La sagesse populaire reconnaît qu’en matière d’entourloupes et de crapuleries, « plus c’est gros mieux ça passe ». La crise pseudo-sanitaire valide cet adage d’une manière à la fois hautement pédagogique et désolante. Alors que le « narratif » officiel continue de se craqueler au point de ressembler à un vieux plat en porcelaine ébréché, fendu, et sur le point de voler en éclats, les « autorités » et la « presse » continuent d’enfoncer avec l’énergie du désespoir le clou d’une doxa proprement délirante.
Ne boudons pas notre plaisir : les temps deviennent de plus en plus rudes pour ceux qui nous gouvernent. Leur acharnement à faire illusion ressemble à un chant du cygne et l’on voit mal comment la déferlante actuelle d’informations contraires pourrait se briser indéfiniment sur les digues (massives il est vrai) de leur dénégations forcenées.
C’est une des beautés vénéneuses de l’hypnose collective dans laquelle reste plongée (mais elle s’en éveille peu à peu) la majorité de la population que la flambée de tentatives de rationalisations exonérantes. Les « vaccins » (qui n’en sont pas) ne ralentissement aucunement l’épidémie, ils ne protègent pas contre l’infection (ce qui est faut-il le rappeler la définition du mot), ni même contre les hospitalisations ? Never mind, ils protègent contre les formes graves et les décès nous dit-on – ce qui s’avère à nouveau parfaitement faux, nous le montrerons plus bas.
Alors ?…
Dans la rubrique « on nous prend vraiment pour des idiots », les « zélites » (ceux qui ont le pouvoir de dire et de faire) se surpassent avec une créativité digne de Ionesco, Kafka et Jarry réunis. Il y a du Ubu Roi dans la gestion « sanytaire » avec sa « pompe à phynances », cornegidouille !
Le Président de la Confédération helvétique, médecin de son état, a été tout récemment interrogé par un journaliste pour une fois moindrement insistant : « Peut-on savoir dans les chiffres avancés quel est le nombre de personnes hospitalisées ou décédées à cause du Covid et non avec le Covid ? » (Distinction dont nous relevons l’importance fondamentale depuis deux ans…) « C’est vrai, il est impossible de le savoir, de répondre le Président, mais cela n’a aucune importance » ajoutant « ça dépend de l’OMS » n’est-ce pas ?!..
I beg your pardon ?!
Depuis deux ans, on met donc toutes les personnes décédées dans la catégorie « morts du Covid » même si elles sont mortes de causes qui n’ont rien à voir (piqûre de scorpion, cancer, infarctus, suicide ou accident) dès lors qu’elles ont un test PCR positif (lequel produit un taux astronomique de faux-positifs comme nous le verrons plus bas) ou qu’on soupçonne qu’elles pourraient avoir la maladie…. Et cela est sans importance ?!
Comme le soulevait Martin Kulldorff, épidémiologiste à la Faculté de médecine de Harvard, il aurait été méthodologiquement fort simple de démêler les uns des autres. La vérité est que cela n’a pas été fait, ce qui ne peut être que délibéré dès lors que c’est la première information dont nous aurions eu besoin pour bien gérer la « pandémie » et qu’elle était facile à obtenir.
Sans importance donc selon le bon Dr et Président Ignazio Cassis…
En incluant commodément dans les morts du Covid une proportion non-négligeable des décès de l’année, on a évidemment complètement faussé l’ordre de grandeur. La réalité est implacable : il n’y a pas eu de pandémie de Covid. Oui, vous avez bien lu : il n’y a pas eu de pandémie de Covid, ni en 2020 ni en 2021.
C’est-à-dire que si on respecte la définition normale et de bon sens du terme (prévalent précédemment) décrivant « une épidémie se produisant en même temps dans de nombreux pays et causant une mortalité inhabituelle » eh bien la seconde partie de la définition est simplement manquante.
Les épidémies respiratoires font bon an mal de 2,5 à 4,5 millions de décès à travers le monde, touchant essentiellement des personnes en fin de vie ou souffrant de maladies graves (co-morbidités). L’influenza ayant quasiment disparu en 2020, le bilan habituel de cette catégorie nosologique n’a pas bougé. Il n’y a eu aucune surmortalité inhabituelle due au Covid, en 2020 ni en 2021, ni dans le monde, ni en Suisse, ni non plus en France. Ce que le professeur et chercheur canadien Denis Rancourt a parfaitement montré dans un article qu’il a consacré à cette question.
Mais bon quelle importance, n’est-ce pas dès lors que la population est bel et bien terrorisée ?… comme si c’était là la seule chose qui comptait aux yeux des gouvernants.
Ne reste qu’à faire passer ceux qui rappellent ces réalités pour des « corona sceptiques » voir des conspirationnistes ou des négationnistes (ce à quoi la presse payée n’a cessé de s’employer) et le tour est joué. Never mind les données, never mind la science, never mind la terreur absurde générée et sa nocivité. Never mind l’épidémie de suicides actuellement en cours, never mind le mal-être déchirant des jeunes et des enfants, conséquence des mesures absurdes et non bien sûr de la non-pandémie.
Dormez en paix, braves gens, ceux qui savent ce qui est important ou non veillent au grain pour vous éviter d’avoir à penser. Et never mind pour les jeunes et les enfants sacrifiés au passage : on n’allait tout de même pas prendre au pied de la lettre le préambule de la Constitution qui brasse décorativement de l’air en affirmant (ce qui ne mange en effet pas de pain) que « la force de la communauté se mesure au bien-être du plus faible de ses membres ».
