Le peuple suisse vient de se prononcer en votation populaire sur la loi Covid adoptée par le parlement. Le résultat hélas est sans surprise : la loi est acceptée par 60% des votants, après une somme de manipulations sans précédents de la part des autorités. Un recours au Tribunal fédéral (la plus haute juridiction de la Confédération) ayant été déposé de ce fait, le résultat du vote reste toutefois suspendu à la décision finale du troisième pouvoir.
Le Conseil fédéral aura en effet tout fait pour tromper la population et imposer cette loi. Notamment en y inscrivant l’attribution d’aides aux secteurs économiques touchés par les mesures prises depuis quinze mois, afin de faire passer sous ce prétexte consensuel des dispositions liberticides et anticonstitutionnelles comme l’imposition du certificat sanitaire.
Le tour est lamentable : le gouvernement, suivant la politique mondiale totalitaire recommandée par le Parti communiste chinois, a attenté à la liberté du commerce et de l’industrie d’une manière simplement fallacieuse puisque la vraie science ne le recommandait absolument pas !
A peu près tous les secteurs de l’économie ayant été sinistrés du fait de ces mesures imbéciles, on concéda non sans un certain mépris qu’il fallait ma foi bien aider ces miséreux, non sans imposer au passage des critères et barèmes administratifs arbitraires et tatillons « dès lors qu’il s’agissait des deniers de l’état » – en vérité des impôts prélevés sur l’activité de ceux que l’on était en train de spolier honteusement.
Le Conseiller fédéral Alain Berset, qui n’en est plus à une fourberie près, a lourdement insisté tout au long de la campagne que l’on votait en réalité sur ces aides (et sot ou irresponsable évidemment qui s’y serait opposé).
Le grand manipulateur eut donc aisément gain de cause quand les milieux économique, échaudés à la perspective de perdre ces aides, cédèrent au chantage en appelant à approuver cette loi scélérate.
Qui cachait pourtant de redoutables venins, comme la possibilité laissée à l’exécutif de s’attribuer à sa guise les pleins pouvoirs, ou encore l’imposition d’une ségrégation sanitaire, un véritable apartheid à la vaccination, violant évidemment la Constitution et l’état de droit.
L’édile insistant lourdement sur à quel point on ne pouvait absolument faire autrement et qu’il eût été irresponsable de ne pas l’accepter. Au même moment pourtant, le gouverneur du Texas votait ostentatoirement une loi rendant illégal le passeport vaccinal. Rappelons que cet état a envoyé bouler depuis deux mois les recommandations sanitaires imbéciles et a connu comme conséquence (loin des prédictions catastrophistes) une décroissance spectaculaire de l’épidémie.
Les médias suisses (qui ne sont plus que des officines de propagande étatique depuis qu’elles sont grassement subventionnées) ont encore remis la compresse dans la semaine précédant la votation. Des citations sont nécessaires pour illustrer dans toute sa plénitude la veulerie de cette propagande.
Dans la Tribune de Genève et 24 Heures, Patrick Monay écrivit ainsi que :
« Cette loi serait discriminatoire envers les personnes non vaccinées. « Leurs droits fondamentaux sont bafoués », accusent les auteurs du pamphlet. Mais les récalcitrants à la piqûre anti-Covid ne seraient pas les seuls à payer le prix fort: le traçage numérique des contacts implique désormais « une surveillance de masse permanente ». Les mesures prises pour endiguer cette « soi-disant pandémie » ont détruit des emplois et des PME, alors que les grandes entreprises continuent à engranger des bénéfices records. Inégalités à gogo, injustice !
La stratégie de lutte contre le Covid-19 passe aussi à la moulinette: les tests PCR sont inutiles et trompeurs, l’Office fédéral de la santé publique effraie et paralyse la population sans raison. La surmortalité évoquée en 2020 n’existe pas. Et le responsable de ce bazar intolérable n’est autre que le Conseil fédéral, qui s’est arrogé « un pouvoir antidémocratique permanent jusqu’en 2031». Ne croyez pas les médias qui vous disent le contraire, car le soutien qui leur a été accordé supprime la liberté de la presse et conduit à une dangereuse « propagande d’État ».
