L’efficacité réelle du « vaccin » Pfizer n’est pas de 95% mais… au mieux de 0,7% !

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Les manipulations fleurissent par les temps qui courent comme les pissenlits au printemps… L’inconduite (pour ne pas dire la malhonnêteté) des « scientifiques » officiels et des autorités de santé laisse pantois tellement elle apparaît désinhibée. Entre modifications a posteriori des protocoles de recherches, trucage des données, courbes ne correspondant pas aux chiffres avancés, on voit même désormais des abstracts d’articles publiés dans des revues à comité de lecture n’ayant rien à voir avec le contenu des articles mais relevant du pur marketing et même à vrai dire de la publicité mensongère !
 
Les médecins, la presse et les politiques se contentant de lire ces abstracts sans analyser le contenu des articles (tout en considérant que toute contestation est le fait de dangereux « complostiss »), c’est en fait un jeu d’enfant pour les industries concernées de faire marcher tout ce petit monde à la baguette dans leurs combines !

Que ces milieux a priori éduqués soient pareillement assujettis à une manipulation aussi grossière sera du pain béni pour les historiens et les psychosociologues. Sans grande découverte à en attendre : la désignation d’un ennemi imaginaire pour assurer que la masse fasse corps derrière les « zélites » est vieille comme le monde et marche malheureusement à tous les coups. D’autant plus qu’il se trouve des légions de collaborateurs pour imposer avec la violence requise les contenus frauduleux présentées comme vérités scientifiques inquestionnables !

On peut effectivement constater comme me l’a fait remarquer un lecteur sagace et attentif que « l’usage de la notion de « consensus scientifique » est utilisée à tout va pour « clore le débat » en ce qui a trait aux questions qui seraient à débattre au sujet du Sars-CoV-2.

Dans un article fort pertinent, Christian Lévêque, écologue, hydrobiologiste et directeur de recherches émérite, rappelle fort à propos que :

« (…) Le fait de contester une théorie majoritaire à un moment donné n’est pas une hérésie, mais un élément du débat scientifique. La découverte de la « vérité » ne se construit pas nécessairement par consensus mais par aller-retour (on pourrait dire essai-erreur) entre un modèle explicatif et les faits observés. La démarche scientifique se nourrit donc d’interrogations, d’esprit critique, et de doutes. Il est possible que d’autres observations dans un autre contexte donnent des résultats différents… d’où des interprétations différentes ! Et la vérité n’est généralement dans aucun camp ! »

La presse, les gouvernants et les « milieux scientifiques » suisses ont hélas déserté ce fondement de la connaissance. Dans la situation que nous vivons, c’est bien plus que dommage, c’est tragique eu égard aux destructions que leur adhésion à une idéologie largement dogmatique inflige à la population.

Au premier rang du florilège des manipulations qui ont pignon sur rue grâce à ces acteurs en perdition figure cette affirmation mille fois répétée que l’efficacité du « vaccin » Pfizer en termes de protection contre le Sars-CoV-2 est de l’ordre de 95%.

Ce qui est une affirmation (à nouveau) erronnée ! Ceci pour deux raisons :

– Tout d’abord, les articles publiés truquent les résultats par différents subterfuges, sans donner accès au données pour éviter tout examen approfondi ! Même sans cela, on peut établir sans peur de se tromper que l’efficacité relative du Pfizer était au mieux de l’ordre de 50-70% et probablement même moins selon le Dr Peter Doshi, rédacteur au British Medical Journal.

– Ensuite, il est reconnu de longue date comme manipulatoire d’indiquer uniquement la valeur d’efficacité relative d’un médicament ou d’un vaccin sans indiquer également l’efficacité réelle (ou absolue).

J’avais cité lors du séminaire que j’ai présenté à l’IHU de Marseille à la fin du mois de mai le propos de Richard Smith (ancien rédacteur en chef du même British Medical Journal. Lequel, observait alors à regret (on était en 2005 !) que les revues médicales s’écartaient de plus en plus de la science, et qu’elles devenaient « le bras marketing des laboratoires pharmaceutiques » en usant d’un ensemble de trucages plus ou moins grossiers.

Au nombre des « méthodes employées par les entreprises pharmaceutiques pour obtenir les résultats désirés d’essais cliniques, figure, en huitième position, celle qui nous intéresse ici:

soit « présenter les résultats qui ont le plus de chance d’impressionner – par exemple, la réduction du risque relatif plutôt que du risque absolu. »

C’est de ce subterfuge qu’usent et abusent ceux qui nous gouvernent en induisant évidemment la population en erreur.

