COVID : STOP MENSONGES !

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Le seul moyen par lequel nous pourrions sortir du délire collectif dans lequel nous sommes enfermés depuis une année serait que la population soit informée honnêtement de la réalité sanitaire telle qu’elle est !

Ce qui impliquerait -et ce n’est bien sûr pas une mince affaire- que soit mis un terme à la litanie de mensonges éhontés martelés en boucle par les autorités et les médias, produits à la pelle par des scientifiques abrutis ou véreux.

Pourtant les données sont là, aussi limpides qu’il est nécessaire.

Et elles dessinent une réalité avec laquelle nous pouvons vivre sans avoir à nous terrer comme des troglodytes, des hallucinés ou des mort-vivants.

Le problème est que les mêmes mensonges anxiogènes continuent d’être martelés à haut débit par des producteurs de propagande sans vergogne ni scrupules. Lesquels ont pourtant des responsabilité sociales, civiles et pénales dont ils finiront bien par avoir à tenir compte.

Égrenons donc la litanie des malhonnêtetés qui sont employées pour maintenir la population dans la docilité et la servitude volontaire :

1/ Les tests dévoyés continuent de fournir la première arme de manipulation massive. On teste à tour de bras, d’une manière qui ne fournit aucune donnée utilisable sur le plan médical (le PCR n’a jamais été et ne peut pas être un test diagnostic puisqu’il ne distingue pas les gens contaminés, contagieux ou malades de ceux qui ne le sont pas) ni épidémiologique. Tous ces éléments sont connus et archiconnus, la grand’messe politico-médiatique continue pourtant de nous infliger un relevé du nombre de « cas » de jour en jour alors que cette donnée ne peut aucunement être établie avec les tests PCR généralisés avec les cycles d’amplification qui sont pratiqués. Le nombre de cas avancé est donc systématiquement FAUX !

2/ Le nombre d’hospitalisations à cause du Covid n’est pareillement pas connu puisque sont comptabilisés comme tels tous les patients hospitalisés pour quelque raison que ce soit avec un test PCR positif (dont un grand nombre de patients qui ne sont pas malades du Covid !)  Les hôpitaux font des effets d’annonce sur l’occupation des services de soins intensifs avec intéressements à la clé, de sorte qu’on ne peut se fier à ce retour non plus.  Rappelons qu’avec la réduction du nombre de lits et la nouvelle gestion qui prévoit un taux d’occupation moyen de 90% de ces services, on est de toute manière dans une situation de tension tous les hivers depuis une décennie. Le nombre d’hospitalisations attribuées au Covid est donc systématiquement FAUX !

3/ Le nombre de décès dus au Covid est une autre information complètement déformée, comme le résume la vaillante Liliane Held-Khawan :

« Mon message du jour à la RTS, média payé avec nos impôts :

« RTS, le CHUV et l’OFSP confirment que les morts qualifiés COVID ne sont pas morts du Covid, mais avec le Covid (même si asymptomatiques). Un accidenté de la route testé positif au Covid, et qui décède des suites de son accident, est comptabilisé en tant que décédé Covid. Les journalistes du web ont ramené ces informations. Et vous RTS, avez-vous l’intention d’informer le public sur cette gigantesque supercherie statistique ? Je vous rappelle qu’il y a une Charte de la Statistique publique, et en tant que média d’État, vous êtes tenu de la respecter. »

Sacrée bonne question, à laquelle les intéressés ne semblent aucunement pressés d’apporter une réponse… Le nombre de décès attribués au Covid est donc systématiquement FAUX !

4/ Mortalité globale normale en 2020 ! J’ai publié tellement d’article parfaitement argumentés et documentés à ce sujet pour ne pas remettre la compresse. On dit qu’une image vaut mille mots, donc il suffira de produire le graphique suivant, que les rédactions et le gouvernement comme les comités de soi-disant experts pourront éventuellement consulter avec profit. L’auteur, M. Thomas Fernique, mathématicien chercheur au CNRS, a compilé les données de mortalité générale fournies par l’INSEES pour chaque année de la dernière décennie.  Pour éviter toute distorsion due à la fluctuation de la surmortalité hivernale, parfois plus forte en fin d’année, parfois en début, l’auteur à groupé ces données en année courant du 1er juillet au 30 juin. Résultat : voyez plutôt ! La surmortalité attribuée au Covid est simplement FAUSSE !