Bref, selon les militants de cette association, on nous ment, on nous manipule depuis plus d’un an, et cela doit cesser. Si la loi Covid passe la rampe, c’est dans un pays plus proche de la Corée du Nord que de la fière patrie de Guillaume Tell que nous allons vivre.
Ce discours paranoïaque est sidérant. La Suisse que j’observe de l’intérieur n’a rien d’une dictature, ni d’un État policier en puissance. Certes, le gouvernement a pris la main au début de la crise et instauré des restrictions inédites. Il a tâtonné, commis des erreurs. Mais en définitive, il n’a fait que tenter de protéger la population face à une maladie nouvelle et insidieuse. Il a aussi apporté une aide essentielle, quoique tardive dans de nombreux cas, aux secteurs économiques touchés. »
Comme exemple d’intégrité journalistique, on butine dans la bouse…
Pour ne pas être en reste, Le Temps surenchérissait en toute subtilité sous la plume de Bernard Wuhthrich :
Loi Covid-19: un référendum inutile et dangereux
L’argumentaire des Amis de la Constitution, qui veulent abolir la loi Covid-19 avant terme, est un tissu de spéculations, d’approximations et d’inepties.
Céder au discours excessif des auteurs du référendum, c’est succomber au chant des sirènes, c’est se lancer dans une odyssée homérique et prendre le risque d’aller se fracasser contre de dangereux récifs.
Le gratte-papier est poëte, en plus ! On ne nous aura vraiment rien épargné.
On avait beau avoir compris depuis longtemps que Tamédia et Le Temps étaient les obligés du gouvernement et de l’industrie pharmaco-vaccinale, il est des confirmations dont l’impudence continue de surprendre.
Rien que ça !
Et pourtant, malgré ces mensonges et cette propagande unanime de la classe politico-médiatique, le camp du « NON » (auquel les sondages brandis par les mêmes médias assurait qu’il ne dépasserait jamais la barre de 30% des voix) en obtint en réalité 40%.
Il faut mesurer l’énormité de ce score dans un tel contexte : depuis seize mois, une doxa mensongère est imposée à la population dans une véritable opération de lavage de cerveau collective. Aucune science authentique, aucune pensée intelligente ou complexe n’ont eu droit au chapitre et les rares opposants (quelle qu’ait été la pertinence de leurs arguments) se sont fait vilipender et agresser par des hordes de petites frappes au service des intérêts dominants.
Les idées justes (comme l’inutilité des mesures de confinement ou du port du masque, notamment en plein air) ont été niées ou attaquées. Bref, rien n’a pu filtrer à travers toute cette engeance et pourtant…. 40% de la population a exprimé sans le moindre ambiguïté son rejet de cette politique.
Certes, la loi est passée, mais il pourrait bien s’agir une victoire à la Pyrrhus : non seulement la loi reste-t-elle attaquée en justice. Mais encore différents groupes s’activent pour faire aboutir d’autres referendums et initiatives, contre le passeport sanitaire ou pour la garantie du libre-choix-vaccinal par exemple.
Malgré donc une propagande massive au service d’une pensée unique imposée au mépris de toute la culture démocratique du pays, le rejet de la politique du gouvernement est substantiel ! Il n’est pas inintéressant de relever au passage que l’opposition la plus forte s’exprima dans les cantons « primitifs », ceux qui furent historiquement à l’origine de la Confédération en s’opposant au joug de puissances extérieures.
Espérons !
A ce stade, nous ne pouvons que voir différents motifs solides d’espérer, à prendre comme autant d’encouragements à continuer la lutte.
Tout d’abord, le salut viendra bel et bien probablement une nouvelle fois des États-Unis : dans la suite de la publication des emails du Dr Anthony Fauci, des Sénatrice et Sénateurs se mobilisent -dans un registre qui n’a rien à voir avec la pleutre timidité de nos propres parlementaires.
