DOUZE MILLIONS DE FOIS MERCI ET TOUS MES VŒUX !

Posted by

Après une petite pause de circonstance, je suis heureux de reprendre le collier pour une année qui s’annonce tout aussi compliquée et délirante que la précédente. La psychopathologie et la criminologie sont les deux disciplines que nous avons urgemment besoin de mettre à profit pour inverser le cours des choses, si tant est que cela soit possible !

Avant d’ouvrir ces questions, je me dois de vous remercier, lectrices et lecteurs fidèles ou de passage sur ce blog, pour l’intérêt spectaculaire que vous avez manifesté en 2020 pour mes analyses. J’avais commencé cette production convaincu qu’elle n’intéresserait qu’un tout petit nombre de lecteurs, du fait de sa complexité et de ses caractéristiques un peu fouillées en anthropologie et en santé publique.

La recommandation usuelle en la matière étant au passage de faire court, et de simplifier le langage autant que possible. Las : mon second article de cette pandémie, fort long et publié le 18 mars, aura totalisé à lui seul 4 millions de lectures pour un total sur l’année (tous articles confondus) de 12 millions et demie de vues pour 3’100’000 lectrices et lecteurs !

Capture d’écran 2021-01-11 à 12.55.00.png

Un phénomène reflétant (de mon point de vue) l’appétence de la population pour une information et des décryptages libres de toute allégeance et de tout conflit d’intérêts, libre aussi de remettre en question le narratif officiel truffé de malhonnêtetés et d’incohérences, servi ad nauseam par les autorités et les médias.

J’aurai aussi eu le privilège d’accueillir sur ce blog plus d’une trentaine de contributions adressées par des universitaires, chercheurs ou médecins dans des domaines aussi variés que la santé publique et l’épidémiologie, la psychiatre, la sociologie et l’anthropologie, la biologie, la génétique, l’infectiologie et la microbiologie (dont la virologie bien sûr), l’immunologie, les soins intensifs, la psychologie et la pédopsychiatrie ou encore la psychanalyse et la philosophie. Que tous ces contributeurs soient ici remerciés du fond du cœur pour leur générosité complice à partager des vues éclairantes !

Mes détracteurs (ceux de la presse en particulier) ont préféré considérer tout cela comme les séductions inquiétantes des propositions non filtrées par le tamis raboteux de leurs parti-pris et préjugés ! Stéphane Benoît Godet (co-rédacteur en chef du Temps dramatiquement peu inspiré tout au long de l’année 2020) étant même allé jusqu’à professer au sujet de cette parole non médiée par sa profession sinistrée (je le cite) : « les réseaux sociaux c’est de la drogue dure pour ceux qui disent des bêtises, parce que plus vous dites des bêtises, plus vous avez de l’impact, plus ils se pensent importants et plus on parle d’eux dans les médias traditionnels, c’est un sacré carrousel dans lequel on a été engagés et qui est assez dangereux pour simplement l’ordre social et la démocratie. (sic) »

Ce qui est surtout de la drogue dure et périlleux pour la démocratie, à vrai dire, c’est ce mélange de désinformation systématique et de dramatisation outrancière que lui et ses confrères auront appliqué à cette thématique en Suisse romande.

Mais aussi l’incompétence des médias à lire et décoder la science. Certes, ils ont le handicap d’ignorer (ou refuser de savoir) que la plupart des articles qui sont publiés (même et somehow surtout dans les plus grandes revues) sont falsifiés ou simplement faux. Un tout petit peu de curiosité intellectuelle ou d’aptitude à la recherche documentaire aurait suffi à les éclairer, mais non, ce socle élémentaire de conscience professionnelle s’est avéré irréductiblement hors d’atteinte.

Comment expliquer par exemple que l’article-bidon publié dans le Lancet au mois de mai ait été décrypté comme tel sur ce blog (et différents autres) en un temps record alors que la presse romande unanime a dû attendre sa rétractation pour comprendre (et encore, ils n’ont pas tous encore vraiment atterri) qu’il y avait quelque chose qui ne jouait pas !

