« Auto-proclamé » ?! Attaques et bassesses : ça suffit !

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La violence mimétique est un donné anthropologique lorsqu’un corps social est en tension.

Depuis quinze mois, on a observé le retour d’inconduites et de vilenies qui, en temps normal, auraient valu à ceux qui les ont agies ou proférées une réprobation sur la base des règles élémentaires de bonne conduite et de civilité.

Le déchaînement contre les « complotistes », provenant de la presse, des autorités ou du Café du commerce, fut ainsi d’une stupidité et/ou d’une ignominie rares. Comme une forme d’hystérie banale visant à étouffer dans l’oeuf tout risque de débat d’idées authentique.

Et en effet, stressés, terrifiés et brutalisés comme ils l’auront été par des mesures « sanitaires » absurdes et inutiles, le seul moyen pour la plupart des gens de ne pas affronter la gravité de cette dérive et de leur docilité aura consisté à incendier les raisonnables et les sceptiques.

On a ainsi vu des gens a priori « normaux », parfois ayant eu ou ayant des responsabilités, se comporter comme des  petites frappes ou des malfrats.

Avec des effets de masse, de meute, de harcèlement et de lâcheté.

 

Dans de tels contextes, les limites du normal et de l’anormal, de l’acceptable et de l’inacceptable, du policé et de l’odieux vacillent, avec des emballements soudains de pulsions agressives mais aussi une tonalité de fond de bassesse banalisée.

Les voix dissidentes sont évidemment les cibles de choix de cet ensauvagement collectif.

A ces zones d’ombre de la vie sociale s’ajoute le plus souvent une instrumentalisation évidente. Les dérives totalitaires en particulier travaillent délibérément à l’extinction de la nuance et de la diversité, en désignant les ennemis à discriminer ou à lyncher. La littérature dissidente a identifié de longue date les ressorts disponibles pour isoler, exclure ou agresser les empêcheurs de totaliser en rond !

Actuellement, des entreprises spécialisées s’occupent de s’attaquer à la réputation d’honnêtes opposants comme des meilleurs experts, ainsi que je l’ai souligné dans le séminaire que j’ai récemment donné à l’IHU de Marseille. La dérive en cours, caractérisée par une violation systématique des bonnes pratiques en santé, commandait que l’on sapât et attaquât les scientifiques et médecins intègres défendant la simple pratique médicale et ses principes éthiques.

Quand par exemple on est parvenu à faire croire qu’il était anti-scientifique de soigner les malades et scientifique de les laisser mourir seuls dans leur coin, cela s’est accompagné d’un bashing général de celles et ceux qui osaient s’opposer à cette monstruosité.

On a vu ensuite comment les réfractaires à la doxa (cet ensemble d’idées fausses martelées par les gouvernements, les pseudoscientifiques et les médias) se faisaient également agresser, fussent-ils les meilleurs dans leurs domaines (comme les Pr Ioannidis, Gupta, Battacharya, Raoult, Perronne, Toubiana, etc.)

Pour chacune et chacun, l’entreprise de bashing se sera concentré sur ce qui pouvait être exploité, à tort ou à raison. L’important n’est bien sûr ni la vérité ni l’équité, mais le salissage et la destruction.

 

En ce qui me concerne, l’entreprise de dénigrement se sera focalisée sur une affirmation absurde mais qui trouva son public : celle selon laquelle je serais un « expert autoproclamé ». Cette stupidité fit florès auprès de la presse malveillante (comme Heidi News, Le Temps ou L’Express) ainsi que des milieux viles et veules comme certaines sectes zététiciennes refuges de « scientifiques » ratés et malveillants.

Cette boue, c’est bien là l’intéressant en ce qui concerne les processus de violence mimétique, déborda ensuite vers un ensemble de responsables ou de petits serviteurs de la dérive totalitaire.

A Genève, même le Conseiller d’État Mauro Poggia se permit quelques sorties à mon égard relevant de ce registre. N’étant pas rancunier, je mets cet égarement sur le compte du stress intense qu’il vivait – en particulier eu égard à la somme de mauvaises mesures qu’il prenait les unes après les autres. S’il s’était donné la peine de vérifier, il aurait constaté que j’avais en l’occurrence assuré deux mandats d’expertise méthodologique au sein du Département de la santé plus de quinze ans avant qu’il en prenne la présidence !

Me traiter d’auto-proclamé au regard de mon parcours et de mon expérience est simplement grotesque. Et l’on comprend bien que c’est le piteux coup de pied de l’âne de ceux qui n’ont rien à dire… A défaut de trouver à (ou être capable de) redire à mes analyses, on ulule en s’imaginant que cela aura valeur d’argument.

Comme les meilleures choses ont une fin et que les plaisanteries les plus courtes sont les meilleures, lassé également par cette stupidité ambiante, j’ai mandaté Me Araujo-Recchia pour me représenter face aux atteintes à ma probité et à mon honneur.

A bon entendeur…


 

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COMMUNIQUÉ

Monsieur Jean-Dominique MICHEL pratique depuis plus de vingt-cinq ans en tant qu’anthropologue de la santé et expert en santé publique pour des entités publiques et des ONG en Suisse et dans différents pays.

Il est titulaire de diplômes en anthropologie, ethnolinguistique, études théâtrales et cinématographiques ainsi que d’une maîtrise en anthropologie de l’Université de Montréal et de la London Psycho-Physics Academy.

Son expérience professionnelle est de notoriété publique, eu égard aux mandats d’expertise qu’il a assurés pour différents gouvernements et institutions publiques, aux dispositifs en santé qu’il a développés, aux nombreux articles qu’il a publiés dans la littérature spécialisée ainsi qu’aux présentations qu’il a données en tant que conférencier dans des congrès en anthropologie de la santé et en santé publique à travers le monde.

Il a été invité à présenter ses travaux et le fruit de son expertise dans plus de quinze Universités et Hautes écoles européennes ainsi qu’auprès de plusieurs gouvernements et organisations internationales.

Il est également sollicité par les médias suisses et français et est intervenu en tant que consultant permanent pour l’émission de télévision nationale suisse romande relative à l’économie.

Il a présidé pendant quinze ans la Fondation pour le Musée d’ethnographie de Genève. Il est aussi auteur de livres, réalisateur de films documentaires et éditeur du blog Anthropo-logiques.org.

 

Monsieur Jean-Dominique MICHEL est depuis plusieurs mois victime de propos diffamatoires, d’attaques médiatiques et d’une campagne de décrédibilisation dans la presse, sur internet et notamment sur les réseaux sociaux, d’une particulière gravité.

Bien évidemment, vous pouvez aisément remarquer que ces attaques correspondent à la période de crise sanitaire que nous connaissons actuellement et que les compétences de Monsieur Jean-Dominique MICHEL n’ont jamais été remises en cause auparavant.

Ces propos et attaques de tous ordres sont attentatoires à sa dignité, à sa probité, à son honneur et à la considération de sa personne et sont, de ce fait, susceptibles de constituer des infractions pénales d’injures ou de diffamation, réprimées par les articles 29 à 35 quater de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse.

Monsieur Jean-Dominique MICHEL a mandaté Me DE ARAUJO-RECCHIA, Avocat à la Cour, afin de mettre en œuvre toutes les voies de droit, tant civiles que pénales, à l’encontre de toute personne physique ou morale ayant commis lesdites infractions en vue d’obtenir la sanction de tels agissements et la réparation des préjudices subis.

 

Fait à Paris,

Le 27 mai 2021

 

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