« Journalistes, arrêtez ! » : l’équation du désastre

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Les bouffées délirantes de plus en plus violentes de la dérive en cours (déploiement irréversible de la société de surveillance par la prolongation aberrante du « pass sanitaire », re-stratégie de la terreur avec la « variole du singe », plan odieux d’injecter expérimentalement les enfants et même les bébés) devrait en tout bonne logique commencer à ouvrir les yeux sur l’agenda et les intentions réelles de l’organisation criminelle qui dirige le monde.

Seulement voilà…  Tant que la presse désormais restera aux ordres des pouvoirs pervers en vendant son âme et trahissant son devoir sociétal au passage, les perspectives resteront mauvaises.

Que ces gens-là et ceux qui les possèdent arrivent encore à se regarder dans une glace renvoie comme seule explication possible à la « psychose de masse » adéquatement décrite par Mattias Desmet et Ariane Bilheran.

C’est ce que j’ai rappelé une fois encore à Saintes (en Charente-Maritime) le 4 juin dernier à l’invitation de différents collectifs.

Et je considère que se pose désormais, comme l’avait brillamment analysé le philosophe et essayiste Michel Rosenzweig, la question de la violence légitime (à tout le moins symbolique) à opposer à ces gangs (littéralement) de malfrats qui se sont accaparés par corruption, propagande et ingénierie sociale les leviers du pouvoir dans les états, les partis, la magistrature, la presse, les hôpitaux et les sociétés médicales, les universités, etc.

  • Pour lire « De la violence légitime » de Michel Rosenzweig sur France-Soir : cliquer ici.

Surtout quand, comme le souligne à nouveau Rosenzweig, les élections montrent la volatilisation de toute légitimité politique.

  • Pour lire « Une légalité illégitime » de Michel Rosenzweig sur France-Soir : cliquer ici.

Bref, on est mal, sachant que la résignation ne serait une option qu’à devenir nous-mêmes aussi lâche et malhonnêtes que ceux à qui nous nous opposons. Faisons-nous confiance pour trouver mieux ! Mais le temps presse…