Vaccin et passport Covid : le point de vue d’un médecin

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C’est un honneur et une joie pour moi de partager ce soir le texte fort intéressant que le Dr Henry Boret vient de rédiger au sujet de la question vaccinale qui nous est désormais posée.

Bien sûr, je suis, inconditionnellement et a priori, pour la liberté thérapeutique en cette matière comme dans toute autre. Et par conséquent le respect inconditionnel du droit de chacun(e) à disposer de son corps comme il l’entend, donc de recevoir ou non tel ou tel traitement ou vaccin.

Ce principe de base du droit (appelé habeas corpus par les Anglais) est évidemment mis à mal -comme tous les principes fondamentaux du droit- par les temps qui courent. Après avoir fait croire que le Covid constituait une menace planétaire, après avoir systématiquement mis en échec toutes les options de traitement précoce pourtant efficaces voilà que nombreuses sont les voix aujourd’hui à réclamer soit une obligation vaccinale, soit l’adoption de dispositions rendant la vie des réfractaires tellement pénible qu’ils soient contraints de céder ou sinon de se voir durablement privés de leurs droits fondamentaux.

Il se pourrait d’ailleurs qu’il y ait un lien entre la mise en échec des traitements efficaces et la vaccination généralisée, puisque les autorisation urgentes délivrées pour les nouveaux vaccins ont eu pour condition nécessaire l’absence de traitements probants ! Il y a là quelques hypothèses intéressantes à creuser pour ceux qui se souviennent que les complots sont objectivement innombrables dans le domaine de la santé et pour les juges d’instruction de demain qui s’occuperont du « plus grand scandale sanitaire du XXIème siècle ». Les journalistes, eux, on l’a compris, ne sont pas intéressés…

 

Si par principe donc je suis favorable à la liberté vaccinale, je suis malgré tout réservé face aux nouveaux vaccins géniques pour les raisons suivantes :  d’abord, il s’agit -n’en déplaise aux négationnistes- d’une violation de l’interdiction de réaliser des expérimentations à large échelle sur la population, consacrée par différentes conventions internationales. La phase III de l’essai se terminera en 2022, et donc les populations entières qui se font vacciner participent à une expérience formellement interdite. Pourquoi, dans les faits, ne l’est-elle pas ? Eh bien pour la raison fort simple que nos gouvernements piétinent allègrement et avec une navrante systématicité les droits individuels et collectifs au motif de cette pandémie.

Or les droits en question ne souffrent pourtant d’aucune exception.

La seconde objection est que nous ne connaissons pas (et ne pouvons aucunement connaître) les effets secondaires à moyen et long terme des nouveaux vaccins. Cela rend (à nouveau) sa prescription problématique puisqu’un médecin ne peut pas convaincre un patient de recevoir un traitement dont on ignore les dommages possibles et le véritable profil de risque.

Troisièmement, il se pourrait que la vaccination expérimentale génique augmente la contagiosité des vaccinés infectés malgré tout par le coronavirus. On comprend à quel point serait problématique l’éventualité que la vaccination fasse in fine flamber le nombre de super-contaminateurs !

Enfin, on commence à avoir de sérieux doutes sur la possible contribution des nouveaux vaccins à l’apparition de nouveaux variants, plus virulents, du Sars-CoV-2. S’il est encore trop tôt pour tirer des conclusions, les coïncidences répétées qui ont vu l’apparition de ces nouveau variants dans les régions les plus vaccinées devraient inciter à la prudence.

Ajoutons qu’une politique de santé digne de ce nom contre le Covid permettrait d’épargner la plus grande majorité des victimes potentielles et on comprendra que l’option vaccinale précipitée me laisse critique.

 

Ceci posé, il est naturel que s’expriment d’autres points de vue. Si les fanatiques vaccinaux m’intéressent peu tant leurs dogmes sont outranciers et simplement faux, les médecins qui adoptent des positions nuancées ont en revanche des arguments qui m’intéressent.

