Le 5 août dernier, j’ai eu l’honneur d’effectuer une présentations sur ce thème lors de la 17ème séance publique du Comité scientifique indépendant de la Coordination Santé Libre (France).
Ce thème me tient évidemment d’autant plus à cœur qu’il s’agit de mon principal domaine d’expertise depuis vingt-cinq ans et que les impacts destructeurs des mesures sécuritaires sur la santé mentale de la population ont été négligés sinon niés.
Au motif de « protéger » la population, la technocratie sanitaire l’a en fait laissée en privation de soins, la matraquant au passage avec des messages hystériques et anxiogènes, parfaitement contraires à l’éthique et aux bonnes pratiques en matière de communication en santé. Ajoutez à cela une avalanche de mesures arbitraires, vexatoires et attentatoires à l’intégrité physique et psychique (en plus d’être inutiles, comme l’exemple de la Suède devrait enfin nous permettre de nous en rendre compte) et vous avez une situation inédite de maltraitance à large échelle.
Qui relève au sens juridique de la torture et en termes psychopathologiques s’apparente à une espèce de syndrome de Munchhausen de la part des élites médico-médiatico-politiques. Avec un syndrome de Stockholm évident chez une majorité de nos concitoyens, a fortiori auprès des innombrables « petits chefs » qui se sont mis de façon zélée voire fanatique au service de cette dérive.
D’où l’importance de poser les choses à plat, de nommer et de donner à voir et à comprendre ces réalités.
Je partage donc volontiers ici la vidéo ainsi que le fichier (en pdf) de ma présentation.
Une panne de micro peu avant la fin m’a empêché d’être entendu dans la douleur que j’exprimais de voir le degré de corruption et de fraude scientifique prévalant actuellement au sein de l’OMS comme des autorités de santé nationales relativement à la gestion du Covid.
Comme tant d’autres organisations et institutions (on pourrait citer en Suisse romande les Hôpitaux universitaires de Genève et le Centre hospitalier universitaire vaudois), l’OMS voit vraiment le meilleur et le pire co-exister en son sein : d’une part un très grand nombre de professionnels intègres et compétents, avec une abnégation admirable et la recherche d’une évolution des pratiques au service des patients et du respect de la dignité humaine. Et de l’autre une effroyable corruption systémique (avec des conflits d’intérêt à perte de vue) mettant de facto ces organisations au service dévoyé d’intérêts crapuleux, qui n’hésitent pas à entretenir une morbi-mortalité largement évitable pour favoriser leurs intérêts lucratifs.
Je citais lorsque la panne est arrivée le remarquable programme « Quality Rights » (pour le respect des droits humains et des soins de qualité en santé mentale) de l’OMS, qui est un modèle du genre… promouvant des valeurs et des pratiques qui sont l’exact contraire de la gestion lamentable du Covid.
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