire comme son éthologie le lui commande désormais. L’événement hébergé par le Club suisse de la presse put finalement avoir lieu, avec à la clé un compte-rendu prodigieux d’incompétence et de parti-pris (what esle ?!) du « journaliste scientifique » Yvan Pandelé. Il faut dire que sans l’argumentaire marketing de Big Pharma sous les yeux, ce genre de sujet paraît vite trop compliqué pour lui, les étiquettes et clichés idiots palliant alors en respect de la « nouvelle normalité » l’absence de tout argument digne de ce nom.
- Pour lire « Conférence «interdite» à Genève: cinq experts dénoncent le scandale sanitaire du Covid » : cliquer ici.
Et voilà que, non contents de cette somme de vilenies, les journaleux de Heidi (associé à 24 heures cette fois) s’en sont récemment pris à un centre d’activités de la Côte organisant des conférences avec différents intervenants ayant la tare de ne pas leur plaire ! Articles donc sur ce nouveau « haut-lieu du complotisme », injures à caractère diffamatoire contre l’un des intervenants annoncés et coup de mépris pour la vaillante et respectable Ema Kursi, traitée systématiquement par l’Imperator Serge Michel d’ « ancienne vendeuse de chaussures ». Ce qui atteste qu’en plus de ne rien comprendre à la situation, le concerné a des manières de mufle…
Ema quant à elle, disposant d’une solide formation intellectuelle, s’est contrairement à Serge Michel informée diligemment depuis deux ans et a fait l’effort d’interviewer des spécialistes autrement plus compétents que les Laurel & Hardy du Covid ayant les faveurs exclusives de Heidi.
Soyons clairs : je ne connais pas Salim Laïbi, catalogué par ces titres (dont on sait ce qu’ils valent) d’extrémiste de droite, mais je sais une chose : les néo-fascistes de la bien -bienpensance corrompue ont pour objectif évident d’interdire de parole ceux qui ne pensent pas comme eux. Pour moi -comme pour tout démocrate digne de ce nom il me semble-, la liberté d’expression est une valeur inconditionnelle, point. Elle n’est pas négociable, encore moins au nom d’un moralisme faisandé. Avec le risque naturellement, si une personne tient des propos prohibés par la loi, d’en affronter les conséquences : c’est là où doit se situer la seule et unique limite. Mais que des journaleux foncièrement malhonnêtes (leur travail l’est systématiquement depuis 30 mois) fassent pression pour réduire d’aucuns au silence est juste aussi inacceptable que minable.
Comment a manœuvré la rédaction ? Eh bien après un malveillant coup de semonce de 24 heures, elle a appelé les sponsors (partenaires commerciaux) du Centre culturel où la conférence était prévue pour leur demander ce que ça leur faisait que « ce lieu invite une figure de l’extrême-droite complotiste »… Des entités comme Vaudoise Assurances ou la Raiffeisen furent ainsi instrumentalisée et bien sûr menacèrent si j’ai bien compris de mettre un terme à leur partenariat. Résultat ? La conférence que Laïbi devait donner a été annulée, une autre prévue avec Ema Krusi également pendant que les gratte-papier d’Heidi protestent (évidemment) n’avoir rien fait de contraire à l’éthique journalistique, comme si ces deux mots avaient encore le moindre sens pour eux…
- Pour lire « Les Ateliers de la Côte à Etoy se disent victimes de censure » sur Heidi News (réservé aux abonnés, dont je ne suis pas !) : cliquer ici.
Alors, en ma liberté souveraine de penseur à la réputation (très vaguement) salie par ces bousiers, j’exprime ici haut et fort que la manière dont se comportent ces médias est scandaleuse et même répugnante. En rappelant que les journalistes n’ont (surtout) pas à être les juges, les policiers de la pensée, les saboteurs ou encore les harceleurs de ceux qui leur déplaisent. Et que les basses œuvres perpétrées par ces titres appartenant à la fondation Aventinus sont simplement honteuses.