Du côté des bénéfices possibles des vaccins, il faut relever que les thérapies à base d’ARN messager sont très prometteuses et offrent des perspectives magnifiques contre certaines maladies que l’on peine encore à soigner. On semble trop ici jouer aux apprentis-sorciers (en injectant des foules qui ne sont pas malades et ne l’auraient jamais été) pour que la balance bénéfices-risques me paraisse raisonnable. Mais la technologie est prometteuse.

On peut ensuite considérer que la pharmacovigilance est pour l’instant relativement rassurante. Nonobstant (à nouveau) l’incertitude à moyen et long-terme, les accidents et décès observés à court terme sont certes significatifs, certes apparemment plus élevés qu’avec la vaccination contre la grippe, mais sans qu’on redoute que toute personne vaccinée coure un grave danger. Un danger oui, d’un ordre de grandeur à vérifier.

Ensuite, je comprends bien sûr l’argument selon lequel, pour des profils à risque, la balance bénéfice /risques est forcément différente. Si une personne a -mettons- une probabilité de un sur dix de développer un forme grave du Covid ou d’y rester, accepter la vaccination génique peut faire sens.

Les positions changent forcément selon la prépondérance que l’on accorde à l’éthique et au droit, aux risques individuels ou globaux, de la confiance que l’on a ou non dans les autorités médicales et les laboratoires, et son identité. Que les médecins en particulier soient ouverts ou acquis au principe de la vaccination est évidemment dans l’ordre des choses : les vaccins ont constitué une révolution historique dans le domaine de la santé avec des bienfaits incommensurables.

Ils n’ont pas fait que ça hélas et c’est toujours une difficulté pour un corps constitué de pouvoir développer une compréhension contrastée de ses mythes. Un Républicain aura toujours du mal à reconnaître les innombrables et terrifiantes scories de la Révolution française, et les médecins celles des vaccins -qui ont bien sûr existé, le retrait précipité du vaccin contre la Dengue développé récemment par Sanofi le démontrerait au besoin.

Si l’on exclut les positions extrêmes (celles des anti-vaccins fondamentalistes comme de ceux qui traitent d’antivaxx tous ceux qui posent de bonnes questions ou émettent le moindre doute), reste la nécessité précisément d’une réflexion intelligente autour de chaque vaccin, chacun ayant ses propres caractéristiques et profil de risques.

Le texte que je partage avec vous ici est de cette qualité. Son auteur, dont nous avons déjà publié un article cet été, s’y questionne en tant que médecin sur l’opportunité de la vaccination anti-Covid et ce que seraient les bonnes ou les mauvaises pratiques.

Si ses conclusions divergent partiellement des miennes, je reste appréciatif de la qualité, de la sincérité et de la probité de sa réflexion. C’est exactement ce dont nous avons besoin pour co-construire la réflexion nécessaire. C’est aussi hélas ce dont nous sommes tant privés (en Suisse particulièrement depuis une année) dès lors que la presse s’est mise en tête de dire la vérité et de prendre caricaturalement parti dans une question qui réclame de la nuance et de la subtilité.

C’est donc avec une vive gratitude que je remercie le Dr Boret de sa contribution intéressante et pleine de finesse, portée par l’éthique évidente qui l’habite.

 

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Oui aux vaccins contre le SARS-Cov-2

Oui à la vaccination ciblée, y compris chez les soignants

Et non au passeport vaccinal.

 

Par le Dr Henry BORET

Praticien Hospitalier en Anesthésie-Réanimation

 

Les médecins ne sont pas tous d’accords sur la stratégie vaccinale. Certains chroniqueurs s’y mettent aussi. A mon tour donc d’ajouter à la cacophonie.

 

Préambule :

  • je me fais vacciner contre la grippe tous les ans depuis plusieurs années.
  • je parle en mon nom propre sans relation avec mon hôpital
  • j’ai des liens d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique. Je suis consultant pour le laboratoire pharmaceutique Vasopharm GmBH qui développe un traitement dans le traumatisme crânien grave.
  • cette opinion est valable au 25 janvier 2021. L’évolution de quelques paramètres peut faire évoluer mon avis, en particulier les études d’efficacité et d’effets secondaires des vaccins.

