Voilà une situation aussi instructive qu’assurément utile : plusieurs collectifs locaux se sont appuyés sur les travaux du Conseil scientifique indépendant pour informer la population par voie d’affiches des données réelles de la pharmacovigilance relative aux injections géniques expérimentales indûment appelées « vaccins » anti-Covid.
Les panneaux d’affichage sur les effets indésirables à Toulouse font réfléchir les citoyens, même ceux interrogés par BFM.
✅Bravo à @ReinfoCovidOff et au Conseil Scientifique Indépendant pour cette action ! https://t.co/4zPqf9Vw2k— Philippe Murer 🇫🇷 (@PhilippeMurer) August 18, 2022
Lesquelles données sont évidemment tout sauf rassurantes : jamais dans l’histoire, de nouveaux produits mis sur le marché (au forceps et au mépris des règles de sécurité) ne se seront montrés aussi destructeurs que ceux-ci. On observe même depuis des mois des indicateurs extrêmement inquiétants comme une augmentation systématique de la mortalité générale, toutes tranches d’âge injectées confondues,
- Pour lire « Silent crisis of soaring excess deaths gripping Britain is only tip of the iceberg » dans The Telegraph (article payant) : cliquer ici
ou encore, par exemple, en France, une explosion (« inexpliquée ») des décès chez les 10-11 ans ainsi que des consultations en urgence dans la tranche des 5-14 ans
Bien sûr, il en faudrait plus pour faire vaciller les gardiens de la charia vaccinale : après tout, les études produites à l’appui de la mise sur le marché de ces produits dangereux étaient déjà toutes lourdement frauduleuses, comme nous l’avons montré sans jamais être contredit (et pour cause) dans nos analyses.
- Pour lire « Injections Pfizer: l’escroquerie du siècle?« : cliquer ici.
Tout à leur furie vaccinale, les médecins et leurs organisations corrompues ont foulé au pied l’entier des règles et principes prévalant à juste titre depuis des décennies. Des acquis prudentiels aussi fondamentaux que s’abstenir de vacciner les femmes enceintes ou de mener des campagnes de vaccination pendant une phase épidémique ont été purement et simplement jetés aux orties. Sans même parler du respect du consentement éclairé du patient, du temps nécessaire aux phases d’expérimentation et encore des protocoles de recherche qui -à ce qu’on sache- ne sont pas des fantaisies à suivre à bien plaire : la première étude Pfizer publiée dans le New England Journal of Medecine montrait que le protocole avait été changé a posteriori pour obtenir des résultats plus favorables, avec un intervalle de confiance parfaitement délirant en ce qui concerne la « protection contre les Covid sévères. »
- Pour lire « Vaccin Pfizer : étude bidouillée et conclusions douteuses » : cliquer ici.
L’étude dite « à six mois » montrait quant à elle une mortalité générale significativement plus élevée dans le groupe « vaccinés » que dans le groupe témoin.
- Pour lire « Pfizer contre Pfizer : la dernière étude est frauduleuse »: cliquer ici.
Ah, la magie de la pensée totalitaire et de sa novlangue ! Il aura suffi aux truands d’affirmer dans la foulée que cette différence « n’avait rien à voir avec l’injection » pour que tout le monde restât « les yeux grands fermés » selon le film éponyme de Stanley Kubrick.
Faux, faux et faux
Tout aura été faux de A à Z dans la propagande vaccinale : l’efficacité des injections n’a évidemment jamais été de 95% (le British Medical Journal l’a tout de suite relevé), les produits en question n’ont au grand jamais été « sûrs et efficaces » sauf dans la fureur argumentative des ayatollahs de service – politiciens, médecins et journaleux corrompus frayant joyeusement et sans vergogne dans le même panier.
