Conseil scientifique indépendant n° 4 du 29 avril 2021

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Ce Conseil sans conflits d’intérêts poursuit son travail : présenter des informations importantes sur la crise « sanitaire » en cours et le Covid-19 à partir des  données dont on dispose et de la meilleure science.

Car la plupart des gens (diligemment désinformés parla redoutable triade autorités – presse – réseaux sociaux sous-traitant à la précédente un travail de police de la pensée et de censure…) ignorent que les chiffres données de jour en jour sont la plupart du temps biaisés et même souvent des indicateurs fallacieux (comme le « nombre de cas » obtenus par tests PCR à des taux d’amplification qui ne veulent plus rien dire).

Le CSI comprend des membres qui font de la recherche, pure ou appliquées, mais aussi des professionnels et experts qui agissent sur le terrain (par exemple en soignants concrètement des personnes atteintes par le Covid-19) tout en se tenant informés de la meilleure science.

Laquelle ne se trouve plus tant hélas ni dans les revues scientifiques (qui publient autant d’articles erronées ou frauduleux que d’articles de qualité, ce qui rend nécessaire d’avoir l’œil exercé pour trier le bon grain de l’ivraie) ni bien sûr dans les recommandations des « comités scientifiques » que leurs conflits d’intérêts oriente (c’est systémique) à privilégier certains intérêts au détriment de la vérité… et du bien public.

La quatrième édition des séances publiques du CSI (qui ont lieu en direct tous les jeudis à 21h, accessible sur la chaîne youtube REINFO COVID 2021 et/ou sur le site www.reinfocovid.fr/live) a traité des thèmes suivants :

J’ai commencé par présenter une analyse sur l’inutilité (connue depuis toujours) des mesures de contrainte en montrant comment ce qui était clairement à éviter a été imposé à l’échelle mondiale pour générer ce qu’on aura vécu. Pour les sceptiques et les curieux, le scientifique qui a le plus contribué à l’éradication de la variole avait annoncé qu’un tel scénario transformerait une épidémie gérable en catastrophe… en 2006, soit 14 ans avant les faits !

Laurent Mucchielli (sociologue et maître de recherches au CNRS) nous a ensuite entretenu de la « doxa » du Covid, soit ce « narratif officiel », complètement faux mais convaincant, façonné par quelques grandes sources.
Pour faire bonne mesure, Vincent Pavan, chercheur-enseignant en mathématiques à l’Université d’Aix-Marseille, nous a fait la démonstration de comment le confinement a bel et bien accéléré et non pas ralenti la progression de l’épidémie, données et analyses statistiques à l’appui.
Bref, de quoi découvrir bien des choses pas exactement secondaires. Et oui, de la vraie et bonne science, sans conflits d’intérêts. Bien sûr contestable et réfutable -la science n’énonçant pas des certitudes mais des hypothèses- mais au moins faite avec rigueur et intégrité. Ce qui n’est de loin pas le cas partout -c’est même devenu rare dans les sphères d’influence !