La collusion entre les Big Tech et les médias pour dénigrer, occulter ou même censurer des hypothèses scientifiques plausibles et mettre en échec des traitements efficaces ne passe pas auprès de ces représentants du peuple qui ont encore, eux, le sens de leur responsabilité.
Dans une conférence de presse explosive, la Sénatrice Marsha Blackburn et ses collègues Ron Johnson et Roger Wicker viennent de poser sans aménité sur la table toutes les vraies questions. Notamment celles sur le rôle joué par des industries Big Tech portant atteinte sans vergogne au droit à l’information ainsi qu’aux libertés fondamentales d’opinion et d’expression.
Alors qu’en Europe, la censure prévalant sur les réseaux sociaux et dans les médias ne semble alerter que de rares opposants, aux États-Unis la défense de ces valeurs cardinales de toute démocratie sont défendues avec poigne, comme les auditions du Dr Fauci devant les parlementaires le montrent : ces échanges n’ont rien à voir avec les simulacres de conférence de presse à la chinoise du Conseil fédéral ou des Conseils d’État genevois ou vaudois.
Tout est donc mis sur la table : le flingage des traitements précoces qui auraient permis de sauver des centaines de milliers de vie ; les compromissions suspectes des organismes de contrôle sanitaire avec l’industrie ; la répression de questions essentielles comme l’origine du Sars-CoV-2 et le rôle joué par Anthony Fauci dans le financement de la recherche sur les fameux gains de fonction menée à Wuhan. Tout ceci n’est qu’un début, mais avec leur juridisme forcené et leur détermination à défendre les libertés, les Sénateurs américains ne vont pas cacher discrètement la déjection féline sous un tapis d’Orient comme cela se pratique systématiquement ici.
Le fait est que les GAFAM et les médias mainstream ont orchestré la plus grande campagne de désinformation et de censure abusive de l’histoire. Même l’Express (un modèle d’inconduite journalistique), revenant sur la censure ayant visé l’hypothèse raisonnable d’une origine artificielle du Sars-CoV-2, a dû reconnaître la gravité de cette dérive :
« C’est très embarrassant pour tous les journalistes et médias sociaux qui ont bloqué, interdit, ridiculisé et passé sous silence cette théorie, ainsi que pour tous les Big Tech qui l’ont déclassée sur leurs moteurs de recherche et leurs applications.
Mais en outre, si un sujet entier peut passer de « folle théorie du complot » à « plausible » en moins d’un an, cela ne détruit-il pas également l’argument voulant que les théories du complot sont dangereuses et devraient être interdites ? Comment pouvons-nous enquêter sur un sujet qui a été privé d’existence par la censure ? »
On pourrait questionner la « Task Force scientifique » qui avait énoncé une telle absurdité ou les « experts » bien médiocres du pseudo-complotisme comme Sébastien Diéguez ou Tristan Mendès-France, sans oublier Rudy Reichstadt, président-directeur général de Conspiracy Watch, auteur de l’Opium des imbéciles dont le titre siérait mieux à son autobiographie qu’à un prétendu essai…
L’incontestable efficacité des traitements précoces
La démonstration de l’efficacité des traitements précoces suit également son cours, s’accompagnant (forcément) de la mise en lumière des magouilles mises en œuvre pour la nier. Les centaines de milliards de dollars de bénéfices à faire sur le marché de la « vaccination expérimentale » dépendant, précisément, de l’absence de traitement précoce, nous avons vu dans maints pays des cercles s’activer pour affirmer en dépit du bon sens et de la meilleure science qu’aucun traitement n’était efficace.
Ce genre de mensonges ne peut durer éternellement. TOUTES les études par exemple conduites sur la prescription précoce d’hydroxychloriquine et d’azithromycine ont conclu à une efficacité probante du traitement préconisé par l’IHU de Marseille.
Celles publiées sur l’ivermectine concluent pareillement à une réduction massive des hospitalisations et des décès, comme de nombreux pays en ont fait l’expérience. Continuer à nier cette évidence est intenable, malgré la complicité crasse des médias mainstream.