Tant que les pharmas font des milliards…
La moitié des hospitalisations comptabilisée « Covid » ne sont pas en lien avec le Covid : et alors ?!
Autre exemple frappant : les données des hospitalisations sont enfin sorties à la faveur de cette « quatrième vague » (elle aussi inexistante, nous le verrons…) et concomitamment dans différents pays. De toutes les personnes signalées comme hospitalisées « pour cause de » Covid, la moitié sont en fait à l’hôpital pour de toutes autres raisons.
Ce qui veut dire que les chiffres sont là encore outrageusement gonflés. Eh bien devinez quoi : cela n’a non plus aucune importance…
C’est ce que le directeur général des Hôpitaux universitaires de Genève est venu expliquer, l’œil de velours et la bouche en cœur, sur la chaîne de télévision locale et diligemment servile Léman Bleu. « C’est vrai, a-t-il doctement expliqué, mais c’est une donnée tout-à-fait marginale. »
A vrai dire, les hôpitaux universitaires sont multi-récidivistes de ce genre de malhonnêtetés : les journalistes d’investigation Catherine Rivaz et Serena Tinari avaient montré à l’automne 2020 (pendant la prétendue « 2ème vague » – en fait une résurgence saisonnière) comment les hôpitaux avaient déformé les chiffres à des fins de précaution de remboursement. Il n’y avait pas eu de surcharge significative par rapport aux taux d’occupation habituels à cette période !
Mme Suzette Sandoz, professeur de droit honoraire et ancienne parlementaire fédérale, a relevé sur son blog hébergé par Le Temps le fond possible du problème :
« Le Temps de ce 7 décembre (p. 3 « Pourquoi les hôpitaux hésitent à ouvrir des lits covid ») révèle que c’est une bisbille financière entre la Confédération et les cantons qui semblerait à l’origine du manque de lits covid.»
Mme Sandoz indiquant (en titrant son billet) : « Si c’est vrai, c’est criminel ».
Ben….
Tous les connaisseurs le savent : la surcharge des services de soins intensifs sont récurrente d’année en année du fait de la logique économétrique à laquelle l’univers soignant est soumis depuis une bonne décennie. La compilation de titres en provenance du Québec est illustrative – on trouve cependant bien sûr l’équivalent dans tous nos pays.
Rien de particulier donc, mais à nouveau : peu importe. Et tant pis (ou tant mieux) si ça fait aussi paniquer la population…
PCR bidons ? Ben oui
Ah tiens, aux États-Unis, les CDC (Centers for Disease Control) viennent de reconnaître ce que nous avions aussi dit depuis bientôt deux ans, à savoir que les tests PCR employés comme ils l’ont été ne permettent pas d’identifier les personnes infectées ni donc de connaître leur nombre. Aux taux de cycles d’amplification employés (> 35CT), ils ne détectent dans plus de 97% des cas que des débris de matériel génétique viral en l’absence de toute infection comme le montre le tableau suivant :
Relevons qu’en Suisse, un procédé de dépistage révolutionnaire, peu coûteux, rapide et hyper fiable avait été développé par une équipe de l’École polytechnique fédérale de Lausanne, permettant à l’inverse de déterminer si une personne est réellement infectée. Les ingénieurs qui l’ont développé se sont heurtés à un mur partout où ils ont essayé de faire comprendre l’intérêt de leur découverte.
A quoi bon en effet s’embarrasser de tests peu chers, rapides et hyper fiables quand le mésusage des PCR a permis à d’aucuns de faire des milliards de francs suisses de bénéfice (« follow the money ») tout en faisant croire artificiellement à une raz de marée épidémique ?! Comme l’a soulevé l’épidémiologiste (un des rares vrais spécialistes des épidémies dans le monde francophone) Laurent Toubiana, il n’y a pas eu de 3ème, 4ème ou 5ème vagues. L’expert parlant, données probantes à l’appui, de « plus gros mensonge de tous les temps ».
Pour celles et ceux que cela intéresse, les résumés du statisticien Pierre Chaillot (qu’il a présentés lors des séances du Conseil scientifique indépendant ou sur sa chaîne Youtube) sont des petits bijoux : nous avons en réalité une épidémie sans malades, une épidémie de tests : les PCR sont si peu fiables que si vous testiez les enfants des écoles primaires avec un dispositif avec une sensibilité comparable pour détecter les gestations, vous trouveriez… une épidémie de grossesses asymptomatiques chez les garçons comme les filles pré-pubères ! Eh non, ce n’est pas une exagération ou de l’humour, c’est littéralement ce à quoi nous sommes confrontés avec le testing généralisé tel qu’il est pratiqué.
Ce qui n’empêche bien sûr ni les médecins de plateau TV ni les gouvernants (tant qu’à faire) de faire paniquer encore un peu la population ni les journaleux de continuer à n’y rien comprendre (ou faire semblent) comme la Tribune de Genève qui, face aux données des tests titrait hier encore « x cas de Covid à Genève »… Comment éduquer des journaleux qui, au bout de deux ans, n’ont toujours pas compris qu’une personne asymptomatique testée positive au PCR n’est pas malade du Covid ?! Il faut croire que c’est mission impossible par les temps qui courent. Ils sont apparemment trop bien financés pour qu’il leur reste suffisamment d’intelligence ou éthique…
Donc : une pandémie fabriquée de toutes pièces là où un nouveau virus s’est substitué à ceux qui sévissent couramment pour un bilan strictement comparable. Et des « vagues » parfaitement artificielles et ne correspondant à aucune réalité épidémiologique (= des gens réellement malades) en 2021.
