Considérant les nombreux risques mal ou non-évalués de ce traitement expérimental, conjointement à la fréquence alarmante d’effets secondaires indésirables graves (allant jusqu’aux décès), le collectif Réinfo Santé Suisse International a fait parvenir le courrier et les documents suivants aux autorités gouvernementales et sanitaires de la Confédération.
A l’heure où une plainte pénale vient d’être déposée contre la France devant la Cour pénale internationale pour crimes contre l’humanité en lien avec la gestion potentiellement criminelle de la crise sanitaire, les acteurs interpelés feraient bien de se mettre à réfléchir.
Tant il est évident aujourd’hui (les données se sont accumulées au long des mois) que :
1. Il y a eu une mise en échec des mesures sanitaires (prévues dans les plans pandémie) qui auraient permis de gérer l’épidémie avec succès et sans grand dommage.
2. Avec notamment une interdiction injustifiée et meurtrière de traitements précoces efficaces. Les autorités de santé ont ainsi mis en échec les possibilités de soins et d’accompagnement qui auraient pu éviter jusqu’à 85% des décès dus au Covid-19.
3. A la place, on a entretenu une panique injustifiée et destructrice avec force propagande et désinformation -assurées par la répression du débat scientifique dans la presse et sur les réseaux sociaux.
4. Tout ceci dans l’unique but de garantir un marché « vaccinal » expérimental à haut risque et en cherchant à l’imposer à la population en transgression de toutes les règles de bonne pratique et d’étique prévalant en la matière.
L’entier de ce qui précède constituant bel et bien comme je l’indique depuis une année et demie une dérive relevant du droit pénal.
Alors que la campagne de « vaccination » massive montre une inefficacité à la mesure de la propagande publicitaire absurde affirmant le contraire, on agite maintenant la peur d’un nouveau variant (« delta ») en réalité moins létal que les précédents et dont la circulation dans la population (avec des symptômes proches du rhume des foins pour les personnes en bonne santé) assurerait la constitution d’une réelle immunité collective.
La science sait depuis toujours (et cela se confirme pour le Sars-CoV-2) que l’immunisation au contact d’un virus est bien meilleure et durable que l’immunité vaccinale (a fortiori avec un produit qui n’est simplement pas un vaccin !) Seulement voilà : l’OMS -qui est en la matière bat des records de corruption- a supprimé l’immunité naturelle des définitions médicales dans un dérapage proprement orwellien.
C’est dire si nos amis de Réinfo Santé Suisse ont raison d’interpeler à nouveau les irresponsables qui nous gouvernent.
Les personnes lucides qui observent avec consternation cette affreuse magouille depuis dix-huit mois peuvent commencer à avoir des motifs d’espérer : les actions judiciaires (qui ont certes pris du temps à être élaborées) sont désormais à bout touchant. Les différentes mafias impliquées dans la situation actuelle ont du souci à se faire : l’époque où elles ont eu quartier libre à force de propagande et manipulations touche à sa fin. Enfin !
Concerne : Nouvelle demande de moratoire des « vaccins » contre le SRAS-CoV-2
Mesdames, Messieurs,
Nous faisons référence à notre première demande de moratoire des « vaccins » prévus contre l’infection au SRAS CoV-2, du mois de janvier 2021, à laquelle vous n’avez pas jugé utile de donner une suite favorable, malgré la pertinence des motifs invoqués.
Suite à la mise en évidence récente de la toxicité de la protéine spike produite dans le cadre du procédé « vaccinal » qui pourrait expliquer les complications thrombo-emboliques observées, nous sommes contraints à vous alerter une nouvelle fois de manière urgente et instante.
Il parait particulièrement approprié de rappeler le principe élémentaire de précaution guidé par l’objectif de « primum non nocere ». Compte tenu des conditions expérimentales, des risques avérés, du manque de transparence et de rigueur des tenues des données de pharmacovigilance, et des entorses graves à l’éthique médicale qui prévoit le consentement libre et éclairé, nous vous rendons attentifs qu’en cas de refus de votre part d’entrer en matière, nous n’hésiterons pas à prendre toutes les mesures utiles afin que notre droit à une réponse approfondie soit respecté.
En conséquence de ce qui précède nous demandons :
- la cessation de la campagne vaccinale et expérimentale basée sur la technologie génétique à ARNm non-naturel ;
- la suspension immédiate des autorisations à durée limitée (ADL) octroyées par Swissmedic pour ces « vaccins » ;
- la suspension immédiate des campagnes de propagande massive #JeMeVaccine « pour que la vie reprenne » et « un geste du cœur pour tous », lancée pour encourager la vaccination anti-COVID 19 et visant toute la population dès 12 ans, quel que soit l’état de santé individuel.