Pourtant, des cellules de propagande comme celles sévissant aux HUG et au CHUV continuent de prétendre envers et contre tout le contraire. On y trouve évidemment des personnalités « scientifiques » pétries de conflits d’intérêts avec les labos pharmaceutiques.
Même au niveau national, rappelons encore une fois que l’instance de contrôle Swissmedic a osé homologuer le Remdesivir, une molécule inefficace, toxique et hors de prix, sans aucune base scientifique sérieuse pour le faire. Et un témoignage direct m’a été rapporté que les HUG traitaient encore des patients avec ce remède il y a quelques semaines !
“You can fool some people sometimes, but you can’t fool all the people all the time“ professait Abraham Lincoln. Si j’étais à la tête des HUG ou du CHUV ; je commencerais vraiment à me faire du souci tant ces institutions apparaissent trempées jusqu’au cou dans les magouilles qui commencent à être révélées !
Car on n’esquivera pas ad aeternam que la conséquence de ce déni de réalité et des complicités actives pour les faire accroire aura été que des centaines de milliers de personnes seront décédées faute de soins là où des traitements efficaces existaient bel et bien. Le Pr Peter Goetzsche, à ce sujet, parlait du « mépris moralement répugnant pour la vie humaine » de cette industrie et de ses obligés.
Un « vaccin » dangereux
Le troisième baril de poudre est celui des effets indésirables de l’expérimentation génique en cours. Rappelons que si les médecins et les autorités avaient la moindre intégrité et respectaient l’éthique basale, elles auraient veillé à informer la population sur la réalité de l’expérimentation génique et de ses risques.
A la place, nous avons eu droit à une nouvelle propagande d’état servilement proclamée par les médias. La baisse en cours des infections ? C’est grâce à l’expérimentation génique bien sûr ! Et si l’on observa exactement la même baisse l’an passé (en vertu de la saisonnalité), on occulte évidemment cette embarrassante réalité en insistant lourdement que se faire injecter un produit expérimental (en l’absence de données honnêtes et pour le profit de l’industrie) est un « devoir moral » !
La réalité est que les signalement alarmants se succèdent au sujet du « vaccin » : jamais autant d’effets indésirables, graves en particulier, n’ont été relevés pour aucun vrai vaccin ! Les jeunes et les enfants en particuliers connaissent de fréquents effets indésirables, parfois mortels. Les services de cardiologie des hôpitaux connaissent une alarmante hausse des problèmes cardio-vasculaires en lien avec des troubles de la coagulation (1000% des cas habituels actuellement aux HUG selon mes informations) avec des équipes à qui l’on interdirait d’en parler !
Les pays qui ont vacciné ont connu des hausses spectaculaires tant des infections que des décès. On entreprend maintenant même de vacciner des femmes enceintes, des jeunes et des enfants alors que la balance risques -bénéfices est absolument indéfendable pour ces groupes. Avec des incitations (octroi de hamburgers, de petits montants pécuniaires ou de crèmes glacées) qui devraient faire frémir tout médecin conservant pour trois sous d’éthique !
Et avec partout les mêmes fanatiques, dont les propos délirants sont recueillis comme parole d’évangile par des médias décérébrés.