J’attends pareillement au moment où j’écris qu’un organe de presse francophone relève les bidouillages (pourtant pas très difficiles à repérer) qui truffent l’article publié dans le New England Journal of Medecine au sujet du vaccin de Pfizer, lui permettant de présenter des conclusions fallacieuses qui nourrissent ensuite en copier-coller la communication de responsables politiques comme Alain Berset et Mauro Poggia.

Le premier s’est ainsi risqué à affirmer que le vaccin (je cite) était « sûr et efficace », ce qui ne fera guère qu’un mensonge de plus, même si non des moindres : nul n’en sait rien et au contraire, des doutes très sérieux existent (nous y reviendrons prochainement) quant à ces deux paramètres -ce qu’ont reconnu différents immunologues même au sein des cercles les plus officiels ! Voici par exemple un résumé fait par un internaute de « M. Vaccin-Covid » en France :

Alain Fischer, éminent médecin, professeur d’immunologie pédiatrique et chercheur en biologie, a été nommé par Castex pour coordonner la stratégie vaccinale. Lors de son premier discours, il a remis, en quelque sorte, les pendules à l’heure. Il a expliqué que pour le moment, sur les nouveaux vaccins, qui sont en fait des thérapies géniques et que l’on commence à inoculer : «Nous n’avons que des communiqués de presse des labos » et en tant que médecin, il attend « avec impatience des publications scientifiques ». Mais encore, « l’évaluation des risques » ne pourra se faire qu’au bout de « 2 à 3 mois ». Sinon, on ne sait pas, « si ces vaccins sont efficaces sur les personnes à risque ». On ne sait pas non plus « s’ils protègent de l’infection et encore moins s’ils protègent de la non-transmission ». Et on ne pourra pas se livrer à une vraie évaluation de la stratégie vaccinale avant « plusieurs mois ». Il préconise donc « la prudence ». Après une entrée en matière pareille, ou Castex le vire séance tenante, ou il se met à écouter des gens compétents et change son fusil d’épaule. Les complotistes réticents sont donc du même avis que ce scientifique de haut vol, qui a expliqué ce que tout le monde pense : on ne sait pas où on va…

Mauro Poggia, lui, s’est risqué à affirmer que le vaccin génique était à 95% efficace, affirmation qui figure en effet dans la propagande du labo mais est en l’espèce indéfendable, sauf à jouer du pipeau à pleins poumons…

Ce chiffre se réfère en effet (selon Pfizer !) uniquement à la prévention de formes bénignes du Covid dans les groupes de population les moins à risque !!! Ce type de mensonge par omission est si caractéristique de la désinformation qui prévaut qu’on pourrait l’accueillir d’un simple haussement d’épaules. Comme il sert à convaincre les aînés de se faire vacciner en masse (alors que l’on n’a AUCUNE donnée sur les bénéfices et les risques pour ce groupe de population en particulier), c’est à nouveau une très grave manipulation des données, n’en déplaise à quiconque.

 

 

MERCI !

J’ai ici à l’inverse pris le parti qu’il fallait proposer au public des perspectives caractérisées par la rigueur et l’intégrité, en respectant la complexité des choses et en veillant à ce qu’elles soient utiles. Par contraste, le narratif officiel s’est avéré répétitivement brutal, culpabilisant, infantilisant et dogmatique, produisant une espèce d’effet nocebo à grande échelle. Dans un de ses gros titres pas piqué des vers, la Julie a ainsi évoqué hier que les troubles neurologiques dont souffrent certains malades « légers » du Covid « ne sont pas seulement liés à une forme grave de maladie. Le stress et la dépression auraient aussi une influence. » Titre surplombant trois autres, tous plus dramatiques et anxiogènes les uns que les autres, concourant à produire exactement le « stress et la dépression » en question !

unnamed.jpg

Merci donc à vous tous, lectrices et lecteurs, de l’accueil favorable réservé à ma modeste production, qui avait précisément vocation (je l’ai souvent évoqué) de soutenir la salutogenèse et la résilience des lecteurs en apportant de l’intelligibilité aux choses, qu’il s’agisse de la nature et des contours réels de l’épidémie ou encore de la mise en lumière sans complaisance des logiques corrompues ayant présidé à nombre de choix absurdes et indéfendables.