Tout ceci est encore et toujours sans importance…
La liste des mensonges est d’autant plus redoutable qu’elle contient toutes les désinformations passées dans le domaine public et auxquelles la population croit – exactement comme les enfants croient aux contes de fées.
Difficile de parler avec des gens qui sont sincèrement convaincus d’un paquet de fadaises et qui regardent comme « complotistes » tous ceux qui les remettent en question sans même s’intéresser aux faits et aux données. La stratégie d’étiquetage mise en œuvre (très savamment) dès le début de l’affaire a fonctionné à merveille, en particulier avec les journalistes. Ceux -ci ont eu toute licence pour s’abstenir de penser, de se documenter, de vérifier. Ainsi que le malheureux Alexis Favre (speaker à la télévision suisse romande) l’a développé sans fausse vergogne dans une interview donnée à L’Impertinent média, les choses sont toutes simples pour ces gens-là : il y a un consensus scientifique stalinien en faveur des mesures prises et tous ceux qui pensent l’inverse sont des marginaux croyant aux reptiliens et que la terre est plate. Heureux homme ! Comme il doit être confortable de vivre dans un monde aussi régressif et infantile… à condition que Maman n’oublie pas de faire des crêpes.
De tels états hypnotiques sont réfractaires au réel comme le montre Mattias Desmet, professeur de psychologie clinique à l’Université de Gand, en s’appuyant sur le concept de « formation de masse » : vous auriez beau leur mettre un éléphant sous le nez qu’ils continueraient à prétendre que l’existence des pachydermes est une théorie du complot. Je ne blague -à nouveau- pas : nous avons tous en tête je crois ces scènes d’hypnose de cabaret où des gens bien sous tout rapport tiennent des conversations téléphoniques avec des proches avec leur chaussure tenue contre l’oreille en guise de combiné. Voilà l’état actuel des politiciens et des journalistes, et même de la plupart des « scientifiques ». Vous parlez d’un Bazar…
Complot, complots
Pour en revenir aux complots, donc, ce qu’il y a d’amusant (mais ces faits ne perceront pas le mur de l’hypnose collective avant plusieurs années) c’est que les révélations se succèdent actuellement qui en montrent l’estomaquante ampleur. Et confirment si besoin était combien les journalistes auraient été mieux avisés d’investiguer plutôt que de se vautrer sur l’oreiller de paresse de l’étiquetage « complotistes ».
Serge Michel, un ancien du Monde (quand on voit ce que ce torchon est devenu, c’est assez raccord) a ainsi poursuivi de sa vindicte dénonciatrice une poignée de malheureux sans se poser la moindre question sur la montagne d’anomalies observées et ses possibles causes. Une caricature de journalisme… entraînant dans ses pratiques douteuses des canards auparavant plutôt estimés comme Le Temps et Heidi News. Lesquels ont dérupité grave comme on dit par chez nous.
Or donc, les informations sortent, aux États-Unis principalement, où le Dr Fauci (le maître d’œuvre de la politique américaine contre le Covid, de sinistre réputation) est actuellement sur la sellette pour la somme de malhonnêtetés (et même de crimes) qu’il semble avoir commis. En voici un petit florilège non exhaustif, dont vous ne lirez pas le moindre iota dans la « presse » romande.
Tout d’abord, il est aujourd’hui avéré (en dépit de ses dénégations pathologiques) qu’il a bel et bien financé des recherches portant sur des gains de fonction sur les coronavirus de chauve-souris au laboratoire de Wuhan. Pour rendre ces charmants bidules plus létaux et plus infectieux…
Sollicitée pour financer ces expériences, l‘armée américaine (et son officine consacrée au développement de bio-technologies à potentiel militaire, le DARPA) y avait renoncé du fait de la dangerosité de telles expériences et de l’interdiction imposée à ce type de recherches par le gouvernement US. Anthony Fauci s’est donc débrouillé autrement. Ayant affirmé l’inverse sous serment devant une commission du Sénat, il tombera probablement pour ce fait de parjure -lequel constitue un crime aux États-Unis.
Ensuite de cela, les e-mails divulgués par décision de justice (au titre de la loi sur la transparence de l’information – FOIA) montrent que Fauci a été informé très tôt que l’hypothèse la plus probable au sujet du Sars-CoV-2 était qu’il s’agissait d’un virus trafiqué qui se serait échappé du labo P4 de Wuhan ! Vous vous souvenez, cette hypothèse que les médias se sont évertués à qualifier de « conspirationniste » pendant une bonne année…
La manipulation est aujourd’hui établie : dès qu’il a été en possession de cette information, Fauci a martelé publiquement sa conviction quant à l’origine naturelle du nouveau coronavirus. Et mandaté avec le sulfureux Pr Daszack (démis de ses fonctions depuis à la tête de EcoHealthAlliance) un groupe de plus de 25 scientifiques, lesquels ont publié une tribune dans The Lancet (cette revue médicale soi-disant prestigieuse qui a publié puis rétracté un article frauduleux contre l’hydroxychloroquine) qualifiant l’hypothèse de l’échappement du virus du labo de Wuhan de « théorie conspirationniste ». Le tout était joué et le grand public comme les « zélites » (journaleux en tête) ont mordu à l’hameçon.
Ensuite, les documents de l’armée américaine révélés devant le Congrès par les enquêteurs du « projet Veritas » montrent que l’efficacité de l’ivermectine et de l’hydroxychloroquine a été établie dès le mois d’avril 2020. Tous les « essais cliniques » mis sur pied par l’OMS et les affidés de la corruption systémique dans différents pays n’ont servi (à dessein, le design frauduleux des essais en garantissait les résultats) qu’à aboutir à la conclusion fallacieuse que leur efficacité n’est pas prouvée.