5/ Il y a évidemment des remèdes utiles tout comme l’est en elle-même la prise en soins précoce (avec surveillance d’une éventuelle hypoxie indétectable autrement avant qu’il soit trop tard). La mise en échec de la médecine qui soigne au profit de la pseudo-médecine scientifique à des fins exclusivement lucratives est une honte qui hantera longtemps la conscience d’une médecine en pleine dérive. L’absence de traitements affirmée par les autorités sanitaires est FAUSSE.

6/ Les mesures qu’on nous inflige depuis une année n’ont aucune validité : elles n’avaient jamais été prévues ni recommandées, elles sont inefficaces sur l’épidémie, elles causent des dégâts monstrueux sans aucun bénéfice probant. Dans quel déni de réalité sont donc engagés ceux qui nous gouvernent (et ceux qui les conseillent) pour continuer, alors que les faits sont là et que la -vraie- science les a parfaitement analysés, pour continuer à prétendre le contraire ?! Les bénéfices des mesures de contrainte et leur besoin, avancés par les autorités et les médias, sont FAUX.

Pour celles et ceux qui n’auraient pas encore découvert cette réalité, je reproduis infra avec son accord (dont je le remercie) l’excellente analyse qu’a produite le talentueux auteur d’un vlog, économiste de profession, traitant les données relatives au Covid avec une compétence et une honnêteté que l’on aimerait trouver chez nombre d’universitaires et de « scientifiques » !

Je terminerai avec une curiosité : un des sept conseillers fédéraux suisses, Ueli Maurer, vient de s’épancher sur le gouvernement et ceux qui le « conseillent » en partageant son impression d’être face à une secte qui ne supporte aucune question ou contre-argument. Il souligne comment toute objection est combattue avec férocité par des gardiens du dogme n’ayant plus rien à voir ni avec la science ni avec la démocratie.

Ce constat est évident depuis longtemps. Il reste réjouissant que le membre d’un gouvernement concerné le souligne à son tour.

En attendant, les premières plaintes judiciaires déboulent. Celle déposée récemment par les propriétaires d’un fitness sera à suivre attentivement. Rédigée par Urs Saxer, professeur de droit de l’Université de Zürich, elle souligne qu’une « action en responsabilité est le seul moyen de faire valoir des demandes de dommages et intérêts. Le Conseil fédéral a exercé son pouvoir discrétionnaire « de manière manifestement non objective et illégale ». Il a procédé à une évaluation hâtive, indifférenciée et incorrecte de la situation, ajoute le professeur zurichois. »

Espérons que cette action ouvre la voie à de nombreuses autres et que les dérapages destructeurs des autorités et de la secte qui les instrumentalise puisse être dénoncés et condamnés.

Avant cela (le temps de la justice n’est pas le temps politique) pourrions-nous réclamer de nos médias avec la plus grande fermeté  qu’ils cessent de colporter les hideux mensonges dont ils ont fait leur fond de commerce et se mettent enfin à réaliser un travail d’investigation et d’analyse digne de ce nom ?! C’est le moins que nous sommes en droit d’exiger.

 

Les mesures prises contre la propagation de l’épidémie ont-elles vraiment sauvé des vies ?!

Décoder l’éco est une chaîne d’actualité alternative qui explique les enjeux politiques et économiques. Lien vers la chaîne : cliquer ici.

Nous sommes en 2021 et des mesures de restrictions continuent d’être appliquées dans une grande partie des pays occidentaux. Pour les gouvernements, il s’agit de la bonne façon de protéger les gens de l’épidémie.

Dans les vidéos précédentes, nous avons vu de plein de manières différentes que la mortalité sur l’année 2020 n’est finalement pas impressionnante. On a vu que le nombre de décès en France en 2020 s’explique d’abord par le vieillissement des français. De plus, il n’y a pas eu d’épidémie sérieuse en 2019 et donc c’est une année avec très peu de décès. C’est un peu pareil pour 2018 en atténué.