Cette production aura été trop compliquée pour les journalistes romands (à deux ou trois exceptions près) mais ni pour le public, ni pour nombre des meilleurs experts qui m’ont fait l’honneur de me lire et d’apprécier mes analyses.

Je ne reviendrai pas ici sur les campagnes de dénigrement et de diffamation orchestrées à mon encontre en Romandie (surtout) comme ailleurs (un peu). Il ne s’agit de mon point de vue que d’un symptôme de plus de la déliquescence tant des politiques publiques (dramatiquement médiocres) que des pratiques médiatiques, glissant de plus en plus vers la junk press.

La laideur du procédé m’a toutefois suffisamment déplu pour que je me fende d’une réponse à Alexis Favre, producteur et présentateur de l’émission (soi-disant de débat) Infrarouge à la RTS, qui venait de pérorer, dans un clip diffusé sur Twitter, les raisons pour lesquelles il n’invitait pas des personnalités comme Astrid Stuckelberger (dont les analyses sont si pertinentes), Slobodan Despot (qui produit et de loin le travail journalistique le plus ample et lucide de Suisse romande depuis le mois de mars) ou de votre serviteur, que ce jeune homme persiste à présenter (à l’instar de tous les experts qui ne sont pas dans la ligne du Parti) comme  « manquant de crédibilité ».

Je me suis permis de lui rappeler deux ou trois choses, notamment que deux des plus éminents sociologues contemporains ont souligné à l’inverse la pertinence de mes contributions, estimant pour le premier (Michel Maffesoli) que mon travail autour de la Covid était (je le cite) « remarquable » ; alors que le second (Laurent Mucchielli) soulignait :

« L’anthropologue de la santé Jean-Dominique Michel fait partie de ces rares intellectuels qui, non seulement ne partagent pas les peurs et les opinions imposées par la communication gouvernementale et les médias dominants, mais de surcroît ont le courage de l’exprimer publiquement. Son propos est celui d’un chercheur en sciences sociales spécialiste des questions de santé, à cheval sur la France et la Suisse, doté d’une longue expérience. Il est très argumenté et s’appuie en notes de bas de page sur une importante bibliographie médicale internationale, inconnue de la plupart des commentateurs français (…) Son livre se lit facilement et s’avère d’utilité publique tant sont nombreuses et cruciales les questions de fond discutées. Citons notamment la connaissance statistique de l’épidémie et de la mortalité en général, la critique de la stratégie politico-sanitaire du confinement, l’état actuel de la recherche médicale, la corruption par l’industrie pharmaceutique, la question du traitement du Covid, les questions de santé publique en général. »

 

Peu importe : dans cette régie que l’on découvre par ailleurs comme un lamentable pince-fesses grevé par les abus (y compris pédophiles) et l’omerta, ce genre de considération ne résiste pas au fétichisme de la pensée unique : on préfère inviter pour la 1012ème fois Samia Hurst, éthicienne dont le pli préféré est depuis de longs mois de maltraiter en même temps la probité scientifique et la santé psychique de la population ; ou n’importe lequel de ses collègues de la Task Force ou des HUG, peu importe leur égarement à répétition.

 

Boum, paf !

Nous vivons à vrai dire un sacré moment, caractérisé par la remontée de forces parmi les plus viles : dogmatisme, déni de réalité, suppression du débat, stigmatisation des dissidents, attaques ad hominem (ou mulierem) pour ne surtout pas avoir à dialoguer sur le fond. Ces incivilités (pour dire les choses poliment) n’épargnent personne et surtout pas certains experts ou dirigeants qui semblent avoir perdu de vue les règles de base de l’art d’être en désaccord comme d’un élémentaire respect.