Alors que l’efficacité de ces traitement est aujourd’hui confirmée par des centaines d’essais de qualité (observationnels et randomisés) réalisés dans différents pays.
- Revue des études sur l’ivermectine : cliquer ici.
- Revue des études sur l’hydroxychloroquine : cliquer ici.
Ainsi que confirmée par l’impact majeur sur l’épidémie observée dans les pays qui ont choisi d’y avoir recours comme le Japon, le Mexique et certains états de l’Inde.
Les centres de nos hôpitaux universitaires continuent pourtant de nier cette somme d’évidence pour ne pas contrarier leurs généreux et évidemment désintéressés donateurs. Et il a été montré comment l’expert mandaté par l’OMS pour évaluer l’utilité de l’ivermectine a subi des pressions et touché des sommes importantes pour réviser son jugement.
Sans importance à nouveau, bien sûr… sachant que la négation de l’existence de traitements efficaces est une condition nécessaire à l’octroi d’autorisations conditionnelles pour les injections géniques appelées abusivement « vaccins ». Et qu’elle aura, sur les 4 ou 5 millions de morts imputés au Covid, condamné 1 ou 2 millions de personnes qu’on aurait pu sauver avec les traitements en question. Cet homicide à large échelle a aussi été perpétré en Suisse avec la complicité de Swissmedic et des hôpitaux universitaires mais aussi de responsables politiques comme Mauro Poggia, sans oublier des sociétés médicales et nombre de médecins cantonaux, comme dans le canton de Fribourg.
Pour en revenir à notre brebis galeuse et non content d’en rester là, Anthony Fauci et le directeur à cette époque des NIH (National Institutes of Health) ont conspiré (eh oh, Heidi News ?! Le Temps ?! Le Monde ?! Libération ?!) pour dénigrer violemment la Déclaration de Great Barrington, dans laquelle quelques-uns des plus renommés épidémiologistes (soutenus par 50’000 scientifiques et médecins à travers le monde) rappelaient les bonnes pratiques en santé publique, relevaient la destructivité des mesures de contrainte qui ne font aucun sens et n’avaient pour cette raison jamais été recommandées dans aucun plan pandémie, et plaidaient pour la seule approche intelligente : la protection ciblée des groupes à risque tout en laissant vivre normalement la population. Approche qui est la seule stratégie scientifique en la matière et donc le « golden standard » des bonnes pratiques en matière de gestion des épidémies.
Or donc, Fauci et Collins conspirèrent vigoureusement pour (selon leurs propres termes) faire passer les épidémiologistes en question (pratiquant à Harvard, Stanford et Oxford !) pour des « marginaux » proposant une approche laxiste mettant en danger de manière non-éthique la population. Description qui n’a rien à voir avec la protection ciblée mais qui fit florès, reprise dans tous les cercles nationaux de la corruption institutionnelle en santé comme le « Conseil scientifique » en France ou la « Task force » et les médecins de plateau comme Didier Pittet, Samia Hurst et Antoine Flahaut en Suisse.
Alors que nous avions déjà les connaissances les plus robustes en la matière, plus de 400 études et articles scientifiques récents ont confirmé l’inutilité et la destructivité des mesures comme les confinements, la fermeture des écoles ou le port du masque.
Never mind tout cela est sans doute aussi sans importance : Didier Pittet s’est ainsi permis, face au professeur de philosophie des sciences Michael Esfeld lors d’un rare débat contradictoire sur les ondes de la télévision suisse romande, d’affirmer de manière péremptoire que « l’utilité des confinements avait été absolument prouvée »… Fichtre ! A quoi bon la science, quand on peut, perché au sommet de sa propère tour d’ivoire, céder à la tentation du fanatisme religieux le plus délicieusement exonéré du réel !
Masques ?!
On sait de surcroît que le port du masque contre le Covid est non seulement inutile mais encore nocif. Là encore, une revue de littérature de plus de 167 études et articles le montre sans la moindre espèce d’ambiguïté. A fortiori, l’imposer à journée longue aux enfants des écoles primaires comme secondaires est même carrément toxique. Une absurdité qu seuls des esprits malades et rendus incapables de discernement comme de compassion sont capables d’infliger. Pourtant, les gouvernants viennent de ré-imposer cette maltraitance grave (c’en est une), sans aucune validité scientifique, à la faveur d’un variant Omicron par ailleurs Dieu merci peu virulent.
Ces mesures brutales suscitent l’indignation de nombreux parents ainsi que de médecins et scientifiques intègres et au courant des données réelles de la science. Le dogme du port du masque (une mesure qui n’avait été imaginée dans aucun plan pandémie) a cependant tellement colonisé les esprits que nombre de politiques, enseignants, journalistes et même médecins continuent de croire dans cette mesure, un peu comme on croyait à l’époque que les gousses d’ail éloignaient les vampires…
La science à l’inverse des fantasmes se construit sur la rigueur et la transparence des données et les études disponibles. Les dogmes et les superstitions n’y ont pas leur place.
On trouve pourtant des « experts » comme Antoine Flahaut, directeur de l’Institut de santé globale (?!?), pour réclamer à cor et à cris, été comme hiver, une telle malveillance. Ou encore comme Philip Jaffé, professeur titulaire au Centre d’études des droits de l’enfant (CED) et membre du Comité des droits de l’enfant de l’ONU), pour cautionner cette dérive consternante dans les pages de la Tribune de Genève, sous le titre « des experts répondent aux craintes des parents ». Ce qui fait peur à vrai dire c’est d’avoir de tels experts pour « s’occuper du bien » des enfants…
A ce stade de cet article, le lecteur se dira probablement que tout cela fait en effet lourd dans la balance.
