Exceptionnellement, je publie cet article pour signaler aux lectrices et lecteurs intéressés qu’aura lieu cette nuit (à 2h du matin dans la nuit du 19 au 20 avril en France et en Suisse) un entretien exclusif avec l’avocat allemand Rainer Fuellmich proposé par la Fondation pour la Défense des Droits et Libertés du Peuple, une organisation qui a intenté une large action judiciaire contre le gouvernement québécois afin de contester la légalité et la constitutionnalité des mesures sanitaires.
Cet avocat respecté (il a un tableau de chasse incluant des mastodontes comme Volkswagen et la Deutsche Bank) coordonne une équipe internationale d’avocats avec pour finalité le dépôt d’une plainte pour crimes contre l’humanité à l’encontre des gouvernements occidentaux, du World Economic Forum, de l’OMS et d’organisations comme les fondations de Bill Gates.
Le grand public (diligemment désinformé par les médias, eux-mêmes conditionnés par les grandes agences de presse qui dictent le contenu repris par les rédactions) est à des années-lumière de connaître et a fortiori comprendre les tenants et aboutissants de la tragique dérive en cours et leurs implications pénales.
Les quelques nouvelles que je donne de temps à autre au sujet de l’avancement des démarches de ce collectif d’avocats suscite beaucoup d’intérêts, d’espoirs, mais aussi de doutes ou de critiques.
Il y a en effet un tel fossé entre le narratif officiel (selon lequel nos braves et honnêtes gouvernements font tout ce qu’ils peuvent pour nous protéger d’un terrible virus) et le contenu de la plainte (étayée sur des centaines d’heures d’audition des meilleures experts) qu’on comprend que ceci soit à la limite du pensable.
C’est pourquoi cet entretien revêt un intérêt exceptionnel.
Les fidèles lecteurs de ce blog savent combien je suis acquis désormais à l’hypothèse que nous sommes bel et bien face à une entreprise criminelle de grande envergure : trop d’éléments pointent en ce sens pour que la thèse de la stupidité ou de la maladresse soit encore plausible.
Entre les mesures absurdes et délétères, la manipulation systématique des données, la violation massive des droits constitutionnels, la propagande forcenée des médias et la censure d’articles scientifiques sur les réseaux sociaux, tout pointe lourdement dans le sens d’une dérive totalitaire.
Pour en donner un simple exemple, l’entretien tout récemment accordé par le Pr Christophe de Brouwer, médecin, ancien président de l’École de santé publique de l’Université libre de Bruxelles au média indépendant belge Kairos a été supprimé de Youtube.
Son thème n’était pourtant pas dépourvu d’intérêt : «Les morts du Covid, un mensonge d’état ? » tout particulièrement à l’heure où même la presse suisse commence à être obligée de reconnaître que les données qui ont été brandies et ânonnées au sujet de la mortalité 2020 étaient fausses et donnaient une représentation fortement dramatisée de la situation.
Or donc, un des meilleurs experts en santé publique d’Europe se fait censurer par Google parce que ses analyses vont à l’encontre de la manipulation en cours. Il n’y a guère que les socialistes, les gens de gauche et les Verts (misère !) pour ne pas comprendre à quel point cela pose problème.
Je suis donc très heureux de donner le lien vers l’annonce de l’entretien de ce soir : cliquer ici.
Pour faire bonne mesure, je reproduis infra la traduction d’un autre entretien accordé par Me Fuellmich en date du 20 mars dernier, au cours duquel il faisait un point de situation de ses démarches.
Celles et ceux qui comprennent l’anglais pourront aussi visionner avec profit cette récente interview diablement intéressante : cliquer ici.
Je terminerai en ajoutant ceci : prisonniers d’une ignorance soigneusement imposée et entretenue (selon les principes de l’agnotologie, l’art de manipuler l’opinion publique en la maintenant dans l’ignorance), la plupart des gens pensent que des positions comme les miennes sont outrancières. On connaît l’adage un peu usé jusqu’à la corde (légèrement apocryphe) et pourtant si vrai de Schopenauer :
Toute vérité passe par trois étapes, d’abord elle est ridiculisée, ensuite elle est violemment combattue et enfin elle est acceptée comme une évidence.
Lorsque j’énonce que la case prison est la destination naturelle pour Alain Berset et les (ir)responsables de la Task Force qui le (dé)conseillent si nous vivons bel et bien dans un état de droit, il ne s’agit ni d’une outrance ni d’une absurdité. Mais d’une perspective bien plus probable que qui que ce soit aujourd’hui l’imagine. Même si, je le concède volontiers, il y a du chemin à parcourir.
Alors, si vous êtes prêts à vous intéresser à cette question dont normalement (sauf à vous être renseignés par vous-mêmes) vous n’aurez jamais entendu parler, bienvenue à bord !