Quand viendra l’heure des comptes, la facture sera salée. Pour les titres en question mais aussi pour le milieu médiatique dans son entier. Car quoi : le désastre en cours (que seuls ces propagandistes s’acharnent encore à faire passer pour une politique sensée) aurait été impossible si la presse s’était montrée digne de ce nom en faisant un travail honnête.
Je rappelle juste pour mettre les points sur les i l’état actuel des constats :
– La « pandémie » de Covid aura été une épidémie bénigne (selon les termes du meilleur spécialiste français, l’épidémiologiste Laurent Toubiana) et en réalité une syndémie qui n’aurait jamais dû entraîner aucune mesure d’exception ni atteinte aux droits et libertés d’aucune sorte.
– Les traitements précoces fonctionnent évidemment, y compris la vitamine D, et auraient permis de réduire massivement la mortalité !
– Les confinements, dont on savait parfaitement qu’ils ne servaient à rien, n’ont (surprise !) servi à rien tout en provoquant -comme on savait également que ce serait le cas- des dommages dévastateurs.
– Les masques étaient évidemment inutiles et même toxiques, pour toutes les catégories de la population, conclusions confirmées si besoin était par plusieurs études récentes.
– Le masquage des enfant et des jeunes, mesure inutile mais à fort impact traumatique, aura constitué une maltraitance particulièrement grave et odieuse.
– Les pseudo-vaccins n’ont pas eu d’utilité, à aucun stade : les atteintes cardiaques qu’ils produisent l’emportent hélas sur les maigres et douteux bénéfices. On observe même des pics de mortalité hautement préoccupants dans les trois semaines suivant les injections.
– Ils ont été mis sur le marché sans répondre aux critères requis, bénéficiant de la collusion avérée des agences du médicament et d’un pur déni de science – ainsi que du droit, avec la complicité coupable des parlements.
– L’expérimentation génique à l’échelle de la population, rigoureusement prohibée par la Convention d’Oviedo, constitue un crime et même possiblement un crime contre l’humanité.
– Le consentement libre et éclairé des injectés a été rendu impossible puisque l’information donnée a été fragmentaire et frauduleuse : les agences qui ont donné leur feu vert ignorent à ce jour la composition exacte des injections en plus d’avoir entériné des études falsifiées !
– La médecine s’est rien moins que prostituée et faisant allégeance à des intérêts criminels.
– Nos autorités ont imposé un chantage vaccinal et donc usé de contrainte envers la population, ce qui constitue un délit pénal.
– Ceci en imposant des mesures attentatoires aux libertés et aux droits fondamentaux pour le seul profit de firmes criminelles multi-récidivistes.
– Et en présentant de manière mensongère une injection génique expérimentale comme étant un « vaccin sûr et efficace » alors qu’il ne s’agit pas d’un vaccin (comme l’a reconnu le président du Conseil scientifique corrompu en France), et qu’elle n’est absolument pas sûre ni efficace, comme en témoigne une explosion sans précédent du nombre d’effets indésirables notamment mortels, avec une incertitude totale sur les possibles effets dommageables à moyen et long-terme.
– Tout ceci en faisant le lit du « Great Reset » de Klaus Schwab, soutenu avec enthousiasme par nos gouvernants alors qu’il contient des affirmations et des projets rien moins que fascistes (comme réduire la population mondiale à l’indigence ou qualifier de « vies inutiles et coûteuses » certaines catégories entières de la population). Nous devons absolument mettre nos « autorités » devant la question : « Soutenez-vous oui ou non cette vision du monde ainsi que cet agenda abominables et cauchemardesques ?! »
Et oui, la clé de tout ce merdier, c’est bien le travail de propagande, de stigmatisation et de harcèlement mis en œuvre par les « médias ». Fort bien décrit et analysé par le journaliste scientifique Xavier Bazin dans une série d’articles que je recommande à tout esprit honnêtement désireux de comprendre ce dans quoi nous nous trouvons.