Ariane Bilheran et Mattias Desmet, grands spécialistes de la psychose de masse et des dérives totalitaires, nous ont malheureusement rappelé que l’idéologie paranoïaque qui orchestre ces moments de délire collectif devient allergique au réel : les faits non seulement ne lui importent plus mais la révulsent. Le propre d’une délire est précisément de s’exonérer du principe de réalité aussi bien que de toute éthique : l’impératif délirant renverse tout sur son passage et ne saurait souffrir de contradiction – on a presque envie d’écrire de la moindre contrariété à sa toute-puissance…
- Pour voir « Faire face à la dérive totalitaire » (vidéo dans laquelle je présente les travaux d’Ariane Bilheran): cliquer ici.
- Pour voir « Covid 19 et psychopathologie de masse » – CSI n29 : cliquer ici.
Car les succès paranoïaques sont là : annihilation contre toute science et tout bon sens des options de traitements précoces. Disqualification massive des meilleurs spécialistes, lesquels se sont évidemment opposés à des mesures et une science « folles ». Imposition de contraintes absurdes, toxiques, superstitieuses (comme le port du masque) et en réalité parfaitement destructrices. Le tout en s’assurant d’une adhésion suffisante des masses à ce plan délirant.
Ce ne sont pas quelques données de pharmacovigilance (tout solides qu’elles soient) qui vont venir réfréner les bouffées délirantes des fanatiques…
Seulement voilà : si les élites en perdition ne sont plus capables de raison ou trop cyniques pour rapercher le principe de réalité, la population, elle, finit tout de même par avoir des doutes… Après avoir vaillamment joué le jeu en acceptant sacrifice (illusoire) sur sacrifice illusoire avec la promesse que « tout rentrerait grâce à cela dans l’ordre », il lui reste suffisamment de grains de bon sens pour s’apercevoir de la longue litanie des promesses qui se sont avérées mensongères.
Souvenez-vous : le premier confinement de mars-avril 2020 devait permettre de « tasser la courbe » en deux semaines, garantissant un rapide retour à la normale. Une des conseillères de la présidence américaine, la Dre Deborah Birx, vient de reconnaître qu’elle savait très bien que ce ne serait pas le cas au moment où ce message fut proféré d’une seule voix par les autorités…
- Pour lire « How Dr Deborah Birx And Anthony Fauci Faked The Science Of Lockdowns And Social Distancing » (en anglais) dans Greatgameindia : cliquer ici.
On nous expliqua ensuite que le confinement n’avait pas suffi mais que le port du masque permettrait de juguler la contagion. Ceci alors que même en salle d’opération, il est établi et connu que le masque ne protège par contre la transmission des virus et bactéries mais sert à procurer une protection contre les jets de matière liquide (surtout le sang). L’imposer en population générale restera dans les annales comme un sommet de superstition dommageable – mais avec l’évident avantage d’avoir entretenu massivement la terreur publique.
- Pour lire « Brûlez vos masques, ils ne sont que nuisibles! » sur le site de l’AIMSIB : cliquer ici.
Puis on nous expliqua que le « vaccin » créé en un tournemain allait régler le problème une fois pour toutes et que, bonne nouvelle, son efficacité était quasi-miraculeuse ! On se souviendra par exemple des innombrables morceaux d’anthologie du perverssissime Gilbert Deray, pour lequel une réouverture du bagne de Cayenne semble de circonstance…
Flop, plop, couic, dong…
Et voilà : flop ! Rien, que dalle, nada. Zéro immunité, zéro protection. On fit encore miroiter une efficacité contre les formes graves, argument auquel nombre de dupés se raccrochèrent comme des malheureux tant il est narcissiquement douloureux de reconnaître qu’on a été à ce point trompé ! Or même cet effet est un leurre selon les données.
Et donc devant la perspective d’une 4ème, 5ème, 6ème injection, après avoir subi des contraintes abjectes et totalement illégales de la part des autorités, la population n’est « soudain » plus aussi chaude… comme l’illustre ce tout récent sondage réalisé par Ouest France et le Courrier de l’Ouest :
Ce d’autant plus que la gravité du mensonge d’état ET des conséquences dommageables subies dans leur santé par les citoyennes et citoyens sont de plus en plus manifestes… et avérées.