 

Lorsque j’en parle à mes confrères médecins, voici mes arguments pour ne pas me faire vacciner :

  • je ne suis pas à risque de forme grave qui pourrait surcharger les hôpitaux.
  • la durée de l’immunité n’est pas connue et risque d’être limitée dans le temps (SPILF)
  • la SPILF précise qu’il n’y a pour le moment pas de preuve que la vaccination diminue la transmission du virus. Argument récemment repris par la HAS : « l’intérêt de vacciner tous les professionnels de santé serait d’éviter qu’ils transmettent le virus s’ils sont porteurs, mais (…) il n’y a pas à ce jour de preuve que le vaccin, qui prévient les formes graves de la maladie, prévienne l’infection elle-même et donc ait un effet sur la transmission »
  • à l’hôpital, les cas de transmission de soignants à patients restent probablement exceptionnels. Je n’ai rien trouvé sur la toile à ce sujet. En étant rigoureux, je n’ai pas l’impression de faire courir un danger à mes patients.
  • Enfin le nombre de doses étant limité, je préfère laisser la mienne à ceux qui vont être hospitalisés. Si l’objectif est de diminuer la fameuse et sans doute exagérée et manipulée pression sur les hôpitaux (cf. enquête de Nice Matin), c’est vers eux qu’il faut tourner nos efforts.

 

Maintenant je développe :

 

Oui oui oui à la vaccination contre le SARS-Cov-2, mais…. :

Les vaccins contre le SARS-Cov-2 ont évidemment leur place dans la stratégie de lutte contre la COVID-19. Cependant, je crains qu’ils ne soient pas la baguette magique attendue par certains.

D’abord leur efficacité n’est pas de 100%. Certains seraient efficaces à 95%, et d’autres à 70%.

L’efficacité n’a pas encore été testée chez les plus de 85 ans (exclus des premières études).

Et la réaction immunitaire diminue avec l’âge.

D’autre part, le SARS-Cov-2 est un virus à ARN qui a muté et va encore muter (au contraire de la polio ou de la rougeole). Ces mutations peuvent potentiellement altérer l’efficacité des vaccins.

 

Mon opinion est donc que la vaccination est une arme de plus dans la lutte contre le SARS-Cov2, mais qu’elle doit s’articuler avec d’autres stratégies préventives et des stratégies curatives.

Les stratégies préventives de lutte contre l’obésité, le tabagisme, l’hypertension artérielle,… sont fondamentales. Ainsi, ne vaudrait-il pas mieux y mettre quelques milliards plutôt que dans des vaccins utiles ailleurs ou inutiles pour une majorité de citoyens ? En plus de limiter les formes graves de COVID, cela diminuerait l’incidence de maladies chroniques très coûteuses. Je ne suis pas un « hygiéniste » forcené mais près de 1 français adulte sur 5 est obèse et l’obésité tue chaque année 2,8 millions de personnes dans le monde, un sur 3 est hypertendu, 3,5 millions sont diabétiques, 72.000 sont morts du tabac en 2018 (et 8 millions dans le monde, soit 4 fois plus que la première année de COVID)… (source INSERM, OMS).

Concernant les stratégies curatives, il est possible de repositionner des molécules anciennes (colchicine utilisée au Québec, ivermectine en Inde,…,) ou d’en développer de nouvelles, en poursuivant la tactique axée autour des généralistes : dépister, isoler, traiter.

 

Oui à la vaccination ciblée, y compris chez les soignants….

Le HCSP, dans un avis d’octobre 2020, a parfaitement identifié les populations à risque : diabétiques en particulier mal équilibrés ou compliqués, obèses avec IMC ≥ 30, sujets ≥ 65 ans, pathologies cardio-vasculaires, cancer, cirrhose,….

Ciblons donc ces populations qui représentent plusieurs millions de personnes : 11 millions de plus de 60 ans (source INSEE), 17% de la population adulte française obèse (source INSERM), … Le fameux Haut Conseil Scientifique évalue le nombre de patients « fragiles » à 22 millions. Si j’en crois notre ministre de la Santé interrogé au Sénat (mais pas à la TV), seules 15 millions de personnes pourront être vaccinées d’ici fin juin (soit 30 millions de doses j’espère). Même pas de quoi vacciner les « fragiles ».