L’année 2020 est donc ce que l’on appelle une année moisson pendant laquelle nous avons eu beaucoup de décès de personnes qui d’habitude seraient décédées un an ou deux ans plus tôt. Il s’agit donc d’un phénomène de rattrapage des années 2018 et 2019. Les années moissons ont lieu tous les 2 à 3 ans.

C’est notamment pour cette raison que l’âge des personnes décédées est très élevé. Enfin, jusqu’ici la forte mortalité des années moissons était en partie compensée par une baisse régulière de la mortalité ce que l’on résume en disant que l’espérance de vie augmente.

Depuis quelques années l’espérance de vie a commencé à stagner, comme si nous étions arrivés à une sorte de palier. Ce palier est peut-être naturel ou est peut-être le signe que la politique de santé reposant sur la rentabilité financière n’est pas la bonne.

Tous ces éléments sur la mortalité 2020 pour la France sont détaillés dans une dizaine de vidéo de ma chaîne. Le même type d’analyse commence à arriver dans des papiers scientifiques français ou d’autres pays comme la Belgique ou la Suisse.

Puisque le phénomène des baby-boomers, la faible mortalité de l’année 2019 et la stagnation de l’espérance de vie ont touché quasiment tout le monde occidental, ces analyses vont se démultiplier avec l’arrivée des chiffres définitifs et complets pour l’année 2020.

Si vous lisez ou regardez les médias, vous avez pu voir les discours des politiques et des journalistes changer. Au fur et à mesure que tombent toutes les analyses de la mortalité dans les pays occidentaux, tout le monde se rend compte aujourd’hui que la catastrophe annoncée n’est finalement pas arrivée du tout.

Pour mémoire, la catastrophe a été annoncé par des illuminés comme Neil Ferguson qui annonce la fin du monde à chaque grippe. En France, 400 000 morts de la maladie étaient annoncées sur l’année quelles que soient les mesures.

Ajoutées aux 600 000 décès habituels, cela aurait dû faire 1 million de morts en France en 2020. On en a finalement eu 660 000. La plupart des politiques et journalistes ont arrêté de prétendre que 2020 a été une hécatombe, mais affirment que si le monde s’en est aussi bien sorti, c’est grâce à l’efficacité de leurs mesures.

Ils se servent donc de ce raisonnement pour continuer à maintenir les restrictions Plutôt que de devoir prouver que les restrictions servent à quelque chose, ils les appliquent et annoncent la fin du monde si jamais on les enlève. Il faut bien se rendre compte de la stupidité et de la dangerosité de ce raisonnement.

Si des gens coulent du nez et qu’un charlatan leur donne de la mort au rat en guise de médicament, vous aurez la moitié des gens qui vont mourir et le charlatan va dire : « ouf, heureusement que je leur ai donné mon médicament, vous avez vu comme ce virus était dangereux ! ». C’est ce type de raisonnement qui a justifié les saignées pendant des siècles. Heureusement depuis, on est passé à autre chose.

Avec ce type de raisonnement, on peut aussi faire un sacrifice tous les jours pour que le soleil continue à se lever. Il suffit de promettre la catastrophe si on arrête.

Ce principe de faire peur, c’est la base du charlatanisme. Juste si on réfléchit 2 minutes. Lorsque l’on a une épidémie, que l’on prend des mesures et qu’au final on a plus de décès que d’habitude sur une courte période, on n’en déduit pas que les mesures sont bonnes et que le virus est dangereux. A minima, on en déduit que la combinaison virus-mesure n’est pas bonne du tout.

Il serait peut-être temps de remettre en question les mesures prises. Les défenseurs de ces mesures s’appuient toutefois sur des études scientifiques pour annoncer le nombre de vies sauvées grâce à leurs décisions.

Dans cette vidéo, on va commencer par montrer que les études défendant les mesures et quantifiant les vies sauvées sont basées sur une arnaque intellectuelle. Les modèles mathématiques ne sont pas utilisés pour comprendre un phénomène, mais sont dévoyés pour faire la promotion des mesures.

On verra en détail l’arnaque dans un article publié dans la revue NATURE (https://www.nature.com/articles/s4158…​) considérée comme l’une des plus grandes revues scientifiques de notre époque. Dans la deuxième partie de la vidéo, on va regarder, ce qu’il se passe en France pendant les périodes épidémiques et ce que l’on peut déduire des mesures prises en 2020.