- Vidéo du Dr Louis Fouché « Effets secondaires des injections anti-Covid » :
Si nous arrêtons de raconter n’importe quoi, les faits sont là : nous parlons de millions d’effets dommageables sévères et souvent irréversibles par continent et de centaines de milliers de morts au moins. Des centaines de milliers de mères et pères de famille, de grands-parents, de jeunes et d’enfants dont la vie s’est brutalement arrêtée parce qu’elles ont fait confiance à des autorités criminelles.
- Pour lire « Do you know how many people have been killed worldwide by their governments from the COVID shots? » (en anglais) : cliquer ici.
Et parce que les figures de ce qu’il faut bien appeler la « corruptosphère » ont joué le jeu : les médecins et les sociétés médicales ont fermé les yeux et sont devenus des « gardiens de la révolution » vaccinale, en se sucrant généreusement au passage. La presse, sous perfusion chronique de fonds publics et appartement à des oligarques peu recommandables, s’est montrée littéralement aussi libre et éthique que la presse soviétique ou nazie.
Et la grand cohorte des petits chefs et privilégiés, fonctionnaires, universitaires, enseignants, juges, parlementaires, s’est levée comme un seul homme dans une grande soumission à l’hypnose collective totalitaire.
Voici donc où nous en sommes : la truanderie (qui était évidente d’emblée, l’avons-nous assez annoncé !) est aujourd’hui aussi obvie qu’un nez au milieu de la figure mais les ayatollahs de la charia vaccinale continuent à nier l’évidence en perpétuant un mensonge assurément compromettant pour eux !
Affiche, ne vois-tu rien venir ?!
C’est dire si les affiches qui ont fleuri à Toulouse sont périlleuses. Le péril n’est pas à chercher bien loin : les données qu’elles communiquent sont indiscutables.
Les ayatollahs s’accrochent à des arguments d’une mauvaise foi crasse, il n’en reste pas moins : l’estimation affichée repose sur les données établies par les systèmes de pharmacovigilance officiels (européen et américain notamment), corrigées par un coefficient de sous-déclaration parfaitement robuste, établi de longue date dans la littérature scientifique. En l’espèce, le coefficient retenu est même plutôt conservateur : il repose sur l’hypothèse d’un taux de déclaration spontanée de 10% des incidents ou accidents vaccinaux, alors que la littérature l’établit entre 1% et au mieux 5% (ce dernier chiffre ayant été celui trouvé dans un préprint de l’Université de Columbia).
- Pour lire « Une hécatombe «vaccinale»? 20 fois plus de morts que rapportés selon une étude américaine« : cliquer ici.
C’est dire si Vincent Pavant et Emmanuelle Darles, membres du Conseil scientifique indépendant et chercheurs de grande classe, sont dans une position favorable lorsqu’il s’agit de débattre de ces données. Les démonstrations qu’ils viennent de produire à la demande de France Soir en attestent de manière évidente.
- Pour lire « Panneaux antivaccins Covid-19 à Toulouse »: Réinfo Liberté explique ses résultats » : cliquer ici.
Et c’est là précisément le risque que les autorités et les médecins corrompus ne veulent prendre à aucun prix – et pour cause ! On n’a donc droit qu’à la même litanie débile de procès d’intention et d’injures (complotistes, antivaxx, irresponsables, producteurs de fake news, etc.), arguments d’une absolue indigence en termes de contenu.
Rira bien..
La situation est à vrai dire quelque peu amusante : quelques ripoux se sont époumonés d’emblée dans le presse et sur les réseaux sociaux (rappelons que la harcèlosphère est numériquement massive, richement dotée en ressources et parfaitement rompue en termes de campagnes crapuleuses.)
Le préfet a été saisi par le gouvernement (!) et sommé en quelque sorte d’intervenir.
- Pour lire « Le ministère de l’Intérieur veut interdire les affiches antivax à Toulouse » dans le Journal toulousain : cliquer ici.
- Pour lire « Affiches antivax à Toulouse : Deux procédures engagées par l’État« : cliquer ici.
Sauf que…
Même si les élites totalitaires se rêvent en terrains sociétal pleinement conquis, il reste des codes de loi et des professionnels attachés à les considérer comme autre chose que les vestiges pittoresques d’un monde à jamais révolu.