Donc une remarque et une question :

  • Personnellement, je n’aurais pas commencé par vacciner dans les EHPAD. Cela risque de choquer, je le sais, et j’assume. D’abord, comme rappelé ci-dessus, le vaccin n’a pas été testé en phase 3 chez les plus de 85 ans : nous sommes donc dans de l’expérimentation. D’autre part, la réaction immunitaire diminuant avec l’âge, un vaccin étiqueté efficace à 95% le sera beaucoup moins chez nos aînés. De plus, si l’idée sous-jacente du gouvernement est de diminuer la pression sur les hôpitaux, je n’ai pas vu de patient d’EHPAD en réanimation. Aussi, l’expérience norvégienne ne pousse pas à vacciner des personnes très Enfin, en situation de crise et/ou de guerre, il y a des choix difficiles mais nécessaires : vacciner des patients dont l’espérance de vie est souvent courte, en grande situation de dépendance, dont plus d’un tiers présente une maladie neuro-dégénérative (source DREES) n’est pas le choix que j’aurais fait. Je pourrais même mettre en avant un des principes d’éthique biomédicale, celui de justice, sous-entendu justice distributive : lorsqu’elles sont rares, il est éthique d’orienter les ressources vers ceux qui en bénéficieront le plus. Mais après la communication sur les décès dans les EHPAD/EMS (22.000 pour un peu plus de 600.000 résidents), politiquement et symboliquement, il était difficile pour le gouvernement de ne rien faire : l’image des résidents s’éteignant sans le soutien de leur famille dans ces établissements a durablement marqué les esprits.
  • Pourquoi privilégier les soignants ? Là encore, il y a les faits et il y a la symbolique. Intuitivement le risque d’attraper la COVID semble majoré à l’hôpital : les patients les plus contagieux y sont admis, et il y a un gros brassage de soignants. Malgré les précautions, le relâchement est toujours possible et la transmission survient. Pourtant, toujours d’après le HCSP «  (…) le port systématique du masque à usage médical a permis de réduire fortement (la) contamination (des soignants), pour la rapprocher de celle de la population générale ». Ainsi, sauf à expliquer clairement qu’on vaccine les soignants pour maintenir de la main d’œuvre à l’hôpital, il n’y a pas de raison de nous privilégier. Encore une fois, la symbolique a son importance : les soignants ont été durement touchés et ont beaucoup donné (bon, d’un autre côté c’est une vocation et on est payés pour cela, non ?). Le gouvernement a voulu nous cajoler.

 

Et NON au passeport vaccinal ou autre certificat de vaccination:

Quel administratif et/ou journaliste (et/ou industriel pharmaceutique ?) a bien pu avoir une idée aussi délirante à laquelle tout gouvernement digne de ce nom aurait du immédiatement couper court ? Ne serait-ce que l’absence d’une efficacité de 100% et la quasi-certitude d’un virus parmi nous pour longtemps auraient du être deux arguments coupant court à toute discussion.

Je ne veux pas m’aventurer sur le terrain de la liberté : je ne me sens pas légitime. Il y aurait sans doute cependant beaucoup à dire concernant le consentement aux soins et l’acceptation de notre finitude et de notre mort certaine.

Non, regardons les éléments suivants : la population mondiale, la production de vaccins, la durée de l’immunité, la typologie des personnes qui meurent ou sont gravement malades (en France) et la durée de l’immunité

Le monde : 7 milliards d’individus… Presque 2 milliards en Afrique, grande oubliée de la vaccination. Euh, comment dire ? Allons-nous ajouter à la détresse et aux misères de ce grand continent la discrimination aux voyages par le vaccin. Pour mémoire, il existe un vaccin contre la rougeole. Malgré cela, en 2015, l’OMS évalue à 137.200 le nombre d’enfants de moins de 5 ans morts de rougeole dans le monde, en grande partie en Afrique. En 2019 : 207.500 morts de rougeole. Comment et pourquoi va-t-on vacciner 7 milliards d’individus, 2 fois par an peut-être, pour une pathologie qui tue essentiellement les patients de plus de 80 ans alors qu’on ne le fait pas pour la rougeole qui tue des enfants. UNICEF et OMS sont d’ailleurs très inquiets de la place prise par le COVID dans l’esprit des politiques qui négligent les campagnes de vaccination contre les rougeole et poliomyélite (source OMS).