Elément-clé essentiel pour imposer comme il l’est actuellement le dogme « vaccinal ». Pour un produit qui, rappelons-le, n’est même pas un vaccin mais une injection génique expérimentale ! Sur laquelle Laurent Mucchielli, directeur de recherches au CNRS vient d’alerter avec différents collègues sur le fait qu’elle conduit actuellement à une « mortalité grave et inédite », les auteurs estimant que « sa dissimulation l’est plus encore. Soyons clairs : dissimuler d’une façon ou d’une autre un tel danger est tout simplement criminel vis-à-vis de la population. »

C’est dire si la situation est grave et que nous ne sommes ici en aucun cas confrontés uniquement à de « très rares effets indésirables sans gravité » comme a osé l’affirmer récemment le ministre suisse de la santé…

Je reproduis pour la qualité de la démonstration l’analyse publiée il y a peu par l’équipe scientifique de Réinfocovid. Avec mes remerciements pour leur travail de qualité.

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Comment est calculée l’efficacité des vaccins ?

Par : Collectif Reinfocovid, le 20 juillet 2021

 

Tous les laboratoires producteurs de vaccins anti-covid ont largement relayé l’immense efficacité de leurs vaccins. Cette efficacité est en fait une efficacité relative, et la FDA recommande de communiquer aussi l’efficacité absolue des vaccins et pas uniquement l’efficacité relative car cela influence abusivement les patients et les médecins !

A Retenir

Il ne faut pas se laisser berner par des taux d’efficacité relative élevés. L’efficacité absolue des vaccins calculés par des chercheurs sont  [4]:

Moderna : efficacité absolue = 1,1%

Pfizer : efficacité absolue = 0,7%

Cela signifie que si vous êtes vaccinés par Pfizer ou Moderna vous diminuez votre risque d’être infecté par le Sars Cov 2  de 0,7 % et 1,1 % respectivement

 

 

Tous les laboratoires producteurs de vaccins anti-covid ont largement relayé dans les documents grand public, et les documents scientifiques, l’immense efficacité de leurs vaccins, comme on peut le voir ci-dessous [1], [2], [3] :

Cette efficacité est en fait une efficacité relative, et la FDA (Food and Drug Administration) recommande de communiquer aussi l’efficacité absolue des vaccins et pas uniquement l’efficacité relative car cela influence abusivement les patients et les médecins ! [4]

Selon Kawahti et al. [5], les différences entre les mesures d’effet relatif et les mesures d’effet absolu dans les études sont « mal comprises par les professionnels de la santé, et encore plus mal comprises par les patients ».

 

Alors un taux d’efficacité de 95% du Pfizer/BioNtech, ça veut dire quoi ?

Réinfocovid vous l’explique :

 

95% d’efficacité est un taux d’efficacité relatif qui se calcule selon la formule suivante :

Ainsi, on peut calculer l’efficacité relative du vaccin Pfizer, d’après le tableau 2 synthétisant les résultats du laboratoire publiés dans la revue NEJM [6].

 

Mais le Taux de Contamination des personnes du groupe Placebo était :

et le Taux de Contamination des personnes Vaccinées était :

Le taux d’efficacité absolu du vaccin est donc selon [4]:

(NB : Ce résultat est légèrement supérieur à celui publié dans l’article [4], car les auteurs ont considéré 21720 et 21726 candidats pour les groupes vacciné et placébo, respectivement, pour arriver à un taux d’efficacité absolu de 0,7%.)

 

Cela signifie que dans l’essai mené durant l’automne 2020, 99,1% des non-vaccinés N’ONT PAS EU la Covid-19 contre 99,96% des vaccinés.

L’efficacité absolue du vaccin Pfizer est donc de 0,86%.

 

La différence entre efficacité relative et absolue peut être illustrée par un schéma inspiré de [4]

 

En conclusion :

Il ne faut pas se laisser berner par des taux d’efficacité relative élevés. L’efficacité absolue des vaccins calculés par des chercheurs sont  [4]:

Moderna : efficacité absolue = 1,1%

Pfizer : efficacité absolue = 0,7%

Cela signifie que si vous êtes vaccinés par Pfizer ou Moderna vous diminuez votre risque d’être infecté par le Sars Cov 2 de 0,7 % et 1,1 % respectivement