Fabrication du désastre – la préface du Pr Perronne

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Le Pr Christian Perronne fait partie des rares experts de réputation mondiale qui ont osé se dresser et s’opposer publiquement à une politique fallacieusement présentée comme « sanitaire », qui aura en réalité été absurde, dommageable et même in fine criminelle.

La préface qu’il a eu la bonté d’écrire pour mon dernier ouvrage (lequel met en lumière les causes « cachées » -et pour cause !- de cette crise) constitue un morceau d’anthologie.

N’hésitez pas à la télécharger (ci-dessous) et à la diffuser largement : il reste plus essentiel et urgent que jamais que ce que décrit Christian Perronne soit porté à la compréhension du plus grand nombre !

  • Pour télécharger la préface du Pr Perronne au format pdf : cliquer ici.
  • Pour accéder à la page du livre sur le site des éditions Marco Pietteur : cliquer ici.

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La fabrication du désastre – Qui ? Comment ? Pourquoi ?

Les années Covid-19 : crimes contre la démocratie et coup d’état planétaire

Préface du Pr Christian Perronne

Dans la lignée de livres comme « La Fabrique du Consentement », « La Fabrique du Crétin », « La Fabrique du Monstre » et d’autres, cet ouvrage « La Fabrication du Désastre », remarquablement documenté, fera date. Jean-Dominique Michel, qui fut et qui reste un des pionniers de la résistance à la folie covidesque est anthropologue, mais aussi philosophe, et nous fait découvrir le philanthrocapitalisme.

L’ère industrielle qui a permis la fabrication de machines diverses et variées, d’armes terrifiantes, de tonnes de produits chimiques et de biens de consommation, a aussi engendré la fabrication d’outils redoutables de manipulation des masses, de contrôle de l’information, d’asservissement des populations, de génocides, de racket organisé des états, appelé pudiquement « dette », pour enrichir quelques familles qui veulent obtenir le contrôle total de la planète. Cette prise de pouvoir et ce marché colossal ne peuvent s’établir que sur l’entretien permanent du carnaval de la peur. Ainsi ces puissants qui nous dirigent ont appris à développer la fabrique non seulement de la peur, mais aussi de la terreur.

Tous les moyens sont bons, fabrique d’épidémies, fabrique de guerres, de révolutions, de coups d’état, de crises financières programmées, mais aussi terrorisme, immigration de masse organisée, peur climatique. Les citoyens « idéaux » doivent être non seulement soumis, mais il faut aussi les culpabiliser en permanence pour bien leur faire rentrer dans la tête qu’ils sont responsables de leur condition.

Un exemple ? Lors de la crise Covid, on a asséné aux Français, aux Suisses et aux autres que c’était parce qu’ils n’étaient pas sérieux dans le respect de toutes les mesures débiles et inefficaces imposées par les autorités, comme le confinement, que l’épidémie se prolongeait. Les enfants totalement insouciants allaient être responsables de la mort de leurs grands-parents. Et pendant ce temps-là, des brigades d’intervention rapide achevaient les personnes âgées dans les maisons de retraite, à coup de Rivotril intraveineux.

Mais nos bourreaux ont l’art de se faire passer pour des philanthropes dont le seul souci est de nous protéger. Les médias aux ordres se chargent de nous inonder de balivernes pour que nous aimions nos dirigeants : « Heureusement qu’ils sont là pour nous sauver ! »

La médecine a commencé à dérailler quand elle est tombée dans les mains de méthodologistes qui l’ont déshumanisée pour essayer de la transformer en science exacte, ce qu’elle ne sera jamais. La médecine est un art humaniste et doit le rester. Une épidémie est un événement trop sérieux pour être confiée à des mathématiciens, des politiciens, des médecins de plateaux télévisés sans expérience du problème ou des militaires. « Nous sommes en guerre » a dit quelqu’un, qui a créé pour piloter la crise Covid un « Conseil de défense » ultra-secret. C’est la fabrique de la transparence ! Le pire a été l’impossibilité d’organiser un débat contradictoire avec les experts, notamment ceux du Conseil scientifique élyséen, qui nous ont imposé des mesures hors sol, non basées sur la science, sorties du chapeau. Le dialogue et les échanges de données sont pourtant à la base de la démarche scientifique.

Nos grands démocrates ont choisi la répression. Les médecins qui ont, contre les avis officiels, sauvé des dizaines de milliers de vies, ont été diffamés, menacés ou radiés. Pendant ce temps, les puissants pouvaient réaliser la plus grande expérimentation sauvage sur l’humanité, à l’échelle de la planète, sans aucun consentement éclairé, sur des milliards de cobayes humains et sur des bases totalement illégales. Pour parvenir à leurs fins, il leur faut rompre le tissu des relations sociales, détruire la famille, la religion, le patriotisme.

Leur rêve est d’imposer une distanciation sociale permanente, car un individu isolé est plus fragile et plus facilement manipulable. Il y a cependant des exceptions. Pendant le confinement, les lieux publics étaient tous fermés, les bars, les restaurants, les boîtes de nuit, mais pas les clubs échangistes. Il faut bien que nos élites s’amusent pendant que les gueux, les « inutiles », sont opprimés et enfermés chez eux. Nous sommes entrés en décadence.