A vrai dire, toutes et tous, nous qui nous sommes risqués à dire les malhonnêtetés et les incohérences (comme celle, basique, brutale, de mettre en échec de manière systématique et fallacieuse toutes possibilités de traitement précoce efficace au bénéfice de traitements inutiles et onéreux ou maintenant du vaccin génique…) avons essuyé des tirs d’artillerie lourde.

Avec ce renversement insensé (que j’aborde dans la vidéo suivante dont le titre est « Sous le feu des attaques ») que les spécialistes les plus compétents et intègres se sont fait harceler et diffamer, alors que les plus douteux se voient promus aux plus hautes charges quelle que soit la somme d’erreurs ou de délits qu’il sont commis, comme l’illustre la nomination au siège de l’OMS d’Agnès Buzyn -la mettant à l’abri des nombreuses poursuites pénales dont elle fait l’objet avec différents de ses collègues.

C’est un dernier thème de cette affaire : la plupart des élites sont en pleine déliquescence. On découvre (ou trouve la confirmation) au passage que nombre d’institutions elles-mêmes sont gangrénées par des logiques viles et déshumanisées, concourant bien sûr à faciliter la promotion aux plus hautes responsabilités des profils les plus problématiques.

Comme par exemple ces services ambulatoires dont les responsables appliquaient la tri-thérapie à des patients à risque de devoir être hospitalisés en réanimation avec un succès quasi-total et se le sont vu interdire brutalement par leur hiérarchie. Ou ce patient de 97 ans hospitalisé en toute fin de vie en soins palliatifs, déplacé brusquement en réanimation du fait d’un test PCR positif pour aller y mourir dans les lits de soins intensifs (exemples connus de l’auteur).

Albert Jaccard nous en avait averti il y a quarante ans : nous construisons un monde dangereux, disait-il, en stimulant partout la compétition la plus féroce. Il en résulte un avantage concurrentiel pour les personnes les plus dénuées de scrupules ou les plus conformes, deux profils à haut risques et même à hauts dommages pour les collectifs. La médiocratie brutale et arrogante que l’on a vue à l’œuvre dans nos pays relève bien de cet ordre de réalité.

 

Task Force : get lost !

En attendant, on nous re-prépare une énième répétition de ce qui ne marche pas et ne fait aucun sens ! Les modélisations de l’EPFL, de l’EPFZ, des HUGs et consorts sont systématiquement fausses ? Peu importe, on continue de s’y référer religieusement !

HUG projection.jpg

HUG Real.jpg

La Suède (vilipendée il vous en souviendra par la Task Force qui n’a cessé d’affirmer que suivre ses traces conduirait à la catastrophe !) termine l’année avec une mortalité sans écart majeur (et pas pire que la nôtre) par rapport aux dix dernières années sans jamais avoir confiné, fermé les écoles ou masqué ?

Capture d’écran 2021-01-11 à 15.15.15.png

Peu importe, le réel ne compte plus depuis longtemps au royaume des azimutés.

Une étude portant sur dix millions de personnes, en Chine, montre que les personnes Covid+ asymptomatiques ne sont tout simplement pas contagieuses -confirmant que le port du masque, la quarantaine ou le confinement des personnes saines ne sert strictement à rien ? Peu importe, le Conseil fédéral, suivant les autres gouvernements, prépare (what else ?!)  des mesures encore plus dures…

Bref, encore et toujours : un vrai délire ! Comme le dit si judicieusement le Pr Christophe de Brouwer (un des meilleurs médecin expert en santé publique d’Europe) :

Notre crise socio-économique se poursuit en ce début d’année sans aucune justification sanitaire. Le sacrifice inutile de l’horeca (acronyme désignant le secteur d’activités de l’hôtellerie, de la restauration et des cafés NdA) et des métiers du spectacle, de même que la détérioration de notre espace social et industriel, sur l’autel douteux d’une science dévoyée se poursuit. Honte à nous.

Le régime de semi-confinement, les violences policières, les délations de tant de petits chef.fes, …, rien de tout cela n’est justifiable, vraiment rien.

