Désastre sanitaire : enquête aux USA sur Facebook, Twitter et Google au sujet des soupçons de collusion avec l’administration Biden

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Un juge fédéral vient d’autoriser le bureau du procureur général du Missouri, Eric Schmitt, à avoir accès aux documents de l’administration fédérale et de cinq sociétés de Big Tech de son choix.

Cette décision s’inscrit dans le cadre de l’action en justice intentée en mai par les États du Missouri et de la Louisiane contre le gouvernement fédéral et les administrations qui semblent avoir joué un rôle dans la censure sur les plateformes de Big Tech, notamment Joe Biden, Jen Psaki, Anthony Fauci, le CDC, les NIH, le Département de la sécurité intérieur (DHS) et son secrétaire général Alejandro Mayorkas, et d’autres.

  • Pour lire le texte de la plainte (en anglais) : cliquer ici.

L’action en justice allègue que l’administration Biden a conspiré avec – et parfois même contraint – Facebook, Twitter, Google et tous les autres grands monopoles technologiques à imposer la conformité des discours et des pensées avec l’idéologie sanitaire délirante sur Internet, à l’encontre de toute science digne de ce nom (c’est-à-dire simplement intègre).

 

Le procureur général Schmitt a déposé des preuves de ces inconduites graves auprès de la Cour. Un lanceur d’alerte avait ensuite communiqué une masse de documents internes du Département de la sécurité intérieure aux sénateurs Josh Hawley du Missouri et Chuck Grassley de l’Iowa.

Ces documents confirment que le DHS a maintenu un programme continu de censure de la « désinformation », ciblant les experts comme toute personne ayant des préoccupations concernant l’utilité des mesures de contrainte ou les injectons géniques expérimentales présentées comme des vaccins…

Dans cette procédure, l’administration Biden s’est battue bec et ongles pour empêcher le procureur général Schmitt d’accéder aux documents et risquer ainsi de mettre fin à une manipulation de l’information proprement fasciste (c’est-à-dire parrainée par le gouvernement et les Big Tech). Avec une censure des discours et analyses non-conformes aux intérêts dominants, y compris celles provenant de certains des meilleurs experts scientifiques au monde (comme les épidémiologistes Risch, Kulldorff, Gupta et Bhattacharya ou le cardiologue McCullough).

Le juge fédéral chargé du procès a garanti que le procureur général Schmitt pourrait mener une série critique d’enquêtes sur pas moins de cinq (5) entreprises technologiques de son choix.

Le bureau d’Eric Schmitt peut ainsi exiger, en collaboration avec celui du procureur général de Louisiane Jeff Landry, tous les documents pertinents à la cause.

Étant donné la gravité des falsifications et fraudes à l’appui des politiques sanitaires et la collusion évidente (déjà démontrée en ce qui concerne par exemple Anthony Fauci et Mark Zuckenberg) entre différents acteurs pour dissimuler les vérités inconfortables à la population, la moisson promet d’être abondante !

Et pourrait signer le début de la fin pour l’opération criminelle en cours depuis trois ans avec la complaisance sinon la complicité odieuse de nos autorités et des acteurs concernés (« tasks forces » et autres conseils systémiquement corrompus, sociétés médicales, hôpitaux universitaires, organes étatiques d’autorisation et de surveillance des médicaments, presse, etc.)

Relevons qu’en Suisse et en Europe également, les campagnes de désinformation, ainsi que de de stigmatisation et même de harcèlement visant les opposants à une politique « sanitaire » désastreuse pourra et devra faire l’objet d’une enquête pénale – certains groupes y travaillent.

Et les réactions et journalistes véreux ou simplement stupides (comme à Tamedia, HeidiLeTemps, la « Revue médicale suisse » et la RTS en Suisse..) auront des comptes à rendre quant à leur duplicité malveillante.