La production de vaccins : admettons que le vaccin soit toujours aussi efficace, quelle que soit la mutation. Admettons qu’il n’y ait pas de rupture de chaine d’approvisionnement. Nous le savons tous, tous ceux qui m’ont suivi jusqu’ici le savent pertinemment, et nos hommes politiques aussi, tous les français ne pourront pas être vaccinés. Sans compter les contre-indications et l’exclusion des plus jeunes, imaginer réaliser 2 injections annuelles à 45 millions d’individus est une gageure : quelle débauche d’énergie et d’argent alors que tant de chantiers sont ouverts pour une santé meilleure ! Je ne vais pas ici m’aventurer à les lister.

La typologie des personnes qui meurent et sont hospitalisées. Pour celles qui meurent, au 22 janvier 2021, sur les 50.645 décès hospitaliers en 1 an, 32.000 avaient plus de 80 ans. Et je ne comptabilise pas les décès en EHPAD. Au 23 janvier, 50% des 25.864 hospitalisés ont 80 ans ou plus, soit 0,3% de cette tranche d’âge (source INSEE et GEODES). Il reste donc 13.000 hospitalisés qui ont moins de 80 ans pour une population de 63 millions. 0,02%. Doit-on vacciner toute une population jeune et en bonne santé pour de tels chiffres ? Ma réponse à cette question est claire : NON.

Enfin la durée de l’immunité, grande inconnue actuellement (SPILF). Certains qui ont eu le COVID refont une infection quelques mois plus tard. La durée de l’immunité semble limitée. Sans compter les éventuelles mutations évidemment. Peut-on imposer un vaccin anti-COVID valable si peu de temps pour voyager ? Le vaccin contre la fièvre jaune (que j’ai eu), obligatoire pour certains pays d’Afrique, est valable durant 10 ans.

 

Au total, la vaccination ciblée, concertée, évaluée régulièrement, qui concerne aussi les pays en voie de développement : OUI.

La prévention des maladies de la sédentarité et de la mal-bouffe avec un vrai budget : OUI.

Le passeport vaccinal : NON. NON. NON.

 

Merci de m’avoir lu.

 

Dr Henry BORET, 50 ans

Qualification en médecine générale

Anesthésiste-réanimateur, Praticien-Hospitalier

Ancien Spécialiste des Hôpitaux des Armées

DU de Médecine Tropicale

DIU d’Ethique et Pratique Clinique

Ancien Coordonnateur de l’Espace de Réflexion de l’HIA Sainte Anne

Président du CLUD de mon hôpital

 

Références bibliographiques dans le désordre. Si une information de l’article vous semble erronée, tout est vérifiable : il suffit de chercher sur les sites officiels : INSERM, SPILF, OMS, Santé Publique France, GEODES, Nice Matin,…

https://www.hcsp.fr/explore.cgi/avisrapportsdomaine?clefr=942

https://www.who.int/fr/news/item/12-11-2020-worldwide-measles-deaths-climb-50-from-2016-to-2019-claiming-over-207-500-lives-in-2019

https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/251002/WER9145.pdf;jsessionid=C145674573A87B9C49ED932610174A79?sequence=1

https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/tobacco

https://www.who.int/features/factfiles/obesity/fr/

https://www.who.int/fr/news/item/06-11-2020-unicef-and-who-call-for-emergency-action-to-avert-major-measles-and-polio-epidemics

https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/01/18/scandale-en-vue-les-chiffres-de-lepidemie-sont-ils-fausses-ou-truques/

https://www.leparisien.fr/societe/covid-19-l-infectiologue-odile-launay-remet-sur-la-table-l-idee-d-un-confinement-cible-21-01-2021-8420403.php