Ceci pour les raisons suivantes :
1 – Les essais cliniques de phase 3 ne sont pas terminés
2 – Critères d’octroi de l’autorisation à durée limitée non respectés
3 – Les effets secondaires à moyen et long terme ne sont pas connus
4 – Les effets indésirables sont insuffisamment annoncés et néanmoins très préoccupants !
5 – Le consentement éclairé n’est pas appliqué
6 – Il existe d’autres voies de traitement précoce et bon marché
7 – Démocratie et Constitution bafouées : discriminations et absence de débat ouvert
1 – Les essais cliniques de phase 3 ne sont pas terminés
Les essais cliniques des phase 3 pour les injections de Pfizer-BioNTech et Moderna sont actuellement inachevés, puisqu’ils prennent fin en mai 20231 et octobre 20222 respectivement.
L’état des connaissances au sujet de cette technologie3 est par conséquent encore limité et jamais, dans toute l’histoire de la médecine, une campagne pour une thérapie expérimentale n’a été lancée sur l’ensemble de la population.
2 – Critères d’octroi de l’autorisation à durée limitée non respectés
Selon la loi, une autorisation à durée limitée (ADL) octroyée par Swissmedic est en principe prévue pour mettre à disposition (en dehors des essais cliniques) des traitements destinés à des malades atteints de pathologies mortelles.
Or, ces produits encore méconnus à large échelle bénéficient d’une telle ADL alors qu’ils concernent une maladie globalement peu mortelle.
En effet, selon les statistiques tirées du site www.covid19.admin.ch, parmi les cas, hospitalisations et décès confirmés en laboratoire, le taux de mortalité* par tranche d’âge est :
Du 20 février 2020 au 5 janvier 2021
00-09 ans = 0.042 %
10-19 ans = 0.000 %
20-29 ans = 0.004 %
30-39 ans = 0.01 %
40-49 ans = 0.03 %
50-59 ans = 0.16 %
60-69 ans = 1.03 %
70-79 ans = 5.21 %
+80 ans = 16.12 %
À noter que l’espérance de vie en Suisse est de 83 ans.
3 – Les effets secondaires à moyen et long terme ne sont pas connus
Swissmedic a totalement conscience que, contrairement à des effets secondaires à court terme, il n’existe aucune donnée, ni de possibilité de faire des projections, en ce qui concerne les effets à moyen et long terme4 de ces produits biotechnologiques à base de nucléotides modifiés et non-naturels5.
Les nouveaux principes actifs du « vaccin », dont le code ARNm synthétique5 pour fabriquer la protéine spike (la glycoprotéine de surface), la spike en soi et les nanolipides synthétiques, peuvent être pathogènes avec des actions pro-inflammatoires et toxiques pour les cellules et le métabolisme, altérant la fonction endothéliale6 et endommageant de nombreux tissus et organes.7,8,9,10
Le calcul « bénéfice-risque » de ces produits, indissociable de l’éthique médicale basée sur le « PRIMUM NON NOCERE », ne peut donc être valablement établi en leur faveur.
Étonnamment ces produits sont pourtant recommandés à toute la population, y compris aux jeunes, aux femmes enceintes et aux personnes ayant une médication lourde (notamment contre le cancer), par exemple, alors qu’aucune étude préalable n’a été effectuée quant aux effets adverses sur ces sous-groupes, ni quant aux interactions médicamenteuses potentiellement dangereuses.
Nous vous rappelons que la responsabilité juridique des autorités politiques et sanitaires en cas d’effets potentiels délétères ou létaux, ainsi que pour fraude, tromperie et mauvaise conduite, est engagée.
Ce qui n’est pas le cas, rappelons-le, des laboratoires pharmaceutiques qui ont négocié leur impunité en cas d’effets indésirables liés à leurs produits.
4 – Les effets indésirables sont insuffisamment annoncés et néanmoins très préoccupants !
Selon les estimations de Swissmedic, seuls 10 % des effets indésirables sont annoncés pour les vaccins11.
En Suisse, au 18 juin 2021, Swissmedic a recensé 2 994 effets indésirables, dont 1 043 graves et 97 décès14 (3 768 490 personnes vaccinées).
A titre d’exemple à l’étranger, au Royaume-Uni, au 19 mai 2021, on a ainsi répertorié : 859 481 effets adverses recensés pour 236 960 personnes, et 1213 décès (37 250 363 personnes vaccinées avec au moins une dose)15. Dans l’UE, plus de 11 500 décès ont été signalés suite à la vaccination jusqu’au 15 mai, ainsi que 280 943 personnes avec des séquelles16.
