Autopsie d’un désastre : extraits du livre

Posted by

Je suis heureux de partager avec vous l’introduction et le premier chapitre de mon nouveau livre, « Autopsie d’une désastre – mensonges et corruption autour du Covid ».

Mon intention en l’écrivant était de réaliser ce bilan exhaustif, qui n’a toujours pas été fait, sur la gestion de cette épidémie et d’expliquer pourquoi elle s’est avéré aussi catastrophique.  En montrant les causes qui ont empêché de simplement appliquer ce que la science savait de longue date et que les plans pandémie prévoyaient !

On me demande parfois si je crois vraiment qu’ils ont fait faux ou s’il s’agit plutôt de la mise en œuvre d’un plan délibéré. A ce stade, il y a une somme d’éléments probants qui plaident pour l’intentionnalité – pour partie du fait de la corruption qui règne dans le secteur de la santé et des perspectives irrésistiblement juteuses offertes par le fait d’imposer les injections géniques expérimentales à base d’ARN modifié comme unique option médicale ! Mais aussi, nous en avons aujourd’hui les preuves, comme opération criminelle à grande envergure avec une tentative, littéralement, de coup d’état planétaire. Cette seconde question fera l’objet d’un autre volume, à paraître au mois de mai prochain.

Dans le présent ouvrage, je détaille la réalité des absurdités, transgressions et destructions hélas causées par la gestion calamiteuse du Covid, portée par la lâcheté et la frilosité intellectuelle des « élites », soit tous ces corps constitués (médecins, politiciens, fonctionnaires, journalistes) qui ont adhéré idéologiquement à ces mesures littéralement folles.

Nous passons en revue les grands paramètres de la crise et ce qui nous en a été dit : gravité de l’épidémie, surcharge des hôpitaux, « vagues » et nombre de cas, fiasco des données, nature autoritaire et non pas sanitaire des mesures imposées, etc.

Pour consulter la table des matières :

Nous parcourons méticuleusement -avec plus de 1’000 références documentaires à l’appui- la réalité sur l’utilité des confinements, des fermetures, couvre-feus et autres mesures de restriction, de l’imposition du port du masque, des systèmes de traçage et passes, ainsi que la question centrale des traitements précoces.

Pour identifier ensuite le thème central de cette crise : la production massive de dégâts évitables, que ce soit par la privation et l’abandon de soins, l’imposition de traitements toxiques et même mortels, l’attaque contre les groupes les plus vulnérables de la population, la génération intentionnelle d’une « psycho-pandémie » et les dégâts socio-économiques majeurs ainsi générés.

Nous abordons ensuite la question des injections géniques expérimentales indûment présentées comme « vaccins » (alors qu’elles n’immunisent pas) en décortiquant la fraude des essais cliniques, en décrivant l’efficacité et les risques réels de ces produits, en établissant la nature, la fréquence et la gravité des effets indésirables ainsi que la violation du consentement des patients, qui n’a pas pu être donné ainsi que la loi et l’éthique l’exigent.

Nous terminons ce tour d’horizon avec la description de la corruption systémique qui gangrène désormais le secteur de la santé, comme l’ont reconnu les organisations internationales, différents parlements comme la Chambre des Communes britannique ou la Sénat français, les anciens rédacteurs en chef de revues médicales parmi les plus « prestigieuses », les centres d’éthique de diverses universités comme Harvard ou Oxford ou encore des ONG spécialisées dans la corruption…

Production scientifique, enseignement et pratique médicale, agences de santé nationales et internationales, sociétés médicales, presse et gouvernements : tout ce petit monde est ravagé par la compromission avec les agissements criminels des laboratoires pharmaceutiques et l’omerta qui prévaut, chacun se protégeant soi-même en couvrant les autres…

Dans un processus fort bien décrit par le sociologue et philosophe Michel Maffesoli :

(Cette censure énorme) est effrayante. Le tout teinté d’une sorte de conformisme global. Il y a un fort degré de « conformité logique ». Lévi-Strauss appelait cela un « effet de structure ». Cela signifie que nous sommes pris dans une structure et que nous ne pouvons pas penser en dehors de ce que la structure nous dit qu’il faut penser. Une conformité logique. Et dès que vous sortez de cette structure, vous êtes un théoricien du complot.

MÊME S’IL S’AGIT SIMPLEMENT DE POSER DES QUESTIONS.

