Je souhaite à tous les visiteurs de ces pages une belle année, même si l’aphorisme de l’humoriste romand Mirko Rochat me semble bien de circonstance :
On pourrait aussi considérer qu’étant donné ce sur quoi ont débouché nos meilleurs voeux des 31 décembre 2019 et 2020, peut-être cette fois-ci conviendrait-il d’adopter la coutume des gens de théâtre qui préfèrent se dire « m… » avant une première pour éviter de se porter la poisse !
Mais bon :
a. ne tombons pas dans la superstition, il y en assez autour de nous (surtout dans les milieux rationalistes et « scientifikkks ») par les temps qui courent…
b. malgré les brutales scories du temps, ce n’est pas maintenant que nous allons nous décourager !
Je profite de ce passage pour remercier à nouveau les lectrices et lecteurs de ce blog pour leur soutien et leurs encouragements. Sans eux, je n’aurais jamais eu la force de continuer envers et contre tout. Pour avoir échangé avec de nombreuses figures amies de la « résistance » je sais qu’il en est de même pour chacun et chacune d’entre nous.
A cet immense MERCI j’adresse aussi toutes mes excuses à tous celles et ceux qui ont pris le temps de m’adresser un mot ou un message, voire de m’envoyer un livre ou un texte. C’est un choix douloureux que j’ai fait précocement sur ce chemin : recevant à peu près 500 messages personnels par jour depuis bientôt deux ans sur différents canaux, j’ai renoncé sauf exception à y répondre. Tout en éprouvant un regret et même une réelle culpabilité à ce sujet.
La débauche d’énergie fut si exigeante que la mise en œuvre de cette élémentaire politesse n’aurait été possible qu’à la condition de produire moins. J’ai gardé la priorité à cet endroit, et présente en conséquence mes sincères excuses à toutes les personnes que cela aura laissées sans réponse de ma part malgré leur expression de générosité.
Further On Up The Road
Le combat continue. On voit à la lumière des tous derniers événements à quel point les perspectives de compréhension que nous avons proposées au cours des mois étaient -hélas- justes. Si tout ceux qui m’accusent de jouer au « monsieur-je-sais-tout » savaient à quel point j’aurais aimé avoir tort sur des questions comme la faillite éthique et la corruption médicales, la fraude scientifique, la torture psychologique infligée à la population et en particulier à ses groupes les plus vulnérables, le déferlement totalitaire, la bouc-émissarisation des réfractaires ou encore la pulsion génocidaire…
Dans une xième expression de la bêtise générique dont ils font désormais preuve, les « journalistes » de Mise au point (émission dite d’information de RTS) ont trouvé choquants les propos que j’avais tenus à Lausanne juste avant la votation du 28-novembre par lesquels je nommais la réalité du processus génocidaire dans lequel nous sommes ainsi engagés. Les journaleux en question ont extrait un passage de dix secondes (comme c’est leur pratique éclairée) à l’appui de leur critique. Ce qui aurait pu les éclairer la moindre aurait été de citer les dix critères (scientifiquement établis) des processus de génocide que j’avais soumis juste avant à l’analyse de la foule : nous en étions alors à sept critères réunis sur dix !
Que des gens qui se prétendent journalistes soient ignorants et incultes de ces réalités est une chose -cela peut bien sûr arriver. Qu’en revanche ils ne cherchent en aucune manière à comprendre ce qu’il en est non seulement constitue une injure à leur profession mais aussi à la population qui subit le poids de la médiocrité de leur travail. Avec les récents propos orduriers d’Emmanuel Macron, nous en sommes actuellement à huit étapes sur dix des processus génocidaires : dès lors qu’un autocrate se sent légitimé à -et donc libre de- définir quels sont les citoyens et ceux qui ne sont pas dignes de l’être selon que leurs opinions ou leurs choix de vie lui plaisent ou lui déplaisent, il ne reste que la déportation et le meurtre comme critères manquants.