- Pour lire « Qui a vacciné les médias contre le débat démocratique? » sur Covidhub.ch : cliquer ici.
- Pour lire « Dans les coulisses du formatage médiatique » sur Covidhub.ch : cliquer ici.
- Pour lire « Comment les firmes de relations publiques fabriquent la peur depuis 2020 » sur Covidhub.ch : cliquer ici.
- Pour lire « La force de frappe des agences de presse pour forger l’opinion publique » sur Covidhub.ch : cliquer ici.
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En ce qui concerne Heidi et Le Temps, je continue à me demander comment un organisme philanthropique jusque là irréprochable et respecté comme la Fondation Hans Wilsdorf a pu se laisser entraîner dans une telle dérive, avec un dégât forcément durable à sa réputation. Avec la même question pour François Longchamp, ancien président du Conseil d’État genevois et actuel président de la fondation Aventinus ainsi que pour Eric Hoesli, journaliste expérimenté et président de ces deux torchons.
J’énonce tout ceci en répétant que je n’ai rien personnellement contre aucun journaliste autre que ceux se comportant avec vilenie, comme en témoigne le récent incident qui s’est produit à Saintes. Alors que le quotidien Sud-Ouest avait lui aussi cédé à la bêtise et à la malveillance en traitant d’ « antivax » les participants à une conférence dans laquelle j’intervenais, j’ai commencé mon laïus en demandant que s’il y avait des journalistes dans la salle, nous nous abstenions de les siffler ou de les huer. En invitant ensuite, fermement mais courtoisement, les concernés à renoncer à ces étiquettes qui sont des insultes à l’intelligence et un stérilisateur (c’est bien leur fonction) de tout débat honnête.
Un journaliste venu plus tard sur place se fit malheureusement huer. Je lui exprimai alors ma sincère consternation face à ce qu’il venait de vivre. Ce n’est pas parce que le camp de la propagande agit de manière indigne que nous devons nous abaisser à leur niveau. Mais comment ne pas comprendre hélas cette colère légitime d’une forte minorité de la population, traînée dans la boue sans vergogne par les rédactions avec un mépris et une brutalité proprement inacceptables, depuis des mois et des mois ? Il est par contre tout-à-fait déplacé à mes yeux que cette frustration se déverse contre le premier venu…
- Pour lire « À Saintes, une conférence réussie sur la Covid, sauf pour un journaliste de Sud Ouest » dans le magazine Nexus : cliquer ici.
Les journalistes me donnent vraiment l’impression de vivre sur une autre planète. A l’abri des murs de leurs rédactions, ils s’imaginent même faire œuvre vertueuse avec leurs agissements coupables. Et c’est bien la marque du basculement totalitaire : quand un groupe dominant estime pouvoir user de tous moyens utiles (y compris veules et malhonnêtes) pour une finalité qu’il considère essentielle, alors la déchirure existentielle et éthique s’est produite et les portes sont ouvertes à une bassesse et une brutalité de plus en plus graves.
Voilà dans quoi sont tombées nos « élites médiatico-sciento-politiques ». Et nous continuerons à les interpeler bien en face en leur demandant des comptes, inlassablement.
Quant à Heidi Le Temps, comment mieux se saborder qu’en adoptant comme ils le font la bassesse, la malhonnêteté et l’abus comme modes de fonctionnement par défaut ?! C’est rien moins que suicidaire. Et franchement puant pour parler français.
Le patois – que les bien-pensants de l’époque se sont acharnés à éradiquer- avait de bien savoureuses expressions pour nommer les travers et dérives humaines. Pour les gens infatués et imbus d’eux-mêmes, prenant les autres de haut, nos ancêtres avaient par exemple celle-ci :
« Fiè comme onna lemace su’onna baôse ».
En français : « Fier comme une limace sur une bouse de vache. »
Pauvre Heidi, bien souillée hélas…