Oui, nous posons simplement la question. Heidegger a exprimé l’idée que poser des questions est la « piété de la pensée ». Une phrase élégante qui exprime parfaitement notre travail essentiel : poser des questions.

Dans ce livre, nous avons cherché à poser les vraies questions, celles que les pouvoirs en place (et pour cause !) évitent de poser. Et à apporter les éléments de réponse probants dont nous disposons.

Selon le slogan bien trouvé de mon éditeur : « Un livre qui ne va pas plaire à tout le monde… »

 

INTRODUCTION

Nos sociétés se préparent depuis plusieurs décennies à devoir affronter tôt ou tard une pandémie de grande ampleur. Nous savons en effet que les agents infectieux connaissent des mutations ou des recombinaisons, et donc que de nouveaux virus ou même des formes plus virulentes de virus connus peuvent soudainement appa- raître et présenter une menace pour nos populations.

Les vingt-cinq années écoulées ont ainsi vu se produire un certain nombre de « départs de feu » avec notamment la grippe aviaire en 2002, la grippe porcine en 2006, la grippe H1N1 en 2009, etc.

Pour chacun de ces épisodes, nous étions dans l’impossibilité de savoir s’il condui- rait à une pandémie à large échelle ou si le départ de feu s’éteindrait plus ou moins rapidement – sans qu’on puisse d’ailleurs en expliquer les raisons. Le vivant conserve bien des mystères, et l’art de la prédiction ressemble souvent moins à un travail de précision qu’à ce jeu où il s’agit, les yeux bandés, de placer correctement la queue d’un âne dessiné sur une pancarte…

Face au risque pandémique, nos gouvernements et les organisations internationales ont mis sur pied tout un système de veille sanitaire pour détecter, évaluer puis, le cas échéant, monitorer les événements épidémiques.

Au début de l’année 2020, nous avons été informés qu’un événement inhabituel se produisait en Chine dans la ville de Wuhan. Avec des images plus qu’inquiétantes.

L’annonce d’une première victime de cette nouvelle maladie (un homme de 64 ans) fut faite le 11 janvier 2020, suivie quelques semaines plus tard par celle du décès du médecin qui aurait alerté en premier sur la présence du nouveau coronavirus.

 

CHAPITRE 1.1 : QUELLE GRAVITE POUR LA PANDÉMIE ?

Les premières questions que se posent les responsables de la santé publique face à un nouvel événement épidémique sont : quelle est la nature du danger ? Qui menace-t-il ? Quelles sont les mesures à prendre ? Ce travail se fait en comparant les données disponibles avec les connaissances acquises au cours du temps, afin de pouvoir identifier ce qui relève du connu et ce qui s’en écarte, rendant l’événement sanitaire singulier.

Nous savons comment la menace épidémique fait partie des risques naturels qui ont été le mieux analysés au cours des dernières décennies. Nous avions donc à disposition les outils, les connaissances et les bonnes pratiques pour réagir de manière pertinente et efficace à l’épidémie de Covid-19.

Celle-ci s’inscrit dans la grande famille des épidémies respiratoires virales, attribuables à un des agents pathogènes viraux qui peuvent être soit ponctuels (ils disparaissent alors aussi soudainement qu’ils sont apparus), soit récurrents (comme la fameuse influenza, couramment appelée grippe), ou encore, s’acclimatant, devenir endémiques dans des formes systématiquement atténuées.

Lorsqu’une épidémie respiratoire virale apparaît, les paramètres qu’il s’agit donc de quantifier le plus rapidement possible pour pouvoir en prendre la mesure sont d’une part sa contagiosité (la vitesse à laquelle elle se répand par contamination interpersonnelle), sa morbidité (quelles sont les personnes que cela va rendre malade et, parmi les personnes qui tombent malades, quelles sont celles qui sont à risque de connaître des formes graves ?), sa pathologie (quel est son mode d’action sur l’organisme dans ses différentes formes – légère, moyenne ou aggravée?) et enfin sa létalité (qui risque-t-elle de tuer ?).

En ce qui concerne le SRAS-CoV-2, débarquant soudain en étant présenté comme un virus redoutable, nous avons d’emblée été dans une situation difficile à penser, puisque d’une part il était relativement anodin dans l’immense majorité des cas, mais d’autre part il pouvait malgré tout générer des formes graves redoutables. Ce paradoxe apparent (qui se résout à la lumière de la question des facteurs de risque) aura posé un réel problème d’appréhension dans la conscience collective, devenu de plus en plus inapte à la pensée complexe, même élémentaire.