Ce n’est pourtant que la première partie du repas : la question pseudo-vaccinale doit encore nous occuper. Et c’est à nouveau copieux sinon bourratif.
« Vaccin » : vous avez dit « vaccin » ?
Or donc, voici un produit génique expérimental, présenté à tort mais avec des avantages marketing évidents comme un vaccin, mis sur le marché en un temps record. On sait aujourd’hui qu’un plan mondial pour imposer la vaccination était prêt dès début 2019 (tiens, tiens). Le produit expérimental a surtout été diffusé dans des conditions proprement scandaleuses, à la faveur d’une opération que l’on ne peut que qualifier d’escroquerie et de lavage de cerceau collectif.
Les essais présentés par Pfizer (sans que le fabriquant ait à dévoiler ses données – c’est en voie de correction par décision de justice alors que la FDA demandait un secret de 75 ans avant d’avoir à les révéler !) dans le New England Journal of Medicine sont massivement truqués et donc frauduleux.
Si le bien-fondé de la stratégie vaccinale est actuellement en état de destruction avancée (nous y viendrons), il faut bien comprendre que l’option du « tout-vaccin » était irréaliste d’emblée : les virus à ARN mutant en permanence, mettre fin à une épidémie de cette nature grâce à des vaccins était une idée en-soi totalement absurde.
Les « résultats » annoncés par Pfizer (de 95% d’efficacité relative) étaient pareillement impossibles : même sur le premier variant, elle aura été au mieux de 50% et plus probablement de l’ordre de 19-29%, comme le British Medical Journal l’avait très vite évalué. La différence ? Fraude et propagande. Répétée dans l’étude « à six mois », tellement grevée de manipulations que sa demande de publication, dans un monde non-corrompu, aurait dû simplement être refusée.
Cela n’a pas empêché la cohorte de marchands de tapis en blouse blanche d’ânonner dans une sorte de transe fiévreuse, un peu comme un mantra, le « 95% d’efficacité » fantasmatique. Que des guignols pareils se réclament de la science (« il faut suivre la science » a osé clamer, superbe, Didier Pittet…) laisse pantois. Encore que le fond de la bouteille d’encre ne soit pas très difficile à discerner,,,
Les essais n’ont absolument pas abordé des critères de sécurité essentiels comme la cancérogénicité ou la génotoxicité. L’agence européenne du médicament (EMA) l’avoue ingénument : les laboratoires n’ont simplement pas eu le temps d’établir un quelconque profil de risque en la matière. Rendez-vous compte : si on devait découvrir au fil des mois que les injections géniques favorisent en fait l’apparition de cancers (des données solides pointent déjà en ce sens), les « vaccinés » n’auront plus qu’à prier alors que les labos faisant actuellement des dizaines de milliards de dollars de bénéfices ont obtenu une exonération éternelle de toute responsabilité en cas de pépin. Et dire que d’aucuns trouvent outrancière l’expression de « cobaye » pour décrire les sujets de cette expérimentation à large échelle – par ailleurs rigoureusement prohibée par les conventions internationales.
La promotion de ces substances dangereuses s’est accompagnée d’une propagande de tous les diables, relayée par la « presse » et les politiques. « Le vaccin (génique) est sûr et efficace » brayaient en cœur Alain Berset et Mauro Poggia et l’ensemble des médias suisses financés par l’état. Ceux-ci professaient même (pitoyable Le Temps) que le vaccin « était la seule stratégie possible » comme s’il appartenait à des médias de se faire représentant de commerces au service des opérations crapuleuses de Big Pharma. On eut donc droit à une série de messages qui heureusement resteront dans l’histoire : les « vaccins » sont « extraordinairement efficaces » , ils protègent « pendant plus de trois ans » (Task force scientifique suisse cet été !) ; l’immunité « vaccinale » est de loin supérieure à l’immunité naturelle ; ils n’empêchent en fait pas la transmission mais ils protègent des hospitalisations et des décès.
Paroles paroles paroles
Chacune de ces affirmations n’était que foutaise, proférée avec conviction par les serviteurs de la corruption. A chaque reculade, les masses azimutées se sont rabattus comme des damnés sur l’affirmation suivante : même si elles n’empêchaient pas d’être infecté et contagieux (!) les injections « protègent des formes graves » (ce qui est également faux on le verra dans un instant). Conclusion rageuse ? Les honnêtes citoyens vertueusement « vaccinés » se trouvaient désormais « pris en otage » par les non-vaccinés, traités tant qu’à faire de « passagers clandestins » !
Si le seul argument restant devait être que l’injection génique protège en définitive des ongles incarnés, il se trouverait encore des fanatiques pour vous le hurler au visage (avec des postillons possiblement contagieux) tout en vous traitant d’irresponsable…
Tout ceci avec à la clé l’apparition de processus de stigmatisation, de discrimination et même de persécution caractéristiques des dérives génocidaires. Les gens ont bien sûr de la peine à le comprendre, mais quand un Emmanuel Macron affirme que les non-vaccinés sont des irresponsables et de ce fait ne sont plus des citoyens ; ou quand le maire de Nice, Christian Estrosi, dit que les chômeurs non-vaccinés devraient être privés des allocations auxquels ils ont droit pendant que de soi-disant médecins se posent la question de savoir s’il faut réanimer les non-vaccinés qui se retrouveraient aux soins intensifs, on est dans un ordre de gravité majeur. J’ai souligné comment, sur la base des échelles dont nous disposons, nous avons avec de tels propos déjà franchi huit des dix étapes reconnues des processus génocidaires. Cette compréhension restant bien sûr hors d’atteinte des journaleux, comme les champions de l’émission Mise au point en ont fait l’éblouissante démonstration.