Tout ceci tient encore par un fil. Mais la liste des victimes de cette stratégie de la roulette russe ne cessant de s’aggraver, la réaction aura lieu et elle sera forcément violente. Un organisme britannique indépendant spécialisé dans l’Evidence-Based Medicine vient de publier un appel « urgent » demandant l’arrêt complet des vaccins COVID chez l’être humain, comme le rapporte l’association America’s Frontline Doctors :
Un « rapport préliminaire urgent publié par la société britannique Evidence-Based Medicine Consultancy Ltd et soumis à l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA) indique que « la MHRA a maintenant plus que suffisamment de preuves pour déclarer les vaccins COVID-19 dangereux pour l’utilisation chez l’être humain. »
Semblable au Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS) américain, la MHRA décrit l’objectif de son système de carte jaune comme étant de fournir « un avertissement précoce que la sécurité d’un médicament ou d’un dispositif médical peut nécessiter une enquête plus approfondie. »
Le rapport, signé par le Dr Tess Lawrie (MBBCh, PhD), directrice de l’Evidence-based Medicine Consultancy Ltd et d’EbMC Squared CiC, indique: « nous avons effectué une recherche dans les rapports de carte jaune en utilisant des mots clés spécifiques à la pathologie pour regrouper les données selon les cinq grandes catégories suivantes [sic], cliniquement pertinentes :
EIM (effets indésirables majeurs) :
- hémorragiques, coagulants et ischémiques
- du système immunitaire
- « douleur
- neurologiques
- impliquant une perte de la vue, de l’ouïe, de la parole ou de l’odorat
- de la grossesse ».
Le rapport poursuit : « Nous sommes conscients des limites des données de pharmacovigilance et comprenons que les informations sur les effets indésirables signalés ne doivent pas être interprétées comme signifiant que le médicament en question provoque généralement l’effet observé ou qu’il est dangereux à utiliser. Nous partageons ce rapport préliminaire en raison du besoin urgent de communiquer des informations qui devraient conduire à l’arrêt du déploiement de la vaccination pendant qu’une enquête complète est menée. Selon le récent article de Seneff et Nigh, les pathologies potentielles aiguës et à long terme comprennent :
- L’amorçage pathogène, la maladie inflammatoire multisystémique et l’auto-immunité.
- Les réactions allergiques et l’anaphylaxie.
- Le renforcement dépendant des anticorps.
- L’activation d’infections virales latentes.
- Neurodégénérescence et maladies à prions.
- Émergence de nouveaux variants de SARSCoV2.
- Intégration du gène de la protéine spike dans l’ADN humain. »
« Il est désormais évident que ces produits présents dans le sang sont toxiques pour l’homme. Un arrêt immédiat du programme de vaccination est nécessaire pendant qu’une analyse de sécurité complète et indépendante soit entreprise pour étudier toute l’étendue des dommages, qui, selon les données de la carte jaune britannique, comprennent la thromboembolie, la maladie inflammatoire multisystémique, la suppression immunitaire, l’auto-immunité et l’anaphylaxie, ainsi que l’augmentation dépendante des anticorps (ADE). »
Le rapport conclut : « La MHRA dispose désormais de preuves plus que suffisantes pour déclarer les vaccins COVID-19 dangereux pour l’utilisation chez l’humain. Il faut se préparer à intensifier les efforts humanitaires pour aider les personnes lésées par les vaccins COVID-19 et pour anticiper et améliorer les effets à moyen et long terme. Comme le mécanisme des dommages causés par les vaccins semble être similaire à celui du COVID-19 lui-même, cela implique de s’engager avec de nombreux médecins et scientifiques internationaux ayant une expertise dans le traitement réussi du COVID-19.«
« Il y a au moins trois questions urgentes auxquelles la MHRA doit répondre :
- Combien de personnes sont mortes dans les 28 jours suivant la vaccination ?
- Combien de personnes ont été hospitalisées dans les 28 jours suivant la vaccination ?
- Combien de personnes ont été handicapées par la vaccination ? »
Exposed
Enfin, dernier motif d’espérer, la corruption est tellement visible, tellement grossière, tellement évidente, que tout cela finira forcément par exploser au visage des gredins qui le mettent en œuvre sans même chercher à camoufler leurs pendables agissements . Comment par exemple le Lancet peut-il se faire le haut-parleur des pires magouilles, en publiant en toute connaissance de cause des articles falsifiés pour faire illusion ? La répression de l’hypothèse de la création du Sars-CoV-2 en laboratoire s’est faite par exemple en contraignant un nombre de scientifiques à co-signer une tribune dans cette « vénérable » revue, ce qui fit illusion pendant près d’une année. Au même moment, le directeur du CDC recevait des menaces de mort de la part d’autres scientifiques pour avoir osé partagé son sentiment que le nouveau coronavirus s’était probablement échappé du labo de Wuhan. Ma foi, quel beau monde intègre et digne de respect !