Car où voyez-vous une justification sanitaire, pour autant qu’il en ait jamais eu une ? (Et, selon moi, à l’examen approfondi, les mesures prises furent généralement mauvaises à catastrophiques.)

 

En pure perte : jamais des experts comme lui, Christian Perronne ou moi ne serons invités par ceux qui nous gouvernent. Dans leur affolement et celui en particulier de se retrouver poursuivis au pénal (ce qui se produira de toute manière), nos dirigeants sont prêts à tout saccager sans justification aucune, suivis par des hordes de malheureux rendus fous par la panique et l’angoisse.

Ce qui nous ramène au début de ce papier : seule la psychopathologie collective peut à ce stade nous éclairer sur cet enfermement dans le non-sens et des réponses délirantes face au réel. Ce qui rappelle bien sûr l’aphorisme lancé par le Pr Raoult à David Pujadas :

Qu’est-ce qu’on va suggérer ? Que tout le monde reste enfermé toute sa vie parce qu’il y a un virus ? Vous êtes tous fous, vous êtes devenus tous cinglés ?!

 

Pour mieux appréhender ces réalités douloureuses et complexes, deux ressources (entre autres) méritent le détour : « La polarisation du débat public, signe de la psychose paranoïaque de notre temps », entretien entre le journaliste Stéphane Bureau (comme quoi…) et Ariane Bilehrian, normalienne psychologue clinicienne et docteur en psychopathologie. Qui va alertement au fond des choses. Ou encore la très intéressante série consacrée par Ema Krusi à la manipulation des foules, avec comme invité le passionnant physicien, biologiste, anthropologue et psychanalyste Philippe Bobola.

J’en terminerai avec cela, c’est une des beautés de la chose : Dieu sait si Ema Krusi a été traitée avec toute la morgue et le mépris dont ils sont capables par les journalistes du Temps et de Heidi News. La nature a toutefois horreur du vide : alors que ces médias ne remplissent plus leur rôle avec l’honnêteté et la compétence requises, c’est la propriétaire d’une boutique (ce qui n’empêche pas d’avoir la tête bien faite ni de se questionner) qui leur en remontre dans l’art de présenter au grand public des perspectives intéressantes !

C’est un des motifs d’espoir dans ce grand magma boueux : la mauvaise nouvelle est que les « scientifiques » (au sens qu’entend Jean-Marie Bigard) et nos dirigeants continuent à faire toujours plus de la même chose en dépit des conséquences (il s’agit au passage d’une des définitions de la folie). La bonne nouvelle étant que de plus en plus de personnes s’en rendent compte et sont en pleine empathie avec les groupes de la population les plus maltraités par les trains de mesures absurdes qu’on nous inflige à répétition (comme les enfants, les jeunes, les étudiants, les aînés, les restaurateurs, les artistes, les sportifs, les commerçants de proximité, etc.)

Et viendra bien, forcément, tôt ou tard, le moment de mettre un stop à cette bouffée délirante qui n’en finit pas de tout détruire sur son passage.

 

C’est tout le mal que je nous souhaite en ce début d’année, plus déterminé que jamais en ce qui me concerne à poursuivre ce combat.

Je le répète : imposer le masque, confiner et mettre en quarantaine les personnes qui ne sont pas malades et fermer les écoles est inutile, destructeur et délirant, à telle enseigne que cela n’avait jamais été envisagé en aucune manière avant la bouffée délirante de 2020 !

 

Voilà ce que montre le réel et ce qu’atteste la vraie science, et non pas  certes les élucubrations de modélisateurs et de faux experts corrompus à d’autres logiques et intérêts. A ce sujet, l’excellent site Réinfocovid propose à partir d’aujourd’hui sur sa chaîne différentes contributions de votre serviteur portant sur la corruption systémique qui nous a mis dans ce désastre et, jusqu’à nouvel ordre, nous y maintient. Avec de surcroît désormais un chantage vaccinal (explicite ou implicite) dangereux à maints points de vue brandi par les azimutés qui nous gouvernent et ceux qui persistent en dépit du bon sens à leur faire confiance.