Qualifié tantôt de grippette (ce qu’il était en vérité pour la plupart des gens infectés) tantôt de virus tueur (ce qu’il aura été hélas pour une petite catégorie de personnes à risque), le coronavirus aura surtout suscité un manque de clarté et de bon sens dans ce qui a été communiqué à son sujet par les autorités politiques et médicales.

Les coronavirus sont une famille d’agents infectieux de type virus à ARN, présentant la caractéristique de muter abondamment. Lorsque des mutations se stabilisent et se diffusent, on parle alors de variants.

Il fait partie du cours naturel de l’évolution des virus que de perdre en virulence à mesure qu’ils évoluent : dans une simple logique adaptative, il est peu favorable pour eux de tuer leurs hôtes ! Leur but est plutôt de pouvoir s’installer à demeure en trouvant un « modus vivendi » avec ceux-ci.

Quatre coronavirus déjà en circulation sont considérés comme sources d’infection bénigne : 229E, NL63, OC43 et HKU1. Ils seraient la cause de 15 à 30 % des rhumes courants1. Ils se sont acclimatés à notre environnement, et leur terrain de prédilection dans notre anatomie (les fosses nasales) se caractérise par une faible présence immunitaire, tout en constituant un milieu chaud et humide. Une sorte de « Club Med» pour ces créatures…

On pense que les coronavirus en question se sont montrés dans un premier temps bien plus virulents qu’ils le sont progressivement devenus, et il était hautement probable que le SRAS-CoV connaisse un pareil processus d’atténuation.

Les autres coronavirus connus, plus redoutables, comme le premier SRAS-CoV de 2002 (agent pathogène du syndrome respiratoire aigu sévère, d’où son nom constituant un acronyme) ou le MERS, ont en revanche disparu rapidement, ce qui fait aussi partie du devenir possible de tels agents infectieux.

En ce qui concerne la nature du nouveau coronavirus, à peu près tout ce qui nous a été dit de son origine, de sa date d’apparition et de sa dangerosité s’est avéré faux, comme nous le verrons au long des prochains chapitres. S’agissant d’une zoonose (soit d’un agent infectieux passant de l’animal à l’humain et vice-versa), la prétention d’arrêter sa circulation par des mesures de contrainte appliquées aux populations (« stratégie du zéro covid») était absurde.

En ce qui concerne sa pathologie, le nouveau SRAS-CoV (numéroté « 2 ») présentait une phase respiratoire aiguë mais sans gravité, avec les symptômes typiques des refroidissements, qui se résorbait couramment en quelques jours. On observa toute- fois que cette première phase était parfois suivie d’une seconde, caractérisée par une phase vasculaire : les capillaires des alvéoles pulmonaires s’encombraient alors de petits caillots de sang, processus pouvant conduire à une détresse respiratoire autrement redoutable. On identifia pareillement que la transition de la première phase (bénigne) à cette éventuelle seconde phase (qui ne l’était plus) passait par une tempête de cytokines, soit un emballement du système immunitaire dont les conséquences devenaient en elles-mêmes problématiques. Le passage en question se produisant habituellement autour du dixième jour de l’infection chez les patients concernés et pouvant entraîner des dommages allant jusqu’à la mort – risque augmenté, comme nous le verrons, par l’application de traitements en eux-mêmes destructeurs.

************
J’ai été navré d’apprendre que le livre était déjà en rupture de stock sur différentes plateformes de vente en ligne, avec des délais pour pouvoir se le procurer…
Cette difficulté peut être contournée en commandant directement auprès de votre libraire ou de l’éditeur, lequel a un sacré catalogue autour du Covid (et dans le domaine de la santé) avec les livres de Michel Cucchi, Benoît Ochs, Robert Malone, Eusèbe Rioché, Peter McCullough, Robert Kennedy Jr, etc.
Il offre la livraison gratuite en France métropolitaine et Belgique à l’achat de deux livres ou plus. Avec le code A5_JDM (à entrer dans la case correspondante « Bons » du panier d’achat), vous obtiendrez une réduction supplémentaire !
  • Pour commander auprès de l’éditeur : cliquer ici.

… ainsi que sur les grandes plateforme de vente en ligne ; vos librairies seront en mesure de le commander dès lundi prochain 4 décembre.

  • Il est également d’ores et déjà accessible au format ePub sur le site suivant : cliquer ici.