Comment la revue en question assumera-t-elle dans la durée d’avoir, tout comme bien d’autres d’ailleurs, publié une longue suite d’articles frauduleux ayant pour but d’induire la communauté scientifique, les autorités et la population en erreur ?
Me di Vizio vient quant à lui de déposer un recours contre l’octroi d’une autorisation de mise sur le marché temporaire par l’Agence européenne du médicament pour les « vaccins » géniques. Étant donné les trous béants dans la science et l’éthique à l’appui de cette autorisation, ses phrases d’arme devraient faire saigner l’ennemi.
La Commission européenne, qui avait reconnu l’existence de pratiques généralisées de corruption au sein des politiques de santé, a récidivé honteusement et n’aura dû qu’à la complaisance de la presse de ne pas avoir encore été exposée.
Là encore, je n’aurai pas trop confiance dans nos institutions ou médias, mais la pression venant de la révélation des magouilles telles qu’elles seront mises en lumière aux États-Unis dans le cadre d’auditions parlementaires publiques, finira assurément par diffuser jusqu’ici.
Game over ?!
La suite peut être devinée : depuis seize mois, les crapules ont eu le champ libre et s’en sont donné à cœur joie, en particulier sur les plateaux télé et dans la presse. Les professionnels honnêtes se sont tus en constatant le traitement réservé à ceux qui osaient parler. Pendant que la grand masse des lâches et des pleutres regardaient faire -comme toujours.
Lorsque le vent commencera à tourner, nous observerons selon toute probabilité le phénomène suivant : le basculement commencera quand les premiers lâches (les plus avisés), sentant le vent tourner, changeront de camp pour ne pas rester associés aux dérives qui ont eu lieu.
Ce retournement de veste fera un appel d’air qui libérera la parole de tous les gens honnêtes qui n’auront jusque-là pas osé s’exprimer mais à qui il tarde de pouvoir le faire. Et la force cumulée de ces deux engagements assurera alors une inertie irrépressible à ce retournement de situation.
On commence à en voir quelques prudentes esquisses : même les journaux du groupe Tamedia ont par exemple enfin admis que le port du masque en public n’était pas justifié et ne reposait sur aucune science solide.
Bravooooooo ! Cela fait des mois et des mois que nous sommes quelques experts intègres à le dire et à le répéter, citant une science solide qui existait déjà pendant que le ban et l’arrière ban nous huait…
Encore quelques mois et ces médias en viendront à remarquer que les confinements ne servaient à rien, qu’on a maltraité la population et en particulier certains groupes à risque comme les enfants, les aînés et les jeunes de manière vile et ignoble – tout ceci sous la houlette unanime de « scientifiques » corrompus et de politiciens véreux à qui l’on a accordé tout crédit.
L’effondrement est programmé – il n’y a à vrai dire pas d’autre issue possible, sauf à instaurer une dictature armée.
La question qui reste posée est celle de sa temporalité et de ses étapes.
C’est pourquoi, pour la première fois en seize mois, je commence à me sentir optimiste : la votation d’hier entérine d’ores et déjà la défaite des crapules et des gredins. Si tout le travail de propagande mis en œuvre par l’union honteuse de la classe politique, des GAFAMs et des médias au service d’intérêts mafieux laisse 40% de la population lucide, c’est que la partie est d’ores et déjà perdue pour eux.
Les jours et les semaines à venir seront agités pour les résistants, et il ne serait pas surprenant que nous soyons témoins de perquisitions, de fausses-accusations, d’internements en psychiatrie ou même d’accidents suspects.
Quand le crime organisé est aux abois, il ne fait pas de cadeau.
Mais il est déjà trop tard pour lui, la fin de partie est une simple question de temps.
Aussi redoublons d’efforts et : « de défaite en défaite jusqu’à la victoire ! »