On comprend bien sûr comment les vrais irresponsables, ceux qui nous ont mis dans ce merdier à force d’imbécilité et de corruption systémique, tentent de faire diversion avec une énième putritude. Jouer ce jeu-là est simplement nauséabond et odieux.
La stratégie vaccinal est un fiasco intégral
Les vaccinés donc sont excités et montés par la propagande contre ceux qui ont eu la sagesse de s’abstenir de se soumettre à cette expérimentation à haut risque, auxquels les données disponibles donnent désormais raison : la stratégie « vaccinale » est un fiasco complet.
D’abord, les dernières assertions-prétexte des covidistes sont elles aussi erronées : les injections géniques n’offrent en réalité aucune protection significative contre les hospitalisations et les décès. Bien pire, on observe l’apparition préoccupante d’ une immunodéficience acquise résultant des injections géniques.
Vous avez bien lu : les injections répétées de cette substance détruisent de manière durable et probablement irréversible l’immunité naturelle.
- Voir le « COVID–19 Vaccine Surveillance Report Week 42″ de la UK Health Security Agency, p. 23 : pour lire le rapport en anglais, cliquer ici.
« Les niveaux d’anticorps N semblent être plus faibles chez les personnes infectées après deux doses de vaccin ». Il est également précisé que cette baisse des anticorps est en fait permanente…
Cette alerte étant également confirmée par les données allemandes.
Ce qui laisse hélas augurer de vagues de décès chez les « vaccinés », phénomène que l’on observe au demeurant déjà : des signalement provenant de différents pays montrent que la mortalité générale (toutes causes confondues ) a connu une augmentation spectaculaire depuis le début des campagnes vaccinales, sans que cette augmentation ait quoi que ce soit à voir avec le Covid et ses nouveaux variants de plus en plus bénins.
La fable de la protection contre les hospitalisations, les formes graves et la mort est elle aussi complètement battue en brèche. Les statistiques provenant des pays qui pratiquent une compilation des données honnête (comme l’Ecosse) sont sans appel. Dans les diagrammes qui suivent, la proportion de « vaccinés » (en rouge) vs « non-vaccinés » (en vert) se répartit ainsi, de droite à gauche pour les « cas », les hospitalisations et les décès :
On voit par ailleurs que le « nombre de de doses reçues » (ici sur les hospitalisations) ne change rien à l’affaire :
Les « exceptions » française et suisse, martelées par les dévots et suppôts de la doxa, ne sont qu’une manipulation rendue possible par le trucage des données.
Voir à ce sujet sur le blog de Patrice Gibertie:
- « Contaminations, formes graves, effets secondaires : pour chaque nouveau mensonge, quinze aveux pitoyables ! » Pour lire cliquer ici.
- « Voyage au cœur des statistiques de Véran: miracle ou magouille ? » Pour lire, cliquer ici.
- « Les statistiques officielles ne chachent même plus que les injections exposent à la maladie les jeunes et les plus à risque. » Pour lire : cliquer ici.
Les données britanniques montrent que le risque de mortalité générale est deux fois plus élevé pour les « vaccinés » que pour les « non-vaccinés » en-dessous de 60 ans, ce qui est congruent avec l’étude Pfizer à 6 mois où l’on trouve, bien cachée dans les annexes, une mortalité significativement plus élevée dans le groupe des malheureux injectés.
Des assureurs de l’état de l’Indiana (USA) ont rapporté une augmentation de la mortalité toutes causes confondues de l’ordre de +40% lors du troisième trimestre 2021. Les données publiques de santé d’Angleterre et de Pays de Galles ont montré une augmentation de la mortalité de 53% chez les adolescents de sexe masculin inoculés, avec une corrélation parfaite avec l’injection des doses 1, 2 et 3. Le Pr Patrick Meyer, spécialiste en bio-informatique et analyse des systèmes biologiques arrive exactement à la même conclusion au sujet des données européennes : le ratio bénéfices-risques est négatif pour les moins de 40 ans en termes d’impact sur la mortalité.
Le journaliste Alex Berenson a recensé les données britanniques et trouvé une mortalité deux fois plus élevée chez les « vaccinés » que les « non-vaccinés » pour la catégorie des 10-59 ans comme le montre le graphique suivant : :
Ajoutons à cela que l’argument de stratégie sanitaire est lui aussi tombé à l’eau : les campagnes de vaccination comme l’a révélé récemment le Pr Didier Raoult, ont systématiquement eu pour conséquence d’aggraver l’épidémie. Une analyse de big data bayésienne réalisée sur 145 pays ne laisse aucun doute à ce sujet : plus on vaccine plus l’épidémie flambe.
Voici quelques exemples parmi d’innombrables autres selon les données de l’Institut John Hopkins :
Quel splendide succès en effet !..
Effets indésirables et hécatombe post-vaccinale
Les effets indésirables sont dramatiquement élevés, contrairement bien sûr et encore à ce que nous affirment les « médecins de plateau ». En Suisse, le pédiatre vaccinolâtre Alessandro Diana n’a cessé de militer pour l’injection des tout-petits, martelant qu’il n’y avait « aucun effet indésirable observé ». Dans quel univers vit cet homme-là sinon le monde de Mickey ?! On a signalé au contraire une explosion préoccupante des cas de myocardite et d’autres risques inacceptables pour une population qui n’est simplement pas à risque avec le Covid. Les estimations honnêtes évaluent que l’on tuera au moins 117 jeunes pour éviter un décès du Covid dans la tranche d’âge des 12-24 ans. Une pure monstruosité.