A côté de la « Fabrication », on organise la « Démolition ». Il faut tout détruire, à commencer par la santé. Les médecins sont en voie de raréfaction, les hôpitaux sont à l’agonie, on meurt en pagaille aux urgences, mais surtout on continue de couper les budgets. Pendant ce temps, les milliards coulent à flots pour les médias aux ordres, les cabinets de conseil américains infiltrés dans nos ministères ou pour l’Ukraine. Il faut aussi démolir la production industrielle nationale, la culture, l’éducation, la différence sexuelle, l’innocence de l’enfance, la diplomatie, l’armée, les relations anciennes et amicales avec l’Afrique. Actuellement une des grandes cibles est l’agriculture.

L’objectif est de faire crever nos paysans qui font la richesse du pays pour mettre en place une agriculture industrialisée, intensive, bourrée de produits chimiques et d’OGM. Vive la malbouffe ! On a, dans un passé assez récent, modifié des tiques comme armes de guerre, ce qui a abouti à l’épidémie de maladie de Lyme, mais maintenant sont apparues des tiques modifiées conférant l’allergie définitive à la viande rouge. Les terriens devront manger de la viande synthétique ou de la farine de cafards.

Cette manufacture de l’horreur n’est possible que par la complicité des médias et des « redresseurs de faits » (les fameux fact-checkers) chargés de maintenir le peuple en état d’hypnose. Surtout ils réclament la censure renforcée des médias alternatifs, les seuls crédibles aujourd’hui et la censure des réseaux sociaux, au prétexte de sauvegarder nos libertés et nos démocraties ! Ce sont les rois de l’inversion accusatoire. Les parlementaires sont complices du vote de lois liberticides comme la récente loi « contre les dérives sectaires », alors que la plus grande secte, ce sont les autorités actuelles.  Le projet de loi encourageant la délation de propos privés, qui permettra de vous mettre sur le champ en garde à vue, rappelle les heures les plus sombres de l’histoire. Français, réveillez-vous !

Bientôt ce sera trop tard. La médiocratie et même la tyrannie ont remplacé la démocratie. Dans une démocratie, le pouvoir exécutif du gouvernement doit être tempéré par le parlement, représentant le peuple et par la justice, censée être indépendante. Aujourd’hui le parlement est sous influence ou carrément foulé aux pieds et court-circuité. La justice est-elle aux ordres ? On peut se poser la question. Le Conseil Constitutionnel et le Conseil d’État, censés nous protéger en vérifiant la légalité des procédures et des décisions n’exercent plus leur rôle. Quant au contre-pouvoir des médias, il est devenu inexistant. Le journalisme d’investigation a disparu.

Ayant fréquenté le cabinet de ministres de la Santé pendant une quinzaine d’années, je me suis rendu compte que la soi-disant alternance démocratique droite-gauche après les élections était un leurre. C’est une pièce de théâtre que l’on joue devant vous, car les politiciens actuels sont le plus souvent des marionnettes dans les mains d’une poignée de capitalistes mondialistes. Ils font la même politique. A chaque alternance, j’ai vu beaucoup de conseillers quitter le ministère, mais ils reviennent par la fenêtre quelques temps plus tard. De droite ou de gauche, ils font tous partie du même club.

Le principal danger à venir pour nos libertés est le projet de Traité de l’OMS qui doit se voter à la majorité simple en mai 2024 à Genève. Depuis une vingtaine d’années, l’OMS qui était une noble institution est tombée sous la coupe de puissants lobbies privés. L’OMS avait déjà changé la définition d’une pandémie pour qu’on puisse en déclarer une nouvelle sans qu’il y ait un seul mort. Si le Traité passait, le Directeur général de l’OMS pourrait à sa guise déclarer une pandémie (il a déjà la future pandémie à virus X dans ses cartons !) et pourrait imposer à tous les peuples, par-dessus les gouvernements et les parlements des différents pays, les pires mesures dictatoriales incluant l’injection de force de produits expérimentaux.

Malgré toutes ces données très sombres, je reste très optimiste. J’ai tout de suite pensé, dès le début de la « plandémie » Covid-19, qu’ils ne parviendraient jamais à mettre en place un Nouvel Ordre Mondial comme ils le rêvaient et le planifiaient depuis des décennies.

Pourquoi ? Me direz-vous. Par ce qu’aucune super-puissance sur la planète n’acceptera d’être sous la coupe d’une autre. Chacune serait prête à accepter le principe, à la condition que ce soit elle qui dirigeât le monde.

Or que voyons-nous ? De nombreux pays et parmi eux, les plus peuplés et les plus puissants économiquement et militairement et disposant des plus grandes richesses naturelles, se sont regroupés au sein des BRICS pour résister aux Occidentaux qui voulaient les mettre au pas et diriger totalement le monde. D’où la volonté folle de guerre contre la Russie de la part de certains. Le seul bémol à mon optimisme est le risque nucléaire, si un fou appuyait sur le bouton mais, dans ce cas, nous ne serions plus là pour en parler.

Je compte sur la nature humaine pour retrouver la raison. Quelqu’un avait dit avec un sourire sardonique « La bête de l’événement arrive », je pense plutôt que la bête de l’événement se meurt.

Chassez la peur, restez sereins, apprenez à dire non et si besoin à désobéir « quoiqu’il en coûte ». Nous sommes beaucoup plus nombreux que la poignée de personnes qui nous manipulent. Aujourd’hui, voyant leurs plans s’effondrer, c’est eux qui ont peur. Nous allons encore passer quelques moments difficiles car une bête aux abois devient très dangereuse. Mais après la tempête, un beau soleil brillera à nouveau sur les états-nations et les peuples retrouveront la joie de vivre et le sourire.

Christian Perronne