Comme toujours, je ne demande à personne de me croire sur parole, mais à chaque personne ayant un moindre reste de conscience intellectuelle de vérifier par elle-même ce qu’il en est.
- Pour lire les « Dix étapes des processus de génocide » selon le Musée de l’Holocauste de Montréal : cliquer ici.
A propos de totalitarisme donc, Facebook (Meta) continue de faire des siennes. Tout comme un Macron (regrettant en décembre d’avoir blessé certains des ses sujets par des paroles blessantes et s’engageant à ne plus le faire – pour récidiver en janvier), les firmes sociopathes comme FB font amende honorable chaque fois qu’elles doivent comparaître devant une commission parlementaire ou un tribunal pour jurer leurs grands dieux que s’ils se sont en effet mal comportés, c’est fini, effacé, on repart à zéro et dorénavant l’éthique et le droits seront respectés.
Les politiciens nous ont habitués à la naïveté coupable que constitue le fait de croire en leurs promesses. On se souviendra aussi (selon l’adage étincelant que m’a fait connaître Vincent Pavan) qu’un pervers narcissique (selon le découvreur de ce profil) est une personne pour laquelle un mensonge réussi vaut une vérité.
Des menteurs comme Macron, Véran, Berset, Poggia, Gates, Zuckenberg ou les innombrables médecins de plateau qui viennent servir la soupe de ceux qui les paient grassement, relèvent de cette catégories, avec de subtiles nuances entre ceux qui mentent et manipulent délibérément et les « idiots utiles » qui y mettent le redoutable surcroît de croire sincèrement aux mensonges qu’ils profèrent.
Nous sommes ainsi dans un temps où crapules et sociopathes, entourés d’idiots utiles et de lâches, tiennent tous les leviers de commande du pouvoir. Pas étonnant que les choses soient aussi rudes, ceci d’autant plus que la purge des lucides et des bienveillants a été réalisée à large échelle -comme l’a si bien réussi Véran au sein des professions soignantes- pour la plus grand malheur bien sûr de la population.
J’ai cité à différentes reprises ce proverbe chinois : « le poisson pourrit par la tête. » L’effondrement sociétal dans lequel nous sommes pris est avant tout celui des « élites » ou plutôt de celles qui ceux qui se considèrent ainsi. Ceux qui ont, selon la judicieuse définition de Michel Maffesoli, « la liberté de dire et de faire ».
Je garde en ce qui me concerne confiance en les forces vives de la population. Avec le souci que ce sont elles, précisément, que les « élites » cherchent à dépouiller de toute liberté et de tout pouvoir, y compris celui de gagner honnêtement sa vie. La guerre dont Macron nous a informée est celle de ces pseudo-élites profiteuses et dégénérées contre la population. La nomenklatura vs la plèbe…
Pour en revenir à Facebok donc, cette entité incarnation parfaite du néo-stalinisme vient d’en donner une (en ce qui me concerne) ultime confirmation.
J’avais en effet re-publié une citation de Soljenitsyne que je trouvais fort à propos. Extraite du discours prononcé à Harvard sur « Le déclin du courage », l’écrivain y résumait de manière visionnaire ce qui constitue à mes yeux le cœur de la difficulté que nous rencontrons.
La citation est tirée d’un passage plus large disant ceci :
« Vous, en Europe, vous êtes dans une éclipse de l’intelligence. Vous allez souffrir. Le gouffre est profond. Vous êtes malades. Vous avez la maladie du vide. Le système occidental va vers son état ultime d’épuisement spirituel : le juridisme sans âme, l’humanisme rationaliste, l’abolition de la vie intérieure… Toutes vos élites ont perdu le sens des valeurs supérieures. Elles ont oublié que le premier droit de l’homme, c’est le droit de ne pas encombrer son âme avec des futilités…
Cependant, le gouffre s’ouvrira à la lumière. De petites lucioles dans la nuit vacilleront au loin. Il y aura des hommes qui se lèveront, au nom de la vérité, de la nature, de la vie. Ils exerceront leurs enfants à penser différemment, à remettre l’esprit au-dessus de la matière. Ils briseront la spirale du déclin du courage. Ainsi viendra l’éclosion des consciences dressées. Aujourd’hui les dissidents sont à l’Est, ils vont passer à l’Ouest. »
Eh bien voici le sort qui advint à cette noble et éclairée re-publication :
Tout est dit, n’est-ce pas ?