Nous disposons aujourd’hui de plus de 1’000 études publiées dans la littérature scientifique (« peer-reviewed« ) documentant la dangerosité des injections géniques expérimentales ! Croyez-vous que les « sachants » du système mafieux médical ou les médias en parleraient ? Tout va bien : Didier Pittet, Samia Hurst, Alessandro Diana et Didier Trono ont péremptoirement essspliqué l’inverse, à moult reprises, alors tout va bien, n’est-ce-pas ?…
La triste réalité est que la pharmacovigilance vaccinale est faite pour dissimuler les données réelles, comme cela a été explicité lors de la dernière séance du Conseil scientifique indépendant. Malgré cela, le nombre d’effets indésirables rapportés est cauchemardesque, sachant que l’on peut évaluer à 5% au plus les cas rapportés vs ceux qui se produisent réellement (pour un ensemble de raisons assez techniques mais développées ici.) Une étude au stade pré-print de l’Université Columbia vient d’évaluer le sous-reporting pour le système VAERS américain pour la pharmacovigilance des injections géniques Covid : il y aurait en réalité 20 fois plus de cas (accidents et décès post-inoculations) que ceux rapportés.
- Pour lire « Une hécatombe « vaccinale »? 20 fois plus de morts que rapportés selon une équipe de l’Université Columbia ! » sur Covidhub : cliquer ici.
Cette réalité, pourtant conforme à la connaissance acquise en la matière, est elle aussi soumise à dénégation par les corrompus du système qui osent affirmer qu’on n’a aucun preuve que les décès relevés soient imputables aux « vaccins ».
Ces affirmations-là sont vraiment problématiques, et même plus. L’imputabilité est calculable et elle se situe à un très haut niveau selon les évaluations qui ont été faites : de l’ordre de 84% pour les équipes du Pr Mc Cullough et de 93% selon la récente analyse du Pr Sucharit Bhakdi, comme expliqué dans la vidéo qui suit.
Sachant que le nombre d’accidents et de décès vaccinaux est en réalité selon toute vraisemblance 40x plus élevé que ce qui est rapporté, nous en sommes actuellement à 720’000 décès probables en Europe uniquement causés par les injections géniques expérimentales. Le calcul est simple : 36’000 décès signalés fois 20 (ajustement en fonction du sous-reporting estimé) fois 85% (pour prendre le bas de la fourchette d’imputabilité).
Ingénieur formé au MIT, Steven Kirsch arrive pour sa part au chiffre de 150’000 morts au moins aux États-Unis.
Sans importance sans doute encore…
Résumons : un effet inverse sur la propagation de l’épidémie, un effet nul sur la protection individuelle, une augmentation significative du risque de mortalité individuelle pour les « vaccinés » et une hécatombe post-vaccinale, y compris chez les jeunes.
Les vaccins sont donc bien sûr toujours « sûrs et efficaces » comme n’ont cessé de nous le rappeler Alain Berset et Mauro Poggia -à l’oreille desquels murmurent les corrompus-, suivis par une horde de parlementaires sous hypnose.
Au Royaume-Uni, l’ancien chef de la « Task force vaccinale » vient de faire connaître publiquement sa position que la poursuite de la campagne de « vaccination » génique est désormais inutile et constitue une perte de temps.
« Allô Berne et la bien-nommée Tour Baudet ?! »
Comment sortira-t-on de ce merdier ?
Cela ne sera ni simple ni sans douleur. Les azimutés responsables de la catastrophe en cours sont enfermés dans une forme de psychopathologie collective littéralement paranoïaque : ce sont devenus des forcenés.
Le reste se jouera à la confluence de l’évolution internationale et des particularismes locaux.
A ce stade, je reste optimiste : les informations sortent de partout, malgré l’occultation et la censure des médias et des réseaux sociaux.
M’étant trouvé très précocement dans la résistance à cette dérive (tant qu’à faire) avec quelques autres, je l’ai souvent répété : c’est aux ralliements que nous détecterons le début de la fin de cette sinistre magouille.
Or l’on voit maintenant d’une part des sénateurs et scientifiques américains monter au créneau avec une culture politique moins pleutre que celle des pays de la vieille Europe. Les révélations vont se succéder et devenir rapidement intenables pour les comploteurs.
Nous avons ensuite des gouvernements qui (contrairement aux nôtres) sont prêts à réviser leur jugement. Le Mexique vient ainsi de lever toutes les restrictions aux frontières. L’Angleterre annonce son intention de renoncer dans les plus brefs délais au « passe vaccinal », qui est un ratage intégral de plus sur le plan sanitaire. L’Espagne vient d’annoncer sa décision de considérer désormais le Covid comme une simple grippe (ce qui aurait dû être le cas d’emblée) et donc de lever toutes les restrictions.
Dans des pays qui ont été très touchés par la coronafolie (comme Israël), des médecins et des associations médicales se lèvent (enfin) pour dénoncer une politique délirante.
Le professeur Ehud Qimron, chef du département de microbiologie et d’immunologie de l’université de Tel Aviv (l’un des plus éminents immunologues de l’État hébreu) vient d’adresser une lettre ouverte musclée aux autorités sanitaires de son pays, titrée : « Il est temps d’admettre votre échec. » En effet.