Ces chiffres incluent des troubles neurologiques et sensoriels, des troubles de la coagulation, des troubles respiratoires, des infections (y compris par le COVID), des maladies auto-immunes, des pathologies sur l’appareil reproducteur féminin et des décès.
Nous constatons aussi un phénomène étrange mais bien réel de magnétisme sur le corps, ou « magnétofection », suite à la vaccination, observé dans de nombreux cas cliniques !
Ces dégâts ne sont pas acceptables pour un produit détenant seulement une autorisation à durée limitée, encore en phase 3 des essais cliniques, et pour une maladie peu mortelle pour la grande majorité de la population.
Nous estimons que Swissmedic ne peut pas honnêtement prétendre qu’il existe un profil bénéfice-risque positif en faveur de cette injection génique et expérimentale.
5 – Le consentement éclairé n’est pas appliqué
Seule la présentation orientée sur les bénéfices supposés de ces produits biotechnologiques est présentée aux personnes qui se vaccinent. Les effets adverses, parfois graves, sont pourtant largement minimisés.
En plus, les patients sont indûment influencés lorsque les informations sur les risques sont présentées selon une approche de risque relatif et non de risque absolu17, ce qui fausse grandement l’interprétation de l’efficacité de ces « vaccins ».
Dans ce contexte, alors que même des adultes ne peuvent pas exercer un consentement éclairé, nous sommes d’autant plus effarés par les récentes propositions visant à permettre aux enfants de 10 ans de se faire vacciner sans autorisation parentale18.
Prenons note de l’article 1 du Code de Nuremberg19 :
« Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir ; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée. »
6 – Il existe d’autres voies de traitement précoce et bon marché
Depuis des mois, des médecins du monde entier tentent de faire savoir qu’ils parviennent à des résultats probants grâce à des traitements précoces et peu coûteux. Leurs affirmations sont désormais corroborées par des études scientifiques solides, nombreuses et à grande échelle20.
Ces centaines de médecins publient et partagent leurs expériences de prise en charge précoce, à l’aide de traitements et suivis efficaces et peu coûteux, dont l’Ivermectine. Toutes ces approches contribueraient pourtant à décharger les unités de soins intensifs des hôpitaux.
Malgré cela, toutes ces voies alternatives sont purement et simplement ignorées par les autorités politiques et sanitaires, engoncées dans une vision étroite des seules réalités hospitalières. Toute la puissance de frappe de la médecine de première ligne est ainsi tout bonnement mise sur la touche, à l’heure où toutes les forces et toutes les voies thérapeutiques possibles devraient être explorées dans la lutte de ce qui est en train de devenir non plus une épidémie, mais une endémie avec laquelle il va falloir apprendre à vivre.
Cette censure intellectuelle et scientifique est d’autant plus inadmissible que la campagne de vaccination comme seule arme bafoue de manière éhontée le serment d’Hippocrate et le principe de précaution.
7 – Démocratie et Constitution bafouées : discriminations et absence de débat ouvert
Sous la loi d’urgence COVID 19, les autorités mettent en place les instruments juridiques visant une discrimination des non-vaccinés, et des citoyens qui refuseront de se soumettre aux tests invasifs. Ceci est une violation directe de la convention d’Oviedo, qui vise à protéger la dignité et l’identité de tous les êtres humains et à garantir à toute personne, sans discrimination, le respect de son intégrité et de ses autres droits et libertés fondamentales à l’égard des applications de la biologie et de la médecine.21
Sans le certificat COVID/pass sanitaire, les individus pourront-ils circuler librement et participer à la vie sociale, comme l’exige la Constitution suisse ?
Nous demandons l’opportunité de débattre ouvertement avec vos experts, notamment la Commission fédérale pour les vaccinations, afin de pouvoir aborder avec intégrité et transparence nos préoccupations urgentes en matière de santé publique, d’éthique, de transparence, de respect de la démocratie et de la liberté de nos concitoyens.
Nous, médecins, pharmaciens, infirmiers, personnels soignants, professionnels de la santé (indépendants ou en institution), conscients de notre responsabilité, exigeons un MORATOIRE IMMÉDIAT sur la campagne d’injection à technologie ARNm, afin de garantir la protection de la santé des citoyens, de nos enfants, ainsi que des générations futures.
Dossier de Réinfo Santé Suisse International sur les effets indésirables des « vaccins » géniques : cliquer ici pour télécharger.