Le fondateur de Facebook, selon les emails révélés par la justice américaine, n’a cessé de conspirer avec Anthony Fauci ! Pour censurer la science intègre et faire la chasse aux opinions dissidentes en les présentant comme des fausses nouvelles là où le « fact-checking » prétendument mis en œuvre n’est rien d’autre qu’une question d’opinion, comme FB l’a récemment reconnu devant un tribunal.
Comme nous l’avons rapporté sur Covidhub.ch :
» La journaliste philippine Maria Ressa, 58 ans, lauréate du Nobel de la Paix 2021, a lancé un message retentissant lors de la remise de son prix devant la famille royale à Oslo début décembre.
Les GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft) tuent la libre information et diffusent un récit toxique sur la crise Covid, dit-elle.
« Leur pouvoir quasi-divin a permis au virus du mensonge d’infecter chacun de nous, nous dressant les uns contre les autres, faisant ressortir nos peurs, notre colère, notre haine et préparant le terrain pour la montée des dirigeants autoritaires et des dictateurs. »(1)
Après avoir couvert toute sa carrière la corruption, les violations des droits humains et le terrorisme dans son pays, la journaliste en liberté conditionnelle a pu de justesse aller recevoir son prix en Norvège. Elle observe la mainmise au niveau mondial des GAFAM sur l’opinion publique, ainsi que le déni des faits et informations fiables « pourtant essentiels en période de pandémie ».
Voilà l’acoquinement délétère actuellement réalisé entre les grandes industries mafieuses (Big Tech, Big Pharma, Big Finance), les médias mondiaux et les gouvernements serviles. Avec des populations qui, hormis ceux qui ont appris à penser en leur sein, ne font que gober les couleuvres que ces acteurs sociopathes leurs tendent les unes après les autres. Pour en donner un autre exemple désolant, les socialistes et les Verts suisses (partis eux aussi néo-staliniens ?!) ont réclamé récemment des mesures beaucoup plus dures contre le variant Omicron alors que celui-ci est atténué au point d’être une sorte de vaccin naturel qu’il faut au contraire laisser circuler le plus possible au sein des tranches non-à risque de la population.
Allez expliquer cela à un.e socialist.e ou un.e vert.e informé.e uniquement par Facebook et Big Media . C’est ainsi tout simplement que l’on transforme des braves citoyens en soutiens décérebrés d’une dictature, avec toute la bien-pensante auto-satisfaction qui va avec…
Or donc, Facebook m’a suggéré ma première bonne résolution et une de mes premières bonnes actions de l’année : GOOD-BYE, punks !
Ayant été bloqué pour plusieurs tranches de 30 jours par le réseau, j’avais pu expérimenter dans mon psychisme et ma chair la réalité qu’y passer du temps n’est pas bon pour la santé. Non seulement à cause de « gimmicks » addictifs mis en œuvre à dessein pour nous en rendre captifs, mais aussi parce qu’à vrai dire il y règne une sale ambiance. Exilé sur d’autres réseaux (comme MeWe ou VK), je n’ai pas retrouvé l’agressivité et l’odeur de fange caractéristique du réseau sociopathe.
La coupe est donc pleine et je quitte sans regret cette univers qui est à l’image de la vision du monde rance et toxique qui l’a produite.
Comme le disait Barbapapa en conclusion de chaque épisode de la série « Hep hep hep, une bonne chose de faite ! »
Bonne année à toutes et tous !