En France, des leaders d’opinion comme David Pujadas, Pascal Praud, Martin Blachier ou encore le Dr Gérard Kierzeck font feu de tout bois pour dénoncer l’absurdité délirante des mesures prises, Martin Blachier ayant même proféré cette saillie qui résume hélas assez bien la situation : « On dirait aux gens de mettre un pneu sur la tête, ils le feraient. »
Un grand quotidien danois vient quant à lui de présenter ses excuses à son lectorat pour avoir adhéré de manière aussi unilatérale à l’hypnose gouvernementale. « Nous avons été absorbés de façon presque hypnotique par le discours officiel sur le Covid », a avoué la rédaction. Le quotidien tabloïd reconnaît avoir manqué de vigilance et d’esprit critique. Il paraît hélas déraisonnable pour l’instant d’en attendre autant de la presse suisse, belge et française.
Au même moment en effet, le PDG du groupe de presse suisse Ringier se félicitait quant à lui d’avoir étouffé tout débat en exigeant de ses rédactions de faire l’apologie systématique de la politique gouvernementale. Le rédacteur en chef du média en ligne romand bas de gamme Blick a eu beau protester qu’il censurait le débat en toute indépendance, la défense est prodigieusement hypocrite : votre humble serviteur a su de source sûre que les rédactions de Ringier avaient « black-listé » des scientifiques comme les Pr Didier Raoult et Christian Perronne dès le mois d’août 2020. Comme engagement en faveur du débat scientifique, on trouve quand même mieux…
Le Pr Perronne vient d’être auditionné par le Parlement du Luxembourg et son intervention va laisser des traces : alors que la presse corrompue a essayé de le faire passer pour une « complotiste ou même un « antivax », il s’est sans doute fait plaisir en rappelant certains traits saillants de son expérience professionnelle comme : avoir présidé la commission des maladies transmissibles du Haut Conseil de la Santé Publique ; conseillé différents gouvernements français pendant 15 ans sur la gestion des crises sanitaires et des épidémies ; présidé encore le comité technique des vaccinations, et donc piloté la politique vaccinale de la France. Il a également été vice-président du groupe d’experts sur les vaccins pour la zone « Europe » de l’OMS, qui inclut la Russie, les républiques d’Asie centrale, la Turquie et Israël.
Petit rappel utile (pour se réclamer d’une compétence qui n’a rien à voir avec celle des Samia Hurst, Bertrand Kiefer et autres Didier Pittet, idoles de notre presse de fond de province) avant de démonter implacablement les crapuleuses absurdités de la gestion du Covid par nos états.
France tyrannique et Suisse couarde
En France, le gouvernement a pris l’option de la tension maximale. On se demande si ses membres, le président en premier, ne sont pas soudain atteints du syndrome de la Tourette, cette affection neurologique qui se manifeste (dans un petit nombre de cas il est vrai) par l’usage d’un vocabulaire ordurier (« coprolalie »). La réalité sous-jacente est glauque : il est évident à ce stade que pour tenter d’échapper à ses responsabilités (de très redoutables plaintes pénales sont pendantes), le gouvernement cherche à verser de l’huile sur le feu pour légitimer une suspension totale des libertés publiques. Ce faisant, il creuse en réalité sa tombe et il y a fort à prévoir que Macron finira bel et bien comme finissent les tyrans. Je dis cela non parce que je le souhaite (un bon procès avec quelques dizaines d’années de prison à la clé me suffirait) mais parce que c’est la conclusion la plus probable de la logique folle dans laquelle il est pris. Il y a en quelque chose du Caligula de Camus dans cet homme-là…
La chute de la maison Macron prendra le temps qu’elle prendra mais il est douteux que le « président » y échappe, même possiblement à court terme. En Suisse, les choses seront différentes parce qu’il est dans notre culture politique qu’aucun gouvernant ne soit jamais redevable d’une quelconque manière de ses actions politiques, protégé en particulier par la collégialité des décisions. On absout au besoin en étouffant le scandale en se berçant de l’illusion qu’il aurait été impossible de faire différemment et surtout pas mieux. C’est le revers de la médaille du système suisse : une prime à la médiocrité en quelque sorte.
Des (ir)responsables comme Alain Berset, Maura Poggia, les membres de la Task Force, les médecins cantonaux et les professeurs de médecine compromis (ainsi que les directions des hôpitaux) devraient finir eux aussi à l’ombre ne serait-ce au moins que pour le chef d’homicide par négligence- tant pour les victimes des « vaccins » que pour le 50%à 80% des malades décédés effectivement du Covid qui auraient pu être sauvés si les équipes des hôpitaux universitaires n’avaient dénié la science au profit des intérêts crapuleux de Big Pharma.
La corruption institutionnelle, parfaitement attestée et que j’ai simplement fait l’effort de faire connaître dès les débuts de cette sinistre pantalonnade, est une réalité criminelle et homicide, généralisée hélas au sein de nos systèmes de santé. La lâcheté et la prostitution qui prédominent désormais au sein de la médecine hospitalo-universitaire et des sociétés médicales comme de la « recherche scientifique » est un vrai cancer. Que ses apparatchiks aient pu servir à ce point une cause mafieuse au détriment de la santé de la population requerra un travail d’inventaire compliqué mais qui devra forcément être fait tôt ou tard.
Comme le réclame à juste titre le Dr Violaine Guérin du « Collectif Laissons Les Médecins Prescrire » au micro de Nicolas Vidal : « On va imposer un débat public sur la gestion de la crise sanitaire et mettre les élus et la presse face leurs responsabilités.»
Ce sera bien la moindre des choses. Quand les gouvernements mentent et truandent comme les nôtres n’ont cessé de le faire depuis deux ans, il importe de leur rappeler (comme l’a fait l’ancien haut fonctionnaire et essayiste Eric Verhaege) : « Que ces gens-là ne s’imaginent pas qu’ils vont pouvoir échapper aux poursuites. »
A bon entendeur…