La liberté d’expression est garantie, et l’idée même que la science relèverait des décrets (incontestables) des autorités peine malgré tout à convaincre. Faut-il vraiment ici rappeler qu’aucun des innombrables scandales sanitaires que nous avons connus au cours des décennies écoulées n’a été soulevé par une administration ou une autorité de santé ?
L’enjeu est de surcroît redoutable : s’attaquer à ces affiches revient à assurer leur publicité. Comme leur contenu est dangereux pour le pouvoir de par sa véracité, celui-ci en est réduit à danser d’un pied sur l’autre en fulminant et en multipliant les coups tordus : on assiste ainsi à une véritable persécution des voix dissidentes.
Le Dr Amine Umlil, qui a été auditionné par la commission du Sénat sur cette question des effets indésirables, est actuellement poursuivi par son autorité de tutelle non pas parce qu’il aurait communiqué de fausses informations… mais (tenez-vous bien) des informations contraires à celles tenues pour vraies par les institutions de santé dont il relève !
- Pour lire le témoignage du Dr Umlil : cliquer ici.
Emmanuelle Darles et Vincent Pavan essuient eux aussi une véritable campagne de harcèlement administratif et académique, ourdie par les minables petits chefs de leurs institutions respectives au mépris de toute justice. Ils n’en méritent que d’autant plus notre respect et notre soutien.
C’est aussi grâce au courage de héros comme eux, acceptant de s’exposer ouvertement à cette maltraitance systémique que la vérité du système totalitaire se donne à voir au grand jour.
Il en faudra plus hélas pour que le système vacille ou recule : tant qu’il s’en prend aux opposants, les passifs et les lâches jouent son jeu. L’histoire et la connaissance de la dynamique totalitaire nous enseignent qu’il s’en prend ensuite à ceux-là même qui l’ont si bien servi et qui se croient à l’abri du fait de leur allégeance. La folie totalitaire finit toujours par dévorer ses rejetons soumis…
Guerre et (/ou) paix
Nous sommes collectivement dans un moment charnière. Emmanuel Macron révèle de plus en plus ouvertement son visage de délirant paranoïaque. Il promet avec le sourire qu’on lui connaît dans ces moments la « fin de l’abondance » et nous avertit que nous aurons à « payer le prix « de ce qu’il définit comme notre liberté là où toute son action depuis plus de cinq ans a systématiquement œuvré à la supprimer…
Nous avons faire à un psychopathe en plein délire qui, si nous ne l’arrêtons pas vite et bien, tiendra sa parole de nous conduire vers l’abîme. La guerre -hélas- est toujours l’aboutissement, naturel et inévitable, du délire paranoïaque.
Les affiches en comparaison des enjeux que je mentionne peuvent paraître anecdotiques.
Mais elles ne le sont pas -justement- dans la mesure où elles constituent une émergence paradigmatique de la ligne de force sur laquelle se joue notre destin : les effets destructeurs des injections géniques, couplés aux conditions illégales et abjectes de leur imposition par la contrainte, constituent bel et bien un crime contre l’humanité – des milliers de médecins et la survivante de l’holocauste Vera Sharav viennent de le rappeler encore haut et fort à Nuremberg.
- Pour voir « Expérience médicale et respect des droits humains« , entretien de Jérémie Mercier avec Vera Sharav : cliquer ici.
Violenter les faits, nier l’évidence, châtier ceux qui se risquent à l’énoncer, aliéner la masse à cette ignominie sont les processus vitaux du totalitarisme. C’est dire si ce qui est jeu à Toulouse est tout en réalité sauf anecdotique !
C’est pourquoi j’encourage, suivant l’invitation en ce sens d’Emmanuelle Darles, toutes les personnes vaillantes et de bonne foi à copier l’affiche et la diffuser aussi largement que possible !
#SortezVosPanneaux pic.twitter.com/sIuIBR7SSD
— Emmanuelle Darles (@EmmaD33267944) August 23, 2022
- Pour télécharger l’affiche